Archive for the ‘Barack Obama’ Category

Elvis Presley est plus vivant aujourd’hui qu’Oussama Ben Laden

16 septembre 2009

L’époque où la propagande néoconservatrice tendait à dominer toute la sphère médiatique tend vers sa fin. C’est du moins ainsi que je comprends la parution d’un certain nombre d’articles (pas en France je vous rassure) qui remettent en cause des vérités qu’on pouvait croire officielles.

Le Daily Mail de Londres semble être en pointe dans ce domaine et la raison est à rechercher dans la situation politique britannique elle-même. Traditionnellement proche du parti Conservateur, le Mail participe bien volontiers à l’opération de tri des reliquats du blairisme, cette forme de travaillisme ou social-démocratie qui a fait alliance corps (ceux des cadavres des soldats britanniques) et âme (celle de Tony Blair) avec les néoconservateurs US et le sionisme.

Gordon Brown, le successeur de M. Blair, n’a pas l’âme justement d’un prophète du néoconservateur et son assise politique est d’ailleurs chancelante. Les conservateurs Britanniques ont peut-être compris qu’il était temps de sortir des pièges dans lesquels le Royaume Uni s’est fourvoyé, des pièges coûteux en hommes, en argent sans parler d’une armée qui peine à faire face aux desiderata des Etats Unis.

Quoi qu’il en soit, le Daily Mail nous livre un article informé sur la qualité de vivant ou de mort d’Oussama Ben Laden.

Oussama Ben Laden est-il mort il y a sept ans – et la Grande Bretagne et les USA ne cachent-ils pas ce fait pour continuer la guerre contre la terreur ?

Par Sue Reid, Daily Mail (UK) 11 septembre 2009 traduit de l’anglais par Djazaïri

La dernière fois que nous l’avons entendu grincer des dents, c’était le 3 juin de cette année.

Le plus célèbre des terroristes internationaux avait damé le pion à l’Amérique en diffusant un message de menaces au moment où Air Force One atterrissait sue le sol d’Arabie Saoudite pour le début de la première tournée si applaudie de Barack Obama au Moyen Orient.

Avant même que le nouveau président pose le pied à l’aéroport de Riad pour serrer la main du Prince Abdullah, les paroles de Ben Laden étaient retransmises à la radio, à la télévision et par internet sur tous les continents.

C’était un nouvel effet de propagande pour le chef d’al Qaïda âgé de 52 ans. Dans la bande audio transmise à la chaîne d’informations arabe Al Jazeera, Ben Laden disait que l’Amérique et ses alliés occidentaux étaient en train de semer les germes de la haine dans le monde musulman et méritaient d’en subir les conséquences désastreuses.

C’était le genre de diatribe que nous avions déjà entendu de sa part, et la réponse des services de renseignements britanniques et étatsuniens était toute aussi prévisible.

Ils mettaient l’accent sur le fait que des détails de l’enregistrement, sur la visite présidentielle et d’autres événements contemporains, prouvaient que le cerveau du 11 septembre, la pire atrocité terroriste jamais subie par les USA, était encore vivant – et que sa traque devait continuer.

Ben Laden a toujours été accusé d’avoir orchestré l’horrible attentat – qui avait coûté la vie à près de 3000 personnes – depuis huit années cette semaine. Le président George W. Bush avait fait de sa capture une priorité nationale, promettant honteusement comme à la belle époque de l’ouest sauvage de le prendre ‘mort ou vif.’

Le Département d’Etat US offrait une récompense de 50 millions de dollars pour connaître son repaire. Le FBI l’avait désigné comme un des dix fugitifs les ‘plus recherchés’, demandant à la population de faire attention à un homme à la barbe grisonnante, gaucher et qui marche avec une canne.

Ce maître du terrorisme reste pourtant insaisissable. Il a échappé à la plus vaste et coûteuse chasse à l’homme de l’histoire, qui s’est étirée à travers le Waziristan, ces 1500 miles de terres montagneuses inhospitalières aux confins de l’Afghanistan et du Pakistan.

Sans se décourager, Barack Obama a lancé une nouvelle opération pour le trouver. Travaillant avec l’armée pakistanaise, des unités d’élite étatsuniennes et des forces spéciales britanniques ont été envoyées au Waziristan cet été pour ‘traquer et tuer’ ce personnage flou que ces agents du renseignement désignent toujours comme ‘le principal objectif’ de la guerre contre la terreur.

Cette nouvelle offensive est basée, bien entendu, sur la prémisse que le terroriste du 11 septembre est vivant. Après tout, il y pléthore ‘d’enregistrements de Ben Laden’ pour le prouver.

Et si cependant ce n’était pas le cas ? S’il était mort depuis des années et que les services secrets britanniques et étasuniens nous jouaient en réalité un double bluff ?

Et si tout ce que nous avons vu ou entendu de lui sur des bandes sonores ou vidéos depuis les premiers jours d’après le 11 septembre était faux – et que les alliés occidentaux le maintenaient en ‘vie’ pour encourager le soutien à la guerre contre la terreur ?

C’est incroyable, mais c’est la théorie ahurissante qui gagne du terrain chez les commentateurs politiques, chez de respectables universitaires et même auprès de spécialistes du terrorisme.

Certes, il y a eu plusieurs théories conspirationnistes au sujet du 11 septembre, et ce pourrait en être une de plus.

Mais le poids des opinions qui penchent maintenant pour l’hypothèse que Ben Laden soit mort – et l’accumulation des indices qui la soutiennent – rend cette notion au moins digne d’examen.

La théorie avait d’abord été rendue publique au début de cette année par le magazine American Spectator et l’affirmation sans appel d’Angelo M. Codevilla, le rédacteur en chef, professeur de relations internationales à l’université de Boston et ancien officier du renseignement : ‘Tout suggère qu’Elvis Presley et plus vivant aujourd’hui qu’Oussama Ben Laden.’

Le professeur Codevilla soulignait des incohérences dans les vidéos et affirmait qu’on n’avait aucun élément d’observation fiable sur Ben Laden depuis des années (par exemple, toutes les interceptions de communications du chef d’al Qaïda ont soudainement cessé en 2001).

Le professeur Codevilla assurait : ‘Les bandes sonores et vidéos attribuées à Oussama n’ont jamais convaincu l’observateur impartial. Le type [sur les vidéos, NdT] ne ressemble tout simplement pas à Oussama. Certaines vidéos le montrent avec un nez sémitique, aquilin, tandis que d’autres le montrent avec un nez plus court et plus large. A côté de ça, les différences de couleurs et de styles de barbes ne sont que des broutilles.’

Il y a d’autres sceptiques. Le professeur Bruce Lawrence Head, chef du département d’études religieuses de l’université Duke et plus grand spécialiste de Ben Laden, soutient que le langage de plus en plus profane dans les bandes sonores et vidéos d’Oussama (ses premières étaient truffées de références à Dieu et au prophète Mohamed) ne cadre pas avec le caractère strict de son Islam, le Wahhabisme.

