Archive for the ‘génétique’ Category

Encore un exemple de racisme halachique politiquement correct

12 janvier 2011
Un autre exemple de racisme juif que vos journaux se garderont peut-être de vous faire connaître. Je crois que Dov Lior s’est déjà illustré pour des propos racistes halachiquement éprouvés, du moins selon sa compréhension des textes religieux du judaïsme.
Ici il fait preuve d’une espèce de syncrétisme scientifico-talmudique d’un genre que n’aurait pas désavoué le IIIème Reich, sous réserve bien sûr , d’en inverser les termes.
Notez bien que ce rabbin parle vraiment d’une transmission génétique des traits négatifs de personnalité dont le sperme juif prémunit, indépendamment de l’existence ou non d’une éducation juive.
Maintenant, si ce rabbin nazi dit vrai, c’est-à-dire qu’une des caractéristiques des gènes non juifs est de transmettre la cruauté, nous tenons peut-être une preuve que les sionistes sont en grande majorité non juifs.

Un rabbin de premier plan déclare que les enfants de père non juif sont cruels et barbares
ABC (Espagne) 12 janvier 2010 traduit de l’espagnol par Djazaïri 

Jérusalem, 12 janvier (agence EFE) – Dov Lior, un des principaux rabbins israéliens de la tendance nationaliste religieuse, a demandé aux mères jives de refuser les inséminations artificielles avec du sperme venant de non juifs afin que les enfant n’héritent pas de « caractères génétiques négatifs » comme la cruauté.

« Sefer Hajinuj (une oeuvre anonyme de l’Espagne médiévale qui analyse les 613 préceptes juifs) affirme que les traits de personnalité paterneles se transmettent à l’enfant, » a-t-il déclaré pendant une conférence sur la santé féminine donnée récemment à Jérusalem dans une clinique spécialisée dans les problèmes de fertilité.

« Si le père n’est pas juif, quels traits de personnalité peut-il avoir? Un caractère cruel et barbare! Ce ne sont pas les traits qui caracatérisent le peuple d’Israël, » a-t-il ajouté.selon un article de l’édition d’aujourd’hui du Yediot Aharonot.
Lior, grand rabbin des colonies juives d’hébron et de Kiriat Arabat, dans la région sud de la Cisjordanie [sous occupation], a demandé aux couples ayant des problèmes de fertilité de recourir à l’adoption afin d’éviter une insémination par laquelle le bébé hérite des « traits génétiques négatives caractéritiques des non juifs. »

Les juifs, a-t-il argumenté, reçoivent des gènes de leurs géniteurs les qualités de clémence, de réserve et de charité.
« Une personne née de parents juifs, même sans avoir été éduquée dans la Torah, reçoit ces choses dans le sang, c’est génétique, » mais »si le père est un gentil (un non juif), alors l’enfant en sera privé, » a-t-il dit.

« J’ai lu aussi dans des livres que parfois les délits, les traits (psychologiques) difficiles, le ressentiment… un enfant qui hérite de ces traits, ce n’est pas une surprise s’il n’a pas les qualités qui caractérisent le peuple d’Israël » a-t-il ajouté.
Le rabbin a critiqué les dons de sperme et l’insémination artificielle en général, considérant qu’ils enfreignaient la loi juive, et il a exhorté les femmes qui congèlent leurs ovules à se marier plus jeunes.

« Notre opinion publique a subi l’influence d’une partie de la culture occidentale selon laquelle la femme, plutôt que de devenir mère, doit obtenir un diplôme de master. Le rôle de la mère, éduquer les enfants, n’est pas moins important qu’un master, » a-t-il soutenu.
Lior a aussi critiqué les mères célibataires parce que « un enfant qui nait sans père ne peut pas être normal à 100 % » et le littérature rabbinique définit ces enfants comme des « délinquants et sujets à d’autres phénomèènes négatifs. »

Le Sarrazin et le "gène juif"

