Archive for the ‘Mossad’ Category

Une vingtaine d’agents du Mossad exfiltrés de Tunisie

15 janvier 2011
Une drôle d’histoire que nous relate le Yediot Aharonot, un journal de l’entité sioniste.
Le Yediot nous parle en effet de l’évacuation hors de Tunisie de vingt ressortissants de l’entité sioniste qui, d’après ce journal, se trouvaient dans ce pays en tant que touristes.
Soit.
Nous savons qu’à aucun moment la sécurité des touristes étrangers n’a été menacée par qui que ce soit en Tunisie, et que c’est seulement par précaution que divers Etats ont procédé au rapatriement de leurs administrés.
Pourtant le Yediot écrit:

Un groupe de 20 Israéliens a été secouru samedi soir en Tunisie, où un soulèvement violent a réussi à renverser le gouvernement.
 La mission compliquée a été orchestrée (sic) par un certain nombre d’administrations israéliennes dont le ministère des affaires étrangères. Les touristes ont d’abord été transférés dans un pays tiers d’où ils doivent se rendre en Israël par avion.
Yossi Levy, porte parole du ministère, a déclaré à propos de cette affaire, « C’est une histoire qui finit bien, mais qui a demandé des efforts pour sauver des vies de la part d’agents du ministère des affaires étrangères et d’autres services. »

C’est pas la traversée de la mer Rouge, mais presque!
A mon avis, il s’agissait d’agents secrets comme ceux qui ont assassiné un responsable du Hamas à Dubaï
Un site ultra sioniste nous apporte quelques compléments d’information:  ces touristes avaient en majorité des passeports européens . 
Tout comme les agents du Mossad en action à Dubaï, ce qui explique que la tâche de leur rapatriement n’ait pas été laissée aux pays dont ils détiennent les passeports qui sont sans doute des vrais faux..
Et puis, nous informe ce site ultrasioniste, les Juifs de Tunisie vivent dans l’angoisse! Pour le reste des gens, tout est pourtant absolument normal en Tunisie!

Les juifs ne sortent pas dans les rues ce Chabat et restent calfeutrés et angoissés à la maison (IsraelValley est en contact avec des hommes politiques de Jérusalem qui sont eux-mêmes en relation avec des personnalités de la Communauté juive Tunisienne). Selon le Secrétariat d’Etat Français au Tourisme, “quelque 8.000 Français (selon IsraelValley : dont de nombreux juifs de France) séjournent actuellement en Tunisie”.
 

Le Mossad derrière la mort du député Allemand Uwe Barschel?

21 novembre 2010
Franchement, je ne vois ce qui pourrait amener la presse française à parler de certains sujets susceptibles d’être embarrassants embarrassants pour l’entité sioniste.
Pourtant ces sujets sont abordés en français, mais en Suisse par exemple. Nous  apprenons ainsi par Romandie News et d’autres organes de presse helvètes que le député Allemand, ministre-président chrétien-démocrate du Schlewig-Holstein,  Uwe BARSCHEL, retrouvé mort dans un hôtel à Genève a peut-être bien été assassiné par le Mossad, le service secret sioniste que nous admirons tant en Europe.
Cette thèse avait été formulée en 1994 par Victor Ostrovsky, un ancien du Mossad. et semble être confirmée par les données analysées.