Il note que, dans une vidéo, Ben Laden porte des bagues en or sur les doigts, un ornement prohibé chez les adeptes du wahhabisme.

De nouvelles questions ont été soulevées cette semaine avec la publication aux Etats Unis et en Grande Bretagne d’un livre intitulé Oussama Ben Laden : mort ou vivant ?

Ecrit par le professeur David Ray Griffin, philosophe et essayiste politique, ancien professeur émérite à la faculté de théologie de Claremont en Californie, il provoque une onde de choc – car il examine dans tous ses détails la mort supposée de Ben Laden et suggère qu’il y a eu dissimulation par l’Occident.

Le livre affirme que Ben Laden est mort d’une défaillance rénale ou d’une affection en rapport le 13 décembre 2001 alors qu’il vivait dans les montagnes afghanes de Tora Bora près de la frontière avec le Waziristan.

Son enterrement a eu lieu dans les 24 heures, conformément au rite musulman, et dans une tombe anonyme, ce qui est la coutume wahhabite.

L’auteur insiste pour dire que de nombreux enregistrements de Ben Laden réalisés depuis cette date ont été concoctés par l’Occident pour que le monde croie que Ben Laden est vivant. Le but ? Pour relancer un soutien déclinant à la guerre contre la terreur en Irak et en Afghanistan.

Pour comprendre la thèse de Griffin, nous devons nous remémorer la réaction de l’Occident au 11 septembre, cette journée ensoleillée fatidique de 2001. En l’espace d’un mois, les USA et le Royaume Uni avaient lancé des représailles aériennes massives dans la région de Tora Bora où, selon eux, ben Laden vivait en tant que ‘invité de l’Afghanistan’.

Cette offensive militaire ignorait le fait que Ben Laden avait auparavant dit nettement et à quatre reprises dans des déclarations officielles d’al Qaïda à la presse arabe qu’il n’avait joué aucun rôle dans le 11 septembre.

En fait, à la quatrième occasion, le 28 septembre, une quinzaine de jours après l’atrocité, il avait déclaré avec force : ‘J’ai déjà dit ne pas être impliqué. En tant que Musulman, je fais de mon mieux pour éviter de dire un mensonge. Je n’en ai pas eu connaissance… je ne considère pas non plus le fait de tuer des enfants, des femmes et d’autres humains innocents comme un acte digne d’estime.’

Dans les heures du 7 octobres marquées par les bombardements US sur Tora Bora, Ben Laden fit, pour la première fois, son apparition sur une bande vidéo. Habillé en treillis militaire et portant une coiffe islamique, un fusil d’assaut était posé derrière lui, dans une cache montagnarde bien éclairée. Fait significatif, il avait l’air pâle et amaigri.

Même s’il avait qualifié le président George W. Bush de ‘chef des infidèles » et avait vilipendé les Etats Unis, il avait une fois encore rejeté toute responsabilité pour le 11 septembre.

‘L’Amérique a été frappée par Dieu dans un de ses points les plus sensibles. L’Amérique est emplie de crainte, du nord au sud, d’est en ouest. Dieu en soit remercié’

Puis vint une nouvelle bande vidéo le 3 novembre 2001. A nouveau, un Ben Laden affaibli fustigeait les Etats Unis. Il demandait instamment aux vrais Musulmans de célébrer les attentats – mais ne reconnaissait à aucun moment avoir été implique dans cette atrocité.

Puis ce fut le silence jusqu’au 13 décembre 2001 – date à laquelle Ben Laden est décédé selon Griffin. Le même jour, le gouvernement US diffusait une nouvelle vidéo du chef terroriste. Dans l’enregistrement, Ben Laden contredisait ses dénégations précédentes et admettait soudain son implication dans les atrocités du 11 septembre.

On rapporte que l’enregistrement avait été trouvé par des soldats US au domicile d’un particulier à Jalalabad en Afghanistan après la prise de la ville par des forces anti Talibans. Une étiquette fixée dessus la datait du 9 novembre 2001.

La bande montre Ben Laden en conversation avec un cheikh de passage. Il y affirme clairement que non seulement il était au courant à l’avance des atrocités du 11 septembre mais qu’il en avait planifié les moindres détails personnellement.

Quelle aubaine pour les autorités occidentales ! Le terroriste se repositionnait dans le schéma du 11 septembre. Le Washington Post citait des officiels Etatsuniens qui affirmait que la vidéo ‘apporte la preuve la plus convaincante d’un lien entre Ben Laden et les attentats du 11 septembre.’

Un président Bush euphorique ajoutait : ‘Quant à ceux qui voient cet enregistrement, ils réalisent que non seulement il est coupable d’un meurtre incroyable, mais qu’il est dépourvu de conscience et d’âme.’

A Londres, Downing Street affirmait que la vidéo était une ‘preuve concluante de son implication.’ Le ministre des affaires étrangères de l’époque, Jack Straw, ajoutait : ‘Nul doute que c’est la pure vérité. Les gens peuvent y voir Ben Laden reconnaître absolument froidement sa culpabilité pour l’organisation des atrocités du 11 septembre’.

Pourtant, le professeur Griffin affirme que cette vidéo ‘confession’ pose plus de questions qu’elle n’apporte de réponses. Pour commencer, Ben Laden dans ce témoignage filmé capital a l’air différent.

C’est un homme corpulent à la barbe noire, pas grisonnante. Son teint pâle est devenu tout à coup plus mat, et son nez a une forme différente. Ses mains d’artistes, aux doigts effilés se sont transformées en celles d’un boxeur. Il a l’air en trop bonne santé.

En outre, on peut y voir Ben Laden écrire un mot de la main droite alors qu’il est gaucher. Tout aussi bizarre, il fait des déclarations sur le 11 septembre qui, selon Griffin, n’auraient jamais pu sortir de la bouche du véritable Ben Laden – un homme diplôme en ingénierie qui a fait fortune (avant d’évoluer vers le terrorisme) dans l’industrie du bâtiment au Moyen Orient.

Par exemple, le chef d’al Qaïda claironne que beaucoup plus de personnes ont péri le 11 septembre qu’il ne l’avait prévu. Il poursuit : ‘En raison de mon expérience dans ce domaine, je pensais que l’explosion du carburant de l’avion ferait fondre la structure de fer de l’immeuble et s’effondrer seulement la zone d’impact de l’avion et les étages situés au dessus. C’était tout ce que nous espérions.’ (en réalité, les tours jumelles se sont complètement effondrées).

Des paroles du vrai Ben Laden ? Non, déclare Griffin. ‘Compte tenu de son expérience dans le BTP, il aurait dû savoir que les tours jumelles avaient une structure en acier, pas en fer’, dit-il.

‘Il aurait dû aussi savoir que l’acier et le fer ne fondent pas à moins de 1538 degrés Celsius. Encore qu’un incendie d’immeuble alimenté par du carburant d’avion est un feu hydro carbonique qui ne pourrait pas atteindre plus de 982 degrés Celsius.’