29 août 2010
Un certain Thilo Sarrazin (sic), haut fonctionnaire de la Bundesbank, la banque centrale allemande, s’est fait remarquer depuis quelques années, non tant par ses compétences financières que par ses remarques, disons peu amènes, à l’égard des personnes d’origine turque ou arabe qui résident en Allemagne.
Jusque là, tout allait donc plutôt bien pour Thilo Sarrazin: s’en prendre aux Sarrasins, après tout…
Et puis, patatras, Thilo Sarrazin est allé trop loin puisque, nous apprend le journal sioniste Haaretz,

« Les membres du gouvernement allemand condamnent Thilo Sarrazin, le cadre de la banque centrale, pour avoir déclaré que tous les Juifs avaient un gène particulier en commun. »

Pourtant le livre que vient de publier Thilo Sarrazin est une charge sévère contre les Turcs et les Arabes. Mais ce n’est en effet pas ça qui a vraiment fait réagir le gouvernement allemand:

Le ministre des affaires étrangères Guido Westerwelle et le ministre de la défense Karl-Theodor zu Guttenberg ont déclaré que Sarrazin avait passé les bornes [was out of line] pour ses propos sur les Juifs, propos qui ont aussi été critiqués par des dirigeants Juifs du pays responsable de l’holocauste.

Pour ceux qui douteraient que Sarrazin a passé les bornes en raison de ses propos sur la « génétique » juive :
« Il n’y a pas de place dans le débat politique pour des propos qui attisent le racisme ou l’antisémitisme, » a déclaré Westerwelle.
« Il y a des limites à toute provocation et Sarrazin, membre de la direction de la Bundesbank, est clairement allé au delà des limites avec ses propos erronés et inappropriés, » a ajoué Guttenberg.
C’est donc clair: pas de place dans le débat pour des propos racistes et antisémites, mais les bornes ne sont franchies qu’en cas de propos antisémites.

Un certain Stephan Kramer, présenté comme un dirigeant communautaire juif, caractérise l’aspect antisémite des propos de M. Sarrazin:

« Quelqu’un qui tente de définir les Juifs par une particularité génétique est consumé par une manie raciste, » a déclaré Kramer.

Oui, car Sarrazin n’a apparemment évoqué aucune tare imputable à cette particularité génétique, la pingrerie par exemple, ni aucune qualité d’ailleurs (comme la propension à avoir du talent artistique). Il s’est borné à parler d’un gène qui serait commun à tous les Juifs (et aussi d’un gène commun aux Basques). 
Or cette affirmation dûment estampillée antisémite fait partie justement des obsessions de nombreuses personnes qui s’acharnent à rechercher ce ou ces fameux gène(s) juif(s). L’ultrasioniste JSS l’a trouvé lui, ce gène juif (je savais bien que JSS était aussi un fieffé antisémite).
Le site Lamed nous précise même que ce matériel génétique est « commun à tous les Juifs et pas seulement pour les Cohanim ». (les Cohen sont supposés effectivement se marier entre eux).

Quand un scientifique se penche sur le peuple élu, il y a problème.

6 avril 2009

Indéniablement, les journaux qui laissent leurs archives sur internet apportent un plus. C’est le cas de l’Observer/Guardian britannique qui a publié l’article que je vous propose en 2001.

Il s’agit d’une affaire de censure touchant un travail de recherche scientifique qui a eu le tort, outre d’appeler un chat un chat (un colon un colon fût-il juif) et de montrer que les Juifs indigènes du Moyen-Orient ne différaient en rien génétiquement des Palestiniens.

Ce qui revient à dire, Ô sacrilège, que le peuple élu ressemble comme une goutte d’eau au peuple non élu.

Mais attention, cette similarité génétique ne concerne que les Palestiniens et les Juifs indigènes de la région et pas ceux qui sont venus d’Europe. Ces derniers sont de complets allochtones dans la région proche orientale puisque ce sont tout simplement en majorité des Européens voire des Eurasiens.