Affaire Barschel: la piste du Mossad refait surface 23 ans après

Vingt-trois ans après le mystérieux décès du dirigeant conservateur allemand Uwe Barschel à Genève, un journal laisse entendre dimanche que les services secrets israéliens seraient responsables de son assassinat. Le « Welt am Sonntag » cite de nouvelles analyses toxicologiques réalisées en Suisse.
Selon le journal, ces analyses confortent les affirmations d’un ancien agent du Mossad, Victor Ostrovsky, qui a détaillé dans un livre publié en 1994 comment M. Barschel aurait été tué. Cet ancien ministre-président chrétien-démocrate du Schlewig-Holstein (nord) avait été retrouvé mort dans un hôtel de Genève le 11 octobre 1987, tout habillé dans une baignoire remplie d’eau.
Les enquêtes officielles n’ont jamais permis de savoir si Uwe Barschel, qui avait ingéré des barbituriques, s’était suicidé ou avait été assassiné. Selon Welt am Sonntag, qui mentionne les recherches du professeur de toxicologie suisse Hans Brandenberger, « le scénario décrit par Ostrovsky correspond de façon étonnante à l’analyse des données ».
« Les expertises chimiques laissent penser à un meurtre (…) et du fait de la complexité du mode d’assassinat on ne peut que penser qu’il a été commis par une équipe de professionnels et non pas par une personne seule », selon M. Brandenberger.
Uwe Barschel, âgé à l’époque de 43 ans, avait été contraint d’abandonner quelques semaines avant sa mort son poste de ministre-président après avoir été accusé d’avoir fait espionner son adversaire social-démocrate aux élections dans l’espoir de le salir. Il avait alors menacé de faire des révélations.
L’affaire d’espionnage politique est passée aujourd’hui au second plan, mais la presse a souvent évoqué l’hypothèse d’un contrat non honoré de vente de sous-marins à l’Afrique du Sud.
L’affaire, dans laquelle Israël aurait joué un rôle d’intermédiaire, aurait permis à des partis politiques allemands de toucher des commissions occultes.
(Romandie News ats / 21 novembre 2010)

Gagnez de l’argent avec votre passeport européen!

26 octobre 2010

Richard Silverstein nous présente sur son blog, Tikun-Olam, une publicité alléchante du Mossad:

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D’après Richard Silverstein, on peut lire sur cette publicité:

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Meurtre de Dubaï: agent du Mossad identifié en fuite

10 mars 2010
L’affaire de l’assassinat de Mahmoud al-Mabhouh n’en finit pas de connaître des rebondissements, dignes comme on le dit parfois de romans d’espionnage. Ces rebondissements ne sont cependant pas dûs au talent d’un romancier, mais à celui de la police de Dubaï et aux erreurs du Mossad qui a sous-estimé l’efficacité des forces de l’ordre de cet émirat.
Si l’aspect vrais-faux passeports du dossier est bien connu, une attention moindre a été accordée à la piste « financière » de l’enquête. En effet, la police de Dubaï a pu confirmer que 17 des tueurs sionistes ont effectué des règlements avec des cartes de crédit de type prépayé émises par la société américaine Payoneer. On peut lire, sous la plume de Daniel Rouach, journaliste dans une officine sioniste, que Payoneer, dont le siège se trouve à Newyork mais la Recherche développement [comprenez l’ingénierie en entourloupes et autres escroqueries] à Tel Aviv « se retrouve involontairement trempée jusqu’au cou dans l’affaire de Dubaï. »
Ce que ne nous dit pas M. Rouach, c’est que Payoneer a été fondée par un certain Yuval Tal, ancien membres des forces spéciales de l’armée sioniste. Payoneer travaille avec deux banques, la Meta Bank de l’Illinois et une banque de Belize (ex Honduras britannique). Une banque du Delaware avait décidé d’interrompre sa collaboration avec Payonneer. Cette banque comme la Meta bank ont été ou sont confrontées à des démêlés avec la justice dont la teneur est inconnue.
A ce jour, en dehors des hauts dirigeants du Mossad, Yuval Tal est la seule personne impliquée dans l’opération d’assassinat dont on est certain à 100 % de l’identité. Ce n’est donc pas un hasard s’il a pris la poudre d’escampette, fuyant le territoire des USA, sans doute pour rejoindre le paradis des délinquants.
Car non, aucun policier du FBI n’est venu l’arrêter pour interrogatoire. Et non, aucun commando palestinien muni de vrais faux passeports britanniques, français, irlandais ou australien n’est venu l’assassiner à New York. (où alors le Mossad a procédé à la liquidation de son agent financier).

Un New Yorkais lié au meurtre de Dubaï disparaît
par LORENA MONGELLI
New York Post, 10 mars 2010 traduit de l’anglais par Djazaïri

Le mystère sur la connexion newyorkaise avec l’assassinat d’un chef terroriste du Moyen Orient s’est épaissi hier avec la disparition du fondateur d’une société de cartes de crédit impliquée dans le complot.
Les employés de Payoneer Inc., la société de Yuval Tal, ont indiqué qu’il n’était pas au siège de l’entreprise au centre ville, et des voisins de Tal à Brooklyn ont affirmé qu’il avait quitté le pays.
Payonner, fondée par Tal en 2005, a été identifiée comme étant la société qui a fourni des cartes de crédit qui ont fini entre les mains des tueurs présumés du commandant du hamas Mahmoud al-Mabhouh à Dubaï.