Dans son livre explosif, Griffin affirme que cet enregistrement est un faux, et il va encore plus loin.

‘Une raison pour soupçonner que tous les enregistrements post-2001 de Ben Laden sont des fabrications est qu’elles sont souvent apparues à des moments qui redonnaient du tonus à la présidence de Bush où renforçaient une déclaration du premier ministre britannique Tony Blair, son allié dans la « guerre contre la terreur’.

‘L’enregistrement confession était arrivé juste au moment où Bush et Blair avaient échoué à prouver la responsabilité de Ben Laden pour le 11 septembre alors que les deux hommes tentaient de rallier le soutien de l’opinion publique internationale, notamment dans le monde musulman, à la campagne antiterroriste’.

Griffin suggère que les gouvernements occidentaux ont utilisés des technologies d’effets spéciaux très sophistiqués pour mettre en séquences des images et des enregistrements sonores de Ben Laden.

Alors, si ce sont des faux, pourquoi al Qaïda est-elle restée silencieuse à ce sujet ? Et qu’est-il arrivé exactement au véritable Ben Laden ?

La réponse à la première question peut être que l’organisation terroriste informe est heureuse de mener sa propre guerre de propagande alors que ses soutiens déclinent – et profite du mythe selon lequel son dirigeant charismatique est encore vivant pour encourager des ralliements à sa cause.

Quant à ce qu’il est advenu de lui, des allusions à l’insuffisance rénale de ben Laden, où à l’éventualité qu’il soit mort, apparurent le 19 janvier 2002, quatre mois après le 11 septembre.

C’était quand le président pakistanais Pervez Musharraf a déclaré sur la chaîne américaine d’informations CNN : « Franchement, je pense maintenant qu’il est mort car il est malade des reins. Les images le montrent extrêmement affaibli.’

Dans son livre, le professeur Griffin approuve également cette théorie. Il explique que Ben Laden avait été soigné pour une infection urinaire, souvent associée à une maladie rénale, à l’hôpital américain de Dubaï en juillet 2001, deux mois avant le 11 septembre. Dans le même temps, il avait commandé une machine de dialyse à livrer en Afghanistan.

Comment Ben Laden, en fuite dans des grottes au milieu de montagnes enneigées, aurait-il pu utiliser la machine que beaucoup s’accordent à considérer comme essentielle pour le maintenir en vie ? Des médecins cités par Griffin sur ce sujet pensent que ce devait être impossible.

Il aurait fallu qu’il reste dans un lieu avec une équipe médicale, des conditions d’hygiène et un programme de maintenance régulier pour l’unité de dialyse elle-même.

Et quid de cette info, une brève parue le 26 décembre 2001 dans le journal égyptien Al-Wafd ? Elle disait qu’un haut responsable du gouvernement taliban afghan avait annoncé qu’Oussama Ben Laden avait été enterré le 13 décembre ou vers cette date.

‘Il souffrait de graves complications et il est décédé d’une mort naturelle et paisible. Il a été enterré à Tora Bora, en présence de trente miliciens d’al Qaïda, de proches parents et d’amis talibans. Selon la coutume wahhabite, aucun signe distinctif n’a été laissé sur la tombe,’ disait l’article.

Le responsable Taliban, dont le nom n’était pas cité, déclarait triomphalement avoir vu le visage de Ben Laden dans son linceul. ‘Il avait l’air pâle mais calme, détendu et confiant.’

C’était Noël à Washington et à Londres et l’article fut à peine mentionné. Depuis, des enregistrements de ben Laden sont sortis avec la régularité d’un métronome et des centaines de millions ont été dépensés et beaucoup de sang versé dans la traque dont il fait l’objet.

Ben Laden a été l’élément central de la ‘guerre [de l’occident] contre la terreur.’ Serait-il possible que, depuis des années, il n’ait été qu’un écran de fumée ?

>Obama insulte Netanyahu au téléphone!

10 juin 2009

>

Le président Obama insulte les sionistes en montrant ses semelles à l’objectif d’un appareil photo alors qu’il est en conversation téléphonique avec l’actuel chef du gang sioniste, Benjamin Netanyahu.
L’article qui nous relate l’émoi des sionistes ainsi insultés nous explique que, dans la culture arabe, il est impoli de laisser voir les semelles de ses chaussures aux personnes qui nous entourent.
Certes, ceci est un des traits de l’étiquette arabe
mais pas seulement
Et en quoi les sionistes seraient-ils concernés par les règles arabes de l’étiquette, eux qui passent précisément leur temps à spolier et agresser les arabes en question ?
C’est que, nous dit l’auteur de l’article présenté ci-dessous, au bout de 60 ans d’existence, l’entité sioniste aurait intégré certains traits de la culture environnante.
Chacun sait que c’est faux et que nous sommes en face de la fabrication par les sionistes d’un grief supplémentaire à l’égard d’un Obama peu apprécié d’une bonne partie des leaders des terroristes sionistes. Juste histoire de faire croire qu’Obama représente une réelle menace pour les aspirations colonialistes juives en Palestine et d’adresser à ce dernier le signal qu’il a déjà dépassé les limites de ce que les autorités de Tel Aviv sont prêtes à accepter.

Pour conclure, nous rappellerons simplement qu’Obama n’a pas exhibé ses semelles à Netanyahu avec qui il n’était pas en visioconférence et que «il y a toujours une pluralité de signes de politesse, et qu’alors, un seul signe de défaillance (par exemple, montrer la semelle de ses chaussures) ne suffit à lui seul à générer du conflit)».


Des Israéliens insultés par une photo d’Obama
Par H. Arenstein, CBS (USA), 9 juin 2009 traduit de l’anglais par Djazaïri

Mardi soir, des présentateurs israéliens d’informations télévisées ont interprété comme une «insulte» envers Israël une photo prise lundi dans le bureau ovale qui montre Obama parlant au téléphone avec le premier ministre israélien Benjamin Netanyahu.

s
Ils ont perçu l’incident comme ayant quelque ressemblance avec un incident de l’an dernier quand un journaliste irakien avait lancé une chaussure sur le président Bush à Bagdad. Dans le monde arabe, montrer la semelle de ses chaussures à quelqu’un est considéré comme une insulte.
Ce n’est pas forcément la façon juive de voir les choses, mais Israël se sent assez partie prenante du Moyen Orient après 60 ans [d’occupation, NdT] pour se sentir insulté également.
s
S’agissait-il d’un message subliminal intentionnel de la Maison Blanche pour Netanyahu à Jérusalem, qui résiste ouvertement aux tentatives de M. Obama et de la Secrétaire d’Etat Hillary Clinton de forcer Israël à stopper une fois pour toutes les actions de colonisation dans les territoires occupés ?
s
Quoi qu’il en soit, cela nous montre l’état d’esprit en Israël. Ils se sentent acculés. Les réactions en dehors d’Israël reflètent ce sentiment.
s
Netanyahu prononce un discours dimanche, en partie en réponse à l’adresse lancée par M. Obama au monde arabe la semaine dernière au Caire.La télévision israélienne Channel One a rapporté que netanyahu s’est entendu dire mardi par un «officiel américain» à Jérusalem : « Nous allons changer le monde. Ne faites pas obstacle, SVP.»
s
Le reportage affirmait que les assistants de Netanyahu ont interprété cela comme une «menace.»Netanyahu a rencontré George Mitchell aujourd’hui pendant quatre heures à Jérusalem.
Le Département d’Etat a annoncé cet après-midi que Mitchell ferait étape à Beyrouth et à Damas après avoir achevé ses visites en Israël et auprès de l’Autorité Palestinienne.