Leurs ancêtres, en dépit de leur prétendue loi du retour, n’ont jamais foulé le sol palestinien. Pas plus que les Arabes venus du Hedjaz et du Nedjd ne se sont substitués aux indigènes de Palestine. Ces derniers, au fil du temps, sont soit restés Juifs, soit sont devenus Chrétiens ou Musulmans

Une preuve de plus que l’entreprise sioniste est absolument dépourvue d’une quelconque «légitimité » historique.

Un journal supprime une recherche sur le génome des Juifs et des Palestiniens

Par Robin McKie, rédaction scientifique, The Observer (UK) 25 novembre 2001, traduit de l’anglais par Djazaïri

Une note de recherche montrant que les Juifs du Moyen Orient et les Palestiniens sont génétiquement pratiquement identiques a été retirée d’une importante revue scientifique.

Les universitaires qui ont déjà reçu des exemplaires de Human Immunology ont été invités à arracher les pages fautives et à les jeter.

Un autocensure aussi radicale est sans précédent dans l’édition scientifique et a provoqué une inquiétude générale, entrainant la crainte qu’elle puisse impliquer l’élimination des travaix de recherche qui mettent en cause le dogme biblique.

J’ai rédigé plusieurs centaines d’articles scientifiques, certains pour les revues Nature et Science, et ça na m’était jamais arrivé avant», a déclaré le rédacteur principal de l’article, professeur espagnol de génétique Antonio Arnaiz-Villena, de l’Université Complutense de Madrid. Je suis stupéfait’.

Le généticien britannique Sir Walter Bodmer ajoute : ‘Si le journal n’aimait pas ce papier, il n’aurait tout d’abord pas du le publier. Pourquoi attendre sa parution avant d’agir ainsi?’

The journal’s editor, Nicole Sucio-Foca, of Columbia University, New York, claims the article provoked such a welter of complaints over its extreme political writing that she was forced to repudiate it. The article has been removed from Human Immunology’s website, while letters have been written to libraries and universities throughout the world asking them to ignore or ‘preferably to physically remove the relevant pages’. Arnaiz-Villena has been sacked from the journal’s editorial board.

La rédactrice en chef du journal, Nicole Sucio-Foca, de l’Université de Columbia, New York, affirme que l’article a provoqué une telle multitude de plaintes par rapport à son contenu politique extrémiste qu’elle a été forcée de le répudier. L’article a été retiré du site Web de Human Immunology, tandis que des lettres ont été écrites aux bibliothèques et aux universités du monde entier, leur demandant d’ignorer ou de préférence de supprimer physiquement ces pages ». Arnaiz-Villena a été renvoyé du comité éditorial du journal.

Dolly Tyan, présidente de l’American Society of Histocompatibility and Immunogenetics, qui gère le journal, a déclaré à ses abonnés que la société est «choquée et embarrassée».

L’article, «L’Origine des Palestiniens et de leur parenté génétique avec les populations d’autres pays méditerranéens», étudie les variations génétiques impliquées dans les gènes du système immunitaire chez les populations du Moyen-Orient.

Comme d’autres recherches antérieures, l’équipe n’ont pas trouvé de données en faveur de l’idée que la population juive différait génétiquement d’autres populations de la région. Ce faisant, l’étude menée par l’équipe remet en cause les affirmations selon lesquelles les Juifs seraient un peuple particulier, un peuple élu et que le judaïsme est seulement héréditaire.

Au Moyen-orient, les Juifs et les Palestiniens ont en commun un patrimoine génétique très similaire et doivent être considérés comme très proches et non génétiquement séparés, établissent les auteurs. La rivalité entre les deux races est donc basée sur la ‘culture et la religion, et pas sur des différences génétiques,’ concluent-ils.

Mais le journal, ayant accepté le papier plus tôt dans l’année, affirme maintenant que l’article était biaisé politiquement et rédigé en recourant à des remarques ‘inappropriées’ sur le conflit palestino-israélien. Sa rédactrice en chef a expliqué la semaine dernière au journal Nature qu’elle avait été menacée de démissions en masse de ses membres si elle ne retirait pas l’article.

Arnaiz-Villena déclare n’avoir vu aucune des accusations formulées contre lui, malgré qu’on lui a promis la possibilité de voir les lettres envoyées au journal.