Tal est un ancien membre des forces spéciales israéliennes et est venu au centre de l’attention depuis que la police de Dubaï a accusé Payoneer d’avoir émis au moins 17 cartes de crédit au commando qui a commis l’assassinat du 19 janvier.
Au siège de Payoneer au 1841 Broadway, les salariés ont dit que Tal « n’était pas là aujourd’hui » et personne d’autre n’a pu s’exprimer au nom de l’entreprise.

Tal est enregistré comme propriétaire d’un immeuble d’habitation à Berjkeley Square dans Park Slope.

Le Turkménistan ne veut pas du Mossad chez lui

3 mars 2010
Il n’y a pas qu’à Dubaï qu’on n’apprécie guère le Mossad. Au Turkménistan non plus on n’aime pas bien cette officine spécialisée dans le meurtre et les coups tordus. Ce pays a récemment accepté d’accueillir une ambassade de l’entité sioniste. Cette dernière, ravie d’établir des relations diplomatiques avec un pays notoirement plus démocratique que l’Iran ou l’Egypte (dans ce dernier cas ce n’est pas difficile) s’est empressé d’appointer un certain Reuven Dinel.
Pas de pot, Reuven Dinel, un proche d’Avigdor Lieberman, le videur de boîtes de nuit, est aussi un ancien agent du Mossad, expulsé antérieurement de Russie pour s’être livré à des activités d’espionnage dans ce pays.
Et le Turkménistan ne veut pas d’un ancien agent du Mossad comme plénipotentiaire de l’Etat délinquant. Peut-être parce que ce pays frontalier de l’Iran se méfie des ses éventuels agissements de nature à créer de la tension avec un pays voisin, peut-être parce que la Russie qui garde un oeil sur son proche étranger y est opposée. Où les deux.
Des relations diplomatiques qui commencent donc par un impair. 

Le Turkménistan: Nous ne voulons pas d’un ancien du Mossad comme ambassadeur
par Barak Ravid, Haaretz (Sionistan) 3 mars 2010 traduit de l’anglais par Djazaïri

Cela fait quatre mois maintenant que le Turkménistan retarde la ratification de la nomination de Reuven Dinel, un proche du ministre des affaires étrangères Avigdor Lieberman, en qualité de premier ambassadeur d’Israël dans ce pays. Des sources du ministère des affaires étrangères ont  indiqué qu’il s’agissait d’un procédé diplomatique inhabituel visant à faire comprendre que le Turkménistan n’est pas intéressé par cette nomination parce que Dinel a travaillé au Mossad. « Ils espèrent que nous comprendrons le sous-entendu et désignerons quelqu’un d’autre à ce poste, » a déclaré un cadre supérieur du ministère.

Fin juillet 2009, Lieberman avait annoncé son intention de nommer Dinel en qualité d’ambassadeur à Achkabad, la capitale du Turkménistan. Le ministre des affaires étrangères avait attribué une importance particulière à cette nomination du fait qu’il s’agit d’inaugurer une ambassade dans un pays qui a une longue frontière commune avec l’Iran. Lieberman pensait que cela permettait aussi d’envoyer un message à Téhéran.

En 2003, alors ministre des transports, Lieberman avait nommé Dinel, qu’on considère domme un proche du ministre, à la tête de Carmel, l’office portuaire d’Haïfa. Actuellement, Dinel est directeur général adjoint du management des ressources à l’Israel Ports Development and Assets Company.
Lieberman voyait l’affectation de Dinel au Turkménistan comme un fait marquant de sa première année en tant que ministre des affaires étrangères et mettait beaucoup d’espoirs sur Dinel et les compétences qu’il pourrait tirer pour son rôle d’ambassadeur  de son passage au Mossad.
Le 25 octobre, le gouvernement approuvait la nomination et quelques jours après, comme il est de coutume dans le protocole diplomatique, Israël envoyait une lettre officielle au Turkménistan pour donner des précisions sur le nouvel ambassadeur ainsi que demander au gouvernement étranger d’accepter la nomination.