Obama insulte Netanyahu au téléphone!

10 juin 2009

Le président Obama insulte les sionistes en montrant ses semelles à l’objectif d’un appareil photo alors qu’il est en conversation téléphonique avec l’actuel chef du gang sioniste, Benjamin Netanyahu.
L’article qui nous relate l’émoi des sionistes ainsi insultés nous explique que, dans la culture arabe, il est impoli de laisser voir les semelles de ses chaussures aux personnes qui nous entourent.
Certes, ceci est un des traits de l’étiquette arabe
mais pas seulement
Et en quoi les sionistes seraient-ils concernés par les règles arabes de l’étiquette, eux qui passent précisément leur temps à spolier et agresser les arabes en question ?
C’est que, nous dit l’auteur de l’article présenté ci-dessous, au bout de 60 ans d’existence, l’entité sioniste aurait intégré certains traits de la culture environnante.
Chacun sait que c’est faux et que nous sommes en face de la fabrication par les sionistes d’un grief supplémentaire à l’égard d’un Obama peu apprécié d’une bonne partie des leaders des terroristes sionistes. Juste histoire de faire croire qu’Obama représente une réelle menace pour les aspirations colonialistes juives en Palestine et d’adresser à ce dernier le signal qu’il a déjà dépassé les limites de ce que les autorités de Tel Aviv sont prêtes à accepter.

Pour conclure, nous rappellerons simplement qu’Obama n’a pas exhibé ses semelles à Netanyahu avec qui il n’était pas en visioconférence et que «il y a toujours une pluralité de signes de politesse, et qu’alors, un seul signe de défaillance (par exemple, montrer la semelle de ses chaussures) ne suffit à lui seul à générer du conflit)».


Des Israéliens insultés par une photo d’Obama
Par H. Arenstein, CBS (USA), 9 juin 2009 traduit de l’anglais par Djazaïri

Mardi soir, des présentateurs israéliens d’informations télévisées ont interprété comme une «insulte» envers Israël une photo prise lundi dans le bureau ovale qui montre Obama parlant au téléphone avec le premier ministre israélien Benjamin Netanyahu.

s
Ils ont perçu l’incident comme ayant quelque ressemblance avec un incident de l’an dernier quand un journaliste irakien avait lancé une chaussure sur le président Bush à Bagdad. Dans le monde arabe, montrer la semelle de ses chaussures à quelqu’un est considéré comme une insulte.
Ce n’est pas forcément la façon juive de voir les choses, mais Israël se sent assez partie prenante du Moyen Orient après 60 ans [d’occupation, NdT] pour se sentir insulté également.
s
S’agissait-il d’un message subliminal intentionnel de la Maison Blanche pour Netanyahu à Jérusalem, qui résiste ouvertement aux tentatives de M. Obama et de la Secrétaire d’Etat Hillary Clinton de forcer Israël à stopper une fois pour toutes les actions de colonisation dans les territoires occupés ?
s
Quoi qu’il en soit, cela nous montre l’état d’esprit en Israël. Ils se sentent acculés. Les réactions en dehors d’Israël reflètent ce sentiment.
s
Netanyahu prononce un discours dimanche, en partie en réponse à l’adresse lancée par M. Obama au monde arabe la semaine dernière au Caire.La télévision israélienne Channel One a rapporté que netanyahu s’est entendu dire mardi par un «officiel américain» à Jérusalem : « Nous allons changer le monde. Ne faites pas obstacle, SVP.»
s
Le reportage affirmait que les assistants de Netanyahu ont interprété cela comme une «menace.»Netanyahu a rencontré George Mitchell aujourd’hui pendant quatre heures à Jérusalem.
Le Département d’Etat a annoncé cet après-midi que Mitchell ferait étape à Beyrouth et à Damas après avoir achevé ses visites en Israël et auprès de l’Autorité Palestinienne.

Obama insulte Netanyahu au téléphone!

10 juin 2009

Le président Obama insulte les sionistes en montrant ses semelles à l’objectif d’un appareil photo alors qu’il est en conversation téléphonique avec l’actuel chef du gang sioniste, Benjamin Netanyahu.
L’article qui nous relate l’émoi des sionistes ainsi insultés nous explique que, dans la culture arabe, il est impoli de laisser voir les semelles de ses chaussures aux personnes qui nous entourent.
Certes, ceci est un des traits de l’étiquette arabe
mais pas seulement
Et en quoi les sionistes seraient-ils concernés par les règles arabes de l’étiquette, eux qui passent précisément leur temps à spolier et agresser les arabes en question ?
C’est que, nous dit l’auteur de l’article présenté ci-dessous, au bout de 60 ans d’existence, l’entité sioniste aurait intégré certains traits de la culture environnante.
Chacun sait que c’est faux et que nous sommes en face de la fabrication par les sionistes d’un grief supplémentaire à l’égard d’un Obama peu apprécié d’une bonne partie des leaders des terroristes sionistes. Juste histoire de faire croire qu’Obama représente une réelle menace pour les aspirations colonialistes juives en Palestine et d’adresser à ce dernier le signal qu’il a déjà dépassé les limites de ce que les autorités de Tel Aviv sont prêtes à accepter.

Pour conclure, nous rappellerons simplement qu’Obama n’a pas exhibé ses semelles à Netanyahu avec qui il n’était pas en visioconférence et que «il y a toujours une pluralité de signes de politesse, et qu’alors, un seul signe de défaillance (par exemple, montrer la semelle de ses chaussures) ne suffit à lui seul à générer du conflit)».