Il admet avoir utilisé dans l’article des termes qui prêtaient le flanc à la critique. Il y a une référence aux ‘colons’ juifs qui vivent dans la bande de gaza, et une autre parle des Palestiniens qui vivent dans des camps de ‘concentration.’

‘J’aurais peut-être du utiliser le mot ‘settlers’ au lieu de colons, mais quelle différence en réalité ? dit-il. (aucune, NdT).

‘Et certes, j’aurais du écrire camps de réfugiés, pas camps de concentration, mais compte tenu du fait que j’évoquais des camps qui se trouvent hors d’Israël – en Syrie et au Liban – ça fait difficilement de moi un anti juif. Les références à l’histoire de la région, celles qui sont supposées être politiquement offensantes, ont été extraites de l’Encyclopaedia Britannica et d’autres ouvrages de base.’

Après les démarches faites par le journal, et l’annonce de protestations massives contre l’article, plusieurs scientifiques viennent d’écrire à la Society of Histocompatibility and Immunogenetics pour soutenir Arnaiz-Villena et pour protester contre cette mainmise despotique.

L’un d’entre eux déclare : ‘Si Arnaiz-Villena avait trouvé des preuves que le peuple juif était très particulier, et non pas ordinaire, vous pouvez être certain que personne n’aurait objecté aux phrases contenues dans l’article. C’est une affaire très triste.’

>Quand un scientifique se penche sur le peuple élu, il y a problème.

6 avril 2009

>

Indéniablement, les journaux qui laissent leurs archives sur internet apportent un plus. C’est le cas de l’Observer/Guardian britannique qui a publié l’article que je vous propose en 2001.

Il s’agit d’une affaire de censure touchant un travail de recherche scientifique qui a eu le tort, outre d’appeler un chat un chat (un colon un colon fût-il juif) et de montrer que les Juifs indigènes du Moyen-Orient ne différaient en rien génétiquement des Palestiniens.

Ce qui revient à dire, Ô sacrilège, que le peuple élu ressemble comme une goutte d’eau au peuple non élu.

Mais attention, cette similarité génétique ne concerne que les Palestiniens et les Juifs indigènes de la région et pas ceux qui sont venus d’Europe. Ces derniers sont de complets allochtones dans la région proche orientale puisque ce sont tout simplement en majorité des Européens voire des Eurasiens.

Leurs ancêtres, en dépit de leur prétendue loi du retour, n’ont jamais foulé le sol palestinien. Pas plus que les Arabes venus du Hedjaz et du Nedjd ne se sont substitués aux indigènes de Palestine. Ces derniers, au fil du temps, sont soit restés Juifs, soit sont devenus Chrétiens ou Musulmans

Une preuve de plus que l’entreprise sioniste est absolument dépourvue d’une quelconque «légitimité » historique.

Un journal supprime une recherche sur le génome des Juifs et des Palestiniens

Par Robin McKie, rédaction scientifique, The Observer (UK) 25 novembre 2001, traduit de l’anglais par Djazaïri

Une note de recherche montrant que les Juifs du Moyen Orient et les Palestiniens sont génétiquement pratiquement identiques a été retirée d’une importante revue scientifique.

Les universitaires qui ont déjà reçu des exemplaires de Human Immunology ont été invités à arracher les pages fautives et à les jeter.

Un autocensure aussi radicale est sans précédent dans l’édition scientifique et a provoqué une inquiétude générale, entrainant la crainte qu’elle puisse impliquer l’élimination des travaix de recherche qui mettent en cause le dogme biblique.

J’ai rédigé plusieurs centaines d’articles scientifiques, certains pour les revues Nature et Science, et ça na m’était jamais arrivé avant», a déclaré le rédacteur principal de l’article, professeur espagnol de génétique Antonio Arnaiz-Villena, de l’Université Complutense de Madrid. Je suis stupéfait’.