Technique et symbolique, le processus d’accréditation de la nomination d’un ambassadeur ne pose habituellement aucun problème. Cependant, le Turkménistan a décidé exceptionnellement de ne pas donner l’accréditation. Près de quatre mois son passés depuis l’envoi de la requête israélienne, mais le gouvernement turkmène n’a rendu aucune réponse à Jérusalem au sujet de la nomination de Dinel. La conduite du gouvernement du Turkménistan a provoqué un sérieux embarras chez le ministre des affaires étrangères compte tenu de la grande importance qu’il avait accordé à cette nomination et à l’ouverture d’une nouvelle ambassade dont il a fait une affaire personnelle.

En arrière-plan du refus turkmène d’accréditer Dinel en qualité d’ambassadeur d’Israël, pourrait bien se trouver une affaire embarrassante qui le poursuit depuis 1996 quand il servait en tant que premier envoyé du Mossad à Moscou. Cette anné là, Dinel avait été expulsé de Russie après que des agents des forces de sécurité moscovites l’avaient pris en flagrant délit en train de réceptionner des photos satellites classifiées que lui apportaient des officiers Russes.

Des sources du ministère des affaires étrangères ont établi dimanche que les Russes, qui considèrent Dinel persona non grata, ont envoyé des messages au Turkménistan indiquant qu’ils souhaitaient que ce pays ne donne pas son accord à la nomination.

« Cette nomination était étrange dès le départ, » explique une source haut placée au ministère des affaires étrangères. « Ils ont pris quelqu’un qui est un espion notoire, qui a même été expulsé de Russie pour ça, et ils le mettent au Turkménistan. Ils ont fait tout ça sans consulter un seul professionnel du secteur. Que pensaient-ils qu’il allait se passer? Il n’y a aucune chance qu’il obtienne l’accréditation des autorités du Turkménistan. »

Le bureau du ministre des affaires étrangères a déclaré en réponse: « L’ouverture de l’ambassade ai Turkménistan a été retardée parce qu’un certain nombre de difficultés sont apparues, essentiellement au sujet de questions de sécurité comme c’est fréquemment le cas lors de l’ouverture d’une nouvelle représentation. Nous espérons qu’il sera possible de régler les problèmes dans les semaines à venir. »

Comment obtenir un vrai/faux passeport en Australie (et sans doute ailleurs)?

26 février 2010
Eh oui, comme je vous le disais dans les posts précédents, le mésusage par le Mossad de passeports de nations amies fait des vagues aux antipodes aussi. Et cet article du quotidien The Age expose presque en pleine lumière les pratiques de l’entité sioniste dans les Nations « amies » (si le mot amitié peut avoir un sens pour les sionistes). On appréciera notamment les changements répétés de nom, pour convenances personnelles nous disent des personnes qui aiment à s’adonner au jeu des sept familles. On appréciera aussi les dires de ce député Australien qui n’a rien trouvé de mieux à faire que de soutenir le régime sioniste dans sa pratique qui consiste à falsifier les documents de voyage de pays amis pour commettre des actes terroristes, comme par exemple l’assassinat de Mahmoud al-Mabhouh. J’espère au moins que le lobby sioniste le paye bien, car faire la Marie couche toi là avec autant de brio mérite vraiment une belle récompense.
Et ce que le Mossad fait en Australie se fait aussi dans d’autres pays ainsi que le confirme un sioniste cité dans l’article.

Les services secrets australiens enquêtent sur l’espionnage israélien
par Jason Koutsoukis and Jonathan Pearlman The Age (Australie) 27 février 2010 traduit de l’anglais par Djazaïri

L’ASIO (Australian Security Intelligence Organisation) enquête sur au moins trois personnes ayant la double citoyenneté australienne-israélienne qu’elle soupçonne d’utiliser une couverture australienne pour espionner en faveur d’Israël.

L’enquête a démarré au moins six mois avant l’assassinat en janvier de Mahmoud al-Mabhouh, un militant du Hamas, dont on considère généralement maintenant qu’il a été commis par le Mossad, le service de renseignements extérieurs israélien.