Des Israéliens insultés par une photo d’Obama
Par H. Arenstein, CBS (USA), 9 juin 2009 traduit de l’anglais par Djazaïri

Mardi soir, des présentateurs israéliens d’informations télévisées ont interprété comme une «insulte» envers Israël une photo prise lundi dans le bureau ovale qui montre Obama parlant au téléphone avec le premier ministre israélien Benjamin Netanyahu.

s
Ils ont perçu l’incident comme ayant quelque ressemblance avec un incident de l’an dernier quand un journaliste irakien avait lancé une chaussure sur le président Bush à Bagdad. Dans le monde arabe, montrer la semelle de ses chaussures à quelqu’un est considéré comme une insulte.
Ce n’est pas forcément la façon juive de voir les choses, mais Israël se sent assez partie prenante du Moyen Orient après 60 ans [d’occupation, NdT] pour se sentir insulté également.
s
S’agissait-il d’un message subliminal intentionnel de la Maison Blanche pour Netanyahu à Jérusalem, qui résiste ouvertement aux tentatives de M. Obama et de la Secrétaire d’Etat Hillary Clinton de forcer Israël à stopper une fois pour toutes les actions de colonisation dans les territoires occupés ?
s
Quoi qu’il en soit, cela nous montre l’état d’esprit en Israël. Ils se sentent acculés. Les réactions en dehors d’Israël reflètent ce sentiment.
s
Netanyahu prononce un discours dimanche, en partie en réponse à l’adresse lancée par M. Obama au monde arabe la semaine dernière au Caire.La télévision israélienne Channel One a rapporté que netanyahu s’est entendu dire mardi par un «officiel américain» à Jérusalem : « Nous allons changer le monde. Ne faites pas obstacle, SVP.»
s
Le reportage affirmait que les assistants de Netanyahu ont interprété cela comme une «menace.»Netanyahu a rencontré George Mitchell aujourd’hui pendant quatre heures à Jérusalem.
Le Département d’Etat a annoncé cet après-midi que Mitchell ferait étape à Beyrouth et à Damas après avoir achevé ses visites en Israël et auprès de l’Autorité Palestinienne.

>Un diplomate susceptible de plaire au régime sioniste

22 février 2009

>Philip Weiss attire notre attention sur une manifestation visible de double allégeance chez un haut responsable du gouvernement des Etats-Unis.

Elle concerne Dennis Ross que l’administration Obama pourrait charger de gérer le dossier iranien. Sur cette photo qui date de l’an dernier, on voit Dennis Ross présenter à Ehud Olmert, le premier ministre sioniste pour encore quelques jours, le rapport du Jewish Policy Planning Institute (JPPPI).

P. Weiss précise que Dennis Ross préside le JPPPI dont l’objectif est de renforcer «l’identité juive globale» (sic) et de lutter contre ce que Ross appelle le nouvel antisémitisme, c’est-à-dire les démarches qui visent à criminaliser le comportement de l’entité sioniste.

P. Weiss se demande en conclusion si Ross peut être considéré comme un « médiateur honnête.»

La réponse est dans la question car quelle honnêteté peut-on espérer d’un diplomate des Etats-Unis qui s’occupe, et pas seulement à ses moments perdus, de trouver les moyens de renforcer «l‘identité juive globale »?

Ross ne peut que plaire aux sionistes puisqu’il fait en réalité partie des leurs.

Un diplomate susceptible de plaire au régime sioniste

22 février 2009

Philip Weiss attire notre attention sur une manifestation visible de double allégeance chez un haut responsable du gouvernement des Etats-Unis.

Elle concerne Dennis Ross que l’administration Obama pourrait charger de gérer le dossier iranien. Sur cette photo qui date de l’an dernier, on voit Dennis Ross présenter à Ehud Olmert, le premier ministre sioniste pour encore quelques jours, le rapport du Jewish Policy Planning Institute (JPPPI).

P. Weiss précise que Dennis Ross préside le JPPPI dont l’objectif est de renforcer «l’identité juive globale» (sic) et de lutter contre ce que Ross appelle le nouvel antisémitisme, c’est-à-dire les démarches qui visent à criminaliser le comportement de l’entité sioniste.

P. Weiss se demande en conclusion si Ross peut être considéré comme un « médiateur honnête.»

La réponse est dans la question car quelle honnêteté peut-on espérer d’un diplomate des Etats-Unis qui s’occupe, et pas seulement à ses moments perdus, de trouver les moyens de renforcer «l‘identité juive globale »?

Ross ne peut que plaire aux sionistes puisqu’il fait en réalité partie des leurs.

Un diplomate susceptible de plaire au régime sioniste

22 février 2009

Philip Weiss attire notre attention sur une manifestation visible de double allégeance chez un haut responsable du gouvernement des Etats-Unis.

Elle concerne Dennis Ross que l’administration Obama pourrait charger de gérer le dossier iranien. Sur cette photo qui date de l’an dernier, on voit Dennis Ross présenter à Ehud Olmert, le premier ministre sioniste pour encore quelques jours, le rapport du Jewish Policy Planning Institute (JPPPI).

P. Weiss précise que Dennis Ross préside le JPPPI dont l’objectif est de renforcer «l’identité juive globale» (sic) et de lutter contre ce que Ross appelle le nouvel antisémitisme, c’est-à-dire les démarches qui visent à criminaliser le comportement de l’entité sioniste.

P. Weiss se demande en conclusion si Ross peut être considéré comme un « médiateur honnête.»

La réponse est dans la question car quelle honnêteté peut-on espérer d’un diplomate des Etats-Unis qui s’occupe, et pas seulement à ses moments perdus, de trouver les moyens de renforcer «l‘identité juive globale »?

Ross ne peut que plaire aux sionistes puisqu’il fait en réalité partie des leurs.

Selon Sarkozy (et d’après une source sioniste bien informée) la position d’Obama sur l’Iran serait complètement immature!

28 octobre 2008
Dans des réunions à huis clos, M. Nicolas Sarkozy se laisserait à exprimer sa déception au sujet de la politique d’Obama à l’égard de l’Iran : « complètement immature,» telle serait sa description de la position du sénateur de l’Illinois à ce sujet.
C’est du moins ce que prétend Haaretz, ce quotidien de l’entité sioniste qui se réfère à une source gouvernementale sioniste haut placée. Suffisamment haut sans doute pour savoir ce que dit le président Français lors de réunions à huis clos tenues en France. Je l’avais écrit précédemment : bientôt pour savoir ce qui se passe en France, il faudra se reposer sur la presse sioniste.

Si les informations d’Haaretz sont vraies, elles n’ont pas de quoi nous surprendre de la part d’un président Français qui semble aspirer à succéder à Tony Blair dans le rôle de principal fournisseur de chair à canon pour le compte des néo conservateurs US.
Et vrai ou faux, le contenu de cet article nous montre à quel point les sionistes ont du mal à faire confiance à Barack Obama en dépit des protestations et déclarations de ce dernier en faveur de Sion. En effet, le lobby sait parfaitement qui il tient ou pas : la mesure du contrôle s’effectue en espèces sonnantes et trébuchantes. Et à cette aune, le lobby sioniste sait parfaitement qu’il ne tient pas Obama dont un des aspects les plus innovateurs de la campagne a été la capacité à lever une bonne partie de ses fonds auprès d’une multitude de petits donateurs (issus du peuple autrement dit) pour qui il incarne un véritable espoir de changement.