Le généticien britannique Sir Walter Bodmer ajoute : ‘Si le journal n’aimait pas ce papier, il n’aurait tout d’abord pas du le publier. Pourquoi attendre sa parution avant d’agir ainsi?’

The journal’s editor, Nicole Sucio-Foca, of Columbia University, New York, claims the article provoked such a welter of complaints over its extreme political writing that she was forced to repudiate it. The article has been removed from Human Immunology’s website, while letters have been written to libraries and universities throughout the world asking them to ignore or ‘preferably to physically remove the relevant pages’. Arnaiz-Villena has been sacked from the journal’s editorial board.

La rédactrice en chef du journal, Nicole Sucio-Foca, de l’Université de Columbia, New York, affirme que l’article a provoqué une telle multitude de plaintes par rapport à son contenu politique extrémiste qu’elle a été forcée de le répudier. L’article a été retiré du site Web de Human Immunology, tandis que des lettres ont été écrites aux bibliothèques et aux universités du monde entier, leur demandant d’ignorer ou de préférence de supprimer physiquement ces pages ». Arnaiz-Villena a été renvoyé du comité éditorial du journal.

Dolly Tyan, présidente de l’American Society of Histocompatibility and Immunogenetics, qui gère le journal, a déclaré à ses abonnés que la société est «choquée et embarrassée».

L’article, «L’Origine des Palestiniens et de leur parenté génétique avec les populations d’autres pays méditerranéens», étudie les variations génétiques impliquées dans les gènes du système immunitaire chez les populations du Moyen-Orient.

Comme d’autres recherches antérieures, l’équipe n’ont pas trouvé de données en faveur de l’idée que la population juive différait génétiquement d’autres populations de la région. Ce faisant, l’étude menée par l’équipe remet en cause les affirmations selon lesquelles les Juifs seraient un peuple particulier, un peuple élu et que le judaïsme est seulement héréditaire.

Au Moyen-orient, les Juifs et les Palestiniens ont en commun un patrimoine génétique très similaire et doivent être considérés comme très proches et non génétiquement séparés, établissent les auteurs. La rivalité entre les deux races est donc basée sur la ‘culture et la religion, et pas sur des différences génétiques,’ concluent-ils.

Mais le journal, ayant accepté le papier plus tôt dans l’année, affirme maintenant que l’article était biaisé politiquement et rédigé en recourant à des remarques ‘inappropriées’ sur le conflit palestino-israélien. Sa rédactrice en chef a expliqué la semaine dernière au journal Nature qu’elle avait été menacée de démissions en masse de ses membres si elle ne retirait pas l’article.

Arnaiz-Villena déclare n’avoir vu aucune des accusations formulées contre lui, malgré qu’on lui a promis la possibilité de voir les lettres envoyées au journal.

Il admet avoir utilisé dans l’article des termes qui prêtaient le flanc à la critique. Il y a une référence aux ‘colons’ juifs qui vivent dans la bande de gaza, et une autre parle des Palestiniens qui vivent dans des camps de ‘concentration.’

‘J’aurais peut-être du utiliser le mot ‘settlers’ au lieu de colons, mais quelle différence en réalité ? dit-il. (aucune, NdT).

‘Et certes, j’aurais du écrire camps de réfugiés, pas camps de concentration, mais compte tenu du fait que j’évoquais des camps qui se trouvent hors d’Israël – en Syrie et au Liban – ça fait difficilement de moi un anti juif. Les références à l’histoire de la région, celles qui sont supposées être politiquement offensantes, ont été extraites de l’Encyclopaedia Britannica et d’autres ouvrages de base.’

Après les démarches faites par le journal, et l’annonce de protestations massives contre l’article, plusieurs scientifiques viennent d’écrire à la Society of Histocompatibility and Immunogenetics pour soutenir Arnaiz-Villena et pour protester contre cette mainmise despotique.

L’un d’entre eux déclare : ‘Si Arnaiz-Villena avait trouvé des preuves que le peuple juif était très particulier, et non pas ordinaire, vous pouvez être certain que personne n’aurait objecté aux phrases contenues dans l’article. C’est une affaire très triste.’


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