Leurs espoirs seront-ils déçus? Impossible à dire à l’heure actuelle mais; et pour la première fois, c’est l’incertitude qui semble dominer quant à la future politique d’Obama s’il est élu. Les élections précédentes nous avaient fourni en effet surtout des certitudes quant à la continuation de politiques tant intérieures qu’internationales.

Pour mettre de la sorte ses espoirs dans un Nicolas Sarkozy qui est avant tout un suiviste de l’administration Bush, il faut croire que le lobby sioniste est lui-même dans une incertitude qui lui est difficile à supporter!



Selon nos sources : Sarkozy considère la position d’Obama sur l’Iran comme ‘complètement immature’

Par Barak David, Haaretz (Sionistan) 28 octobre 2008, traduit de l’anglais par Djazaïri
.
Le président Français Nicolas Sarkozy est très critique vis-à-vis des positions d’Obama sur l’Iran, selon des informations parvenues au gouvernement israélien.
Sarkozy a émis ses critiques seulement dans des forums tenus à huis clos en France. Mais selon une source gouvernementale israélienne de haut niveau, les informations parvenues à Israël indiquent que Sarkozy considère la position du candidat Démocrate sur l’Iran comme « complètement immature » et constituée de « formulations vides de tout contenu. »
Obama a visité Paris en juillet, et le dossier iranien était au cœur de sa rencontre avec Sarkozy. Lors d’une conférence de presse commune après leur rencontre, Obama avait pressé l’Iran d’accepter les propositions de l’Occident sur son programme nucléaire, déclarant que l’Iran était en train de créer une situation grave qui mettait en danger Israël comme l’Occident.

Selon les informations parvenues à Israël, Sarkozy avait déclaré à Obama lors de cette rencontre que si le président Américain nouvellement élu en novembre modifiait la politique de son pays envers l’Iran, ce serait « très problématique. »

Jusqu’à présent, les cinq membres permanents du Conseil de Sécurité de l’ONU, plus l’Allemagne, ont essayé de maintenir un front uni sur l’Iran. Mais d’après notre source israélienne de haut niveau, Sarkozy craint qu’Obama puisse « avec arrogance » ignorer les autres membres de ce front et lancer un dialogue direct avec l’Iran sans conditions préalables.

Après leur rencontre de juillet, Sarkozy a exprimé de manière répétée sa déception quant aux positions d’Obama sur l’Iran, concluant qu’elles n’étaient « pas cristallisées, et que, en conséquence, de nombreux problèmes restaient en suspens, » indique la source israélienne. Des conseillers du président Français qui ont tenu des réunions séparées avec des conseillers d’Obama en sont sortis avec des impressions similaires et ont exprimé la même déception.
Selon la source israélienne, Sarkozy envisage d’entamer d’intenses négociations avec la nouvelle administration américaine, qu’elle soit dirigée par Obama ou par le sénateur Républicain McCain, avant même la prise de fonctions du nouveau président en janvier, dans le but de le persuader de poursuivre la politique actuelle sur l‘Iran.
Mais le pessimisme de Sarkozy n’est pas lié à la seule position d’Obama, il découle également de l’attitude générale de la communauté internationale à l’égard du programme nucléaire iranien. Sarkozy pense que la politique des petits pas rendra impossible l’obtention d’un changement de la politique nucléaire de l’Iran.

La communauté française du renseignement considère que l’Iran a déjà obtenu environ 40 % de l’uranium enrichi dont il aurait besoin pour sa première bombe, et qu’au rythme actuel, il obtiendra le reste de l’uranium dont il a besoin au printemps ou à l’été 2009.
Cependant, les services français sont divisés sur ce que l’Iran a l’intention de faire une fois en possession de cet uranium. Un point ce vue est que les Iraniens fabriqueront immédiatement une bombe atomique afin de prouver leur maîtrise technologique. L’autre point de vue est que l’Iran continuera à enrichir de l’uranium sans fabriquer de bombe – au moins jusqu’à disposer de suffisamment d’uranium enrichi pour plusieurs bombes.

>Selon Sarkozy (et d’après une source sioniste bien informée) la position d’Obama sur l’Iran serait complètement immature!

28 octobre 2008

>

Dans des réunions à huis clos, M. Nicolas Sarkozy se laisserait à exprimer sa déception au sujet de la politique d’Obama à l’égard de l’Iran : « complètement immature,» telle serait sa description de la position du sénateur de l’Illinois à ce sujet.
C’est du moins ce que prétend Haaretz, ce quotidien de l’entité sioniste qui se réfère à une source gouvernementale sioniste haut placée. Suffisamment haut sans doute pour savoir ce que dit le président Français lors de réunions à huis clos tenues en France. Je l’avais écrit précédemment : bientôt pour savoir ce qui se passe en France, il faudra se reposer sur la presse sioniste.

Si les informations d’Haaretz sont vraies, elles n’ont pas de quoi nous surprendre de la part d’un président Français qui semble aspirer à succéder à Tony Blair dans le rôle de principal fournisseur de chair à canon pour le compte des néo conservateurs US.
Et vrai ou faux, le contenu de cet article nous montre à quel point les sionistes ont du mal à faire confiance à Barack Obama en dépit des protestations et déclarations de ce dernier en faveur de Sion. En effet, le lobby sait parfaitement qui il tient ou pas : la mesure du contrôle s’effectue en espèces sonnantes et trébuchantes. Et à cette aune, le lobby sioniste sait parfaitement qu’il ne tient pas Obama dont un des aspects les plus innovateurs de la campagne a été la capacité à lever une bonne partie de ses fonds auprès d’une multitude de petits donateurs (issus du peuple autrement dit) pour qui il incarne un véritable espoir de changement.

Leurs espoirs seront-ils déçus? Impossible à dire à l’heure actuelle mais; et pour la première fois, c’est l’incertitude qui semble dominer quant à la future politique d’Obama s’il est élu. Les élections précédentes nous avaient fourni en effet surtout des certitudes quant à la continuation de politiques tant intérieures qu’internationales.

Pour mettre de la sorte ses espoirs dans un Nicolas Sarkozy qui est avant tout un suiviste de l’administration Bush, il faut croire que le lobby sioniste est lui-même dans une incertitude qui lui est difficile à supporter!



Selon nos sources : Sarkozy considère la position d’Obama sur l’Iran comme ‘complètement immature’

Par Barak David, Haaretz (Sionistan) 28 octobre 2008, traduit de l’anglais par Djazaïri
.
Le président Français Nicolas Sarkozy est très critique vis-à-vis des positions d’Obama sur l’Iran, selon des informations parvenues au gouvernement israélien.
Sarkozy a émis ses critiques seulement dans des forums tenus à huis clos en France. Mais selon une source gouvernementale israélienne de haut niveau, les informations parvenues à Israël indiquent que Sarkozy considère la position du candidat Démocrate sur l’Iran comme « complètement immature » et constituée de « formulations vides de tout contenu. »
Obama a visité Paris en juillet, et le dossier iranien était au cœur de sa rencontre avec Sarkozy. Lors d’une conférence de presse commune après leur rencontre, Obama avait pressé l’Iran d’accepter les propositions de l’Occident sur son programme nucléaire, déclarant que l’Iran était en train de créer une situation grave qui mettait en danger Israël comme l’Occident.

Selon les informations parvenues à Israël, Sarkozy avait déclaré à Obama lors de cette rencontre que si le président Américain nouvellement élu en novembre modifiait la politique de son pays envers l’Iran, ce serait « très problématique. »

Jusqu’à présent, les cinq membres permanents du Conseil de Sécurité de l’ONU, plus l’Allemagne, ont essayé de maintenir un front uni sur l’Iran. Mais d’après notre source israélienne de haut niveau, Sarkozy craint qu’Obama puisse « avec arrogance » ignorer les autres membres de ce front et lancer un dialogue direct avec l’Iran sans conditions préalables.

Après leur rencontre de juillet, Sarkozy a exprimé de manière répétée sa déception quant aux positions d’Obama sur l’Iran, concluant qu’elles n’étaient « pas cristallisées, et que, en conséquence, de nombreux problèmes restaient en suspens, » indique la source israélienne. Des conseillers du président Français qui ont tenu des réunions séparées avec des conseillers d’Obama en sont sortis avec des impressions similaires et ont exprimé la même déception.
Selon la source israélienne, Sarkozy envisage d’entamer d’intenses négociations avec la nouvelle administration américaine, qu’elle soit dirigée par Obama ou par le sénateur Républicain McCain, avant même la prise de fonctions du nouveau président en janvier, dans le but de le persuader de poursuivre la politique actuelle sur l‘Iran.
Mais le pessimisme de Sarkozy n’est pas lié à la seule position d’Obama, il découle également de l’attitude générale de la communauté internationale à l’égard du programme nucléaire iranien. Sarkozy pense que la politique des petits pas rendra impossible l’obtention d’un changement de la politique nucléaire de l’Iran.

La communauté française du renseignement considère que l’Iran a déjà obtenu environ 40 % de l’uranium enrichi dont il aurait besoin pour sa première bombe, et qu’au rythme actuel, il obtiendra le reste de l’uranium dont il a besoin au printemps ou à l’été 2009.
Cependant, les services français sont divisés sur ce que l’Iran a l’intention de faire une fois en possession de cet uranium. Un point ce vue est que les Iraniens fabriqueront immédiatement une bombe atomique afin de prouver leur maîtrise technologique. L’autre point de vue est que l’Iran continuera à enrichir de l’uranium sans fabriquer de bombe – au moins jusqu’à disposer de suffisamment d’uranium enrichi pour plusieurs bombes.

Le lobby sioniste "possède" Mme Clinton et c’est pourquoi il la préfère au sénateur Obama.

28 février 2008

Pourquoi la guerre contre Obama

par Robert Parry, Baltimore Chronicle (USA) 26 février 2008, traduit de l’anglais par Djazaïri

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Alors que des esprits cyniques continuent à voir l’appel au « changement » de Barack Obama comme une vaine rhétorique, des familiers des cercles de Washington commencent à penser que sa capacité à lever d’importantes somme d’argent auprès d’environ un million de donateurs, la plupart étant de petits donateurs, pourrait fragiliser l’emprise que l’argent lié à des intérêts particuliers a depuis longtemps sur le gouvernement des Etats-Unis.
Cette prise de conscience de plus en plus répandue que le mouvement politique d’Obama pourrait représenter un changement plus révolutionnaire qu’on ne voulait bien l’admettre suscite une résistance croissante chez les défenseurs du statu quo – et incitent à des attaques plus dures contre Obama.

Actuellement, la ligne de front pour l’establishment de Washington est la bataille électorale présidentielle d’Hillary Clinton qui a été abasourdie par l’intelligence politique d’Obama comme par son extraordinaire capacité à lever des fonds par internet. Les dons venus de la base électorale d’Obama ont annulé la prodigieuse avance de Mme Clinton avec les gros donateurs.
Les lobbies puissants – depuis l’AIPAC aux représentants de l’industrie de l’armement et autres – sont également conscients de l’intérêt de maintenir leur domination sur le financement de la campagne en ne diluant pas leur argent dans l’immense réservoir des petits donateurs d’Obama. Il est de leur intérêt direct de freiner l’élan d’Obama et de démoraliser au plus vite la base qui le soutient.
Alors, les néoconservateurs et d’autres mouvements idéologiques – largement dépendants des financements venant des mêmes intérêts particuliers – s’impliquent maintenant dans la campagne électorale de Mme Clinton pour démolir Obama en le dépeignant comme non patriotique, inexpérimenté et probablement « crypto-musulman. »
Le 25 février, William Kristol, éditorialiste néoconservateur du New York Times attaquait le patriotisme d’Obama en citant la décision du sénateur de l’Illinois de ne plus arborer sur son revers le pin du drapeau américain car, selon Obama, il a vu comment George W. Bush avait exploité le drapeau pour précipiter la nation dans la guerre avec l’Irak.
« Vous savez, la vérité est que juste après le 11 septembre j’avais un pin, » avait répondu Obama en octobre 2007 quand on lui avait posé la question sur le non port du pin au drapeau. « Comme nous parlons de la guerre en Irak qui est devenue un substitut selon moi au véritable patriotisme qui consiste à se prononcer sur des questions importantes pour notre sécurité nationale, j’ai décidé de ne plis porter ce pin sur ma poitrine. »
Dans un édito intitulé « C’est Tout pour Lui,» Kristol raillait cette explication comme un exemple aussi bien des proclamations douteuses de patriotisme d’Obama que de sa suffisance.
« Mettons de côté l’affirmation selon laquelle ‘se prononcer sur des questions’ constitue le vrai patriotisme » écrivait Kristol. « Ce qui est frappant c’est qu’Obama n’a pas pu d’empêcher de donner une explication grandiose… La vanité morale a prévalu. Il voulait expliquer qu’il était trop bien – trop patriote ! – pour porter un pin avec le drapeau sur sa poitrine. »
Kristol s’en est pris ensuite à Michelle Obama pour la façon dont elle avait exprimé son enthousiasme devant la mobilisation populaire pour un changement politique qui a entouré la campagne de son mari : « Pour la première fois de ma vie d’adulte, je suis vraiment fière de mon pays, » avait-elle dit.
Kristol écrivait : « Est-il vraiment possible que les Etats-Unis n’aient rien accompli depuis [le milieu des années 1980] qui puisse la rendre fière ? C’est apparemment le cas.» [New York Times, 25 fév. 2008]

Les malheurs financiers de Clinton

Pendant ce temps, la campagne de Clinton – après avoir consommé plus de 130 millions de dollars et nécessité un emprunt d’urgence de cinq millions dans les ressources personnelles des Clinton – l’a ramenée tête basse vers certains des intérêts particuliers déterminés à préserver le statu quo à Washington.
Par exemple, Jonathan Mantz, le directeur financier de la campagne Clinton a rencontré des donateurs de l’ American Israel Public Affairs Committee [AIPAC] dans le salon d’un hôtel de Washington au moment ces soutiens d’Israël se trouvaient dans cette ville pour affaires, rapportait le Wall Street Journal du 14 février.
La démarche avait du sens car ces membres du groupe de pression pro israélien restent inquiets de la proposition par Obama de discussions à haut niveau avec l’Iran, de son opposition à la guerre contre l’Irak et à son moindre palmarès dans le soutien à Israël comparativement à Hillary Clinton et à John McCain.
Un ancien officiel Israélien m’a expliqué que le gouvernement israélien pense que ça peut marcher avec Obama, Clinton ou McCain mais que le lobby israélien aux USA est fermement opposé à Obama, lui préférant Clinton parce que « ils la possèdent. » Selon cet officiel, le lobby a quelques inquiétudes aussi avec Mc Cain à cause de sa ligne indépendante.
Comme d’autres lobbies puissants, l’AIPAC est inquiet de la capacité d’Obama à collecter d’importantes sommes d’argent auprès d’Américains moyens, limitant ainsi pour les politiciens de Washington le besoin de demander l’obole au réseau légendaire de donateurs fortunés de l’AIPAC. [Pour des précisions, voir Consortiumnews.com’s “How Far Will the Clintons Go?”]

Après avoir perdu 11 primaires consécutives, la campagne de Clinton se transforme désormais en stratégie de la « bouche d’égout, » qui consiste à balancer tout ce qu’elle a sous la main sur Obama.

Ces dernières semaines, les représentants de Clinton ont fait circuler des rumeurs sur les liens d’Obama avec des personnes portant des noms arabes et sur les contributions financières qu’il a reçues de la part de personnes qui étaient des étudiants extrémistes dans les années 1970 (malgré qu’ils aient aujourd’hui les cheveux gris et fassent partie des la classe moyenne). Certains regroupent ces attaques sous le titre, « Les scandales d’Obama. »

Le 26 février, Matt Drudge rapportait sur son site de potins qu’un membre de l’équipe Clinton avait envoyé par courriel une photo d’Obama prise en 2006 au cours d’un voyage au Kenya et sur laquelle on le voit portant un turban et d’autres vêtements traditionnels des sages Somaliens. Ce qui a renforcé des rumeurs antérieures selon lesquelles Obama était secrètement Musulman en dépit de sa longue appartenance à une église chrétienne de Chicago.David Plouffe, directeur de campagne d’Obama a dénoncé la mise en circulation de cette photo par l’équipe Clinton et son objectif « honteux et offensant de provoquer la peur. »
L’équipe Clinton a nié avoir eu connaissance de la manière dont la photo a été diffusée, mais Maggie Williams, sa directrice de campagne s’en est prise à l’équipe d’Obama pour sa réaction excessive. « Si les responsables de la campagne de Barack Obama veulent suggérer qu’une photo de lui vêtu d’habits somaliens traditionnels est de nature à semer le trouble, ils devraient avoir honte, » a-t-elle déclaré.

Les deux visages d’Hillary

La sénatrice Clinton elle-même a semblé tiraillée entre montrer aux électeurs son visage le plus doux ou laisser parler sa nature combative profonde.
A la fin du débat au Texas, le 21 février, la sénatrice Clinton avait tendu la main vers Obama et exprimé à quel point elle se sentait « honorée » d’être sur la même estrade que lui. Mais elle a bien vite changé de tactique et lancé de dures attaques contre Obama.
Le 23 février, réagissant à des tracts distribués par le camp d’Obama dans l’Ohio et critiquant ses positions sur l’accord de libre échange nord-américain (ALENA) et l’obligation de souscription qui figure dans son plan pour l’assurance santé, Clinton a tancé son rival.

« Honte à vous, Barack Obama, » avait crié Clinton, avant de lui ordonner de « me rencontrer en Ohio et de débattre sur votre tactique et votre comportement dans cette campagne. »

Certains observateurs ont trouvé que l’explosion de Clinton ressemblait à celle d’une reine en colère grondant un jeune serviteur maladroit, ou à celle d’une principale de collège ramenant un élève à l’administration de l’école en le tirant par l’oreille
« Assez de discours et de grands rassemblements pour ensuite recourir à des tactiques inspirées directement du scénario de Karl Rove, » ajoutait-elle, suggérant que les tracts qui forçaient le contraste entre les positions des deux concurrents étaient en quelque sorte un concept nouveau ou diabolique.
En réalité, les tracts d’Obama étaient d’un genre tout à fait classique, plus inspirés de Tom Paine que de Karl Rove. Si le scénario de Karl Rove avait été utilisé, les tracts auraient été présentés comme venant du camp pro Clinton et auraient soutenu la légalisation de la pornographie pédophile.

Mais la campagne de Clinton en était encore à la phase de rodage. Le 24 février, pendant une étape dans le Rhode Island, Clinton a moqué les discours d’Obama appelant au changement :
« Maintenant, je pourrais simplement rester ici et dire, « Rassemblons-nous. Soyons unis. Le ciel s’ouvrira. La lumière descendra. Les chœurs célestes chanteront et chacun saura que nous devons faire ce qui est juste et le monde sera parfait. »
Devant les rires sous cape de ses partisans, Clinton ajoutait, « Je suis peut être un peu vieille, mais je n’ai aucune illusion sur la difficulté de la tâche. Ce n’est pas un coup de baguette magique qui fera disparaître les intérêts particuliers. »
Même si cette ligne d’attaque de Clinton est populaire chez certains de ses partisans – ridiculiser la naïveté supposée des jeunes partisans d’Obama – Obama n’a jamais donné à penser que contrer les groupes d’intérêts bien établis à Washington serait facile.
Obama a affirmé que seul un peuple américain mobilisé peut élire des représentants pour apporter le changement et qu’ensuite le peuple doit rester vigilant pour se prémunit d’un retour en arrière.

S’il est vrai qu’Obama n’énumère pas toutes les difficultés à venir, son argumentation est au moins aussi réaliste que celle de Clinton selon qui cet obstructionnisme républicain peut être surmonté « en travaillant dur. » Cette stratégie avait échoué lamentablement lorsque son premier plan pour l’assurance santé était tombé à l’eau en dépit de ses efforts.
D’ores et déjà, cependant, la réussite d’Obama à sortir de la dépendance financière vis-à-vis des lobbies est peut-être le développement le plus significatif de cette période électorale.
Cette réussite explique aussi la guerre lancée contre Obama – et la montée de l’hystérie chez les personnalités de l’establishment devant la déferlante suscitée par sa candidature.


Robert Parry a révélé de nombreux aspects de l’affaire « Contras-Iran » dans les années 1980 pour Associated Press et Newsweek.

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