Les autorités de Dubaï ont révélé que trois personnes soupçonnées d’implication dans l’assassinat voyageaient avec des passeports australiens falsifiés au nom de trois personnes ayant la double citoyenneté australienne-israélienne.
Les trois personnes reliées à la mort de Mabhouh ne sont en rien liées aux trois qui font l’objet des investigations de l’ASIO.

L’Australie a confronté Israël pour la deuxième fois au sujet de l’utilisation de passeports australiens trafiqués, l’ambassadeur actuellement en poste à Tel Aviv, Nocoli Maning-Campbell ayant  transmis aux officiels Israéliens les préoccupations de son gouvernement.

La police fédérale australienne enquête sur cette affaire, aux côtés de l’ASIO et de l’Australian Passport Office.

Entre temps, l’Australie s’apprêtait hier soir à New York à s’abstenir dans un vote à l’ONU sur une nouvelle résolution pressant Israël et l’Autorité palestinienne d’enquêter sur les allégations de crimes de guerre commis pendant la guerre de l’année dernière à Gaza.

On attendait pour le début de la matinée le vote sur la résolution par l’Assemblée Générale.

Des allégations de crimes de guerre perpétrés par Israël et le Hamas ont été avancées dans un rapport spécial de l’ONU rédigé par le juge Sud Africain Richard Goldstone.

L’Australie avait voté contre une résolution similaire présentée devant l’Assemblée générale de l’ONU l’an dernier.

Le gouvernement Rudd a averti Israël que la falsification de passeports australiens ne serait pas considérée comme « le geste d’un ami. »

Mais Yigal Palmor, le porte parole du ministère israélien des affaires étrangères a démenti hier que les relations diplomatiques étaient dans une mauvaise passe.

« je n’ai entendu aucun gouvernement accuser Israël d’être impliquée dans cette affaire, ni en France, ni en Grande Bretagne, ni en Irlande, ni en Allemagne et ni en Australie en ce moment, » a-t-il dit sur ABC Radio.

Selon nos deux sources au sein des services de renseignements australiens, les trois personnes à la double citoyenneté sous surveillance de l’ASIO ont émigré en Israël au cours de la dernière décennie.

Chacun de ces trois hommes est, depuis, revenu en Australie à des moments différents pour changer de nom et obtenir un nouveau passeport australien.

Un des hommes sous surveillance a changé trois fois de nom de famille et les deux autres deux fois. Dans chaque cas, les hommes ont changé des patronymes qui pouvaient être perçus comme sonnant juif européen au profit de noms identifiés plus typiquement comme anglo-australiens.

Les citoyens australiens ont en général l’autorisation de changer de patronyme une fois tous les douze mois dès lors que ce n’est pas pour des motifs criminels.

Ces nouveaux passeports australiens ont depuis été utilisés pour pouvoir entrer dans un certain nombre de pays qui sont hostiles à Israël, dont l’Iran, la Syrie et le Liban. Aucun de ces trois pays ne reconnaît Israël et ils interdisent spécifiquement l’entrée de citoyens Israéliens sur leur territoire.

Notre journal a appris que ces trois citoyens Australiens ont en commun de travailler pour une société européenne de télécommunications qui possède une filiale au Moyen Orient..

The Age a contacté deux de ces hommes qui ont nié être impliqué dans une quelconque activité d’espionnage. Ils ont confirmé avoir changé de patronymes mais ont affirmé que l’idée qu’ils l’auraient fait pour obtenir de nouveaux documents de voyage pour circuler au Moyen Orient était, selon les termes de l’un d’entre eux, « totalement absurde. »

Tous deux ont déclaré avoir changé de nom pour des raisons personnelles. On pense qu’un de ces hommes a aussi la citoyenneté britannique et qu’il fait l’objet de l’attention des services secrets britanniques depuis son changement de nom.

L’ASIO n’a fait aucun commentaire.

Un spécialiste Israélien du renseignement a déclaré hier à The Age qu’il n’était un secret pour personne qu’Israël approchait des gens qui avaient immigré d’autres pays pour aider Israël en remettant leurs passeports. « Les noms sont utilisés plus tard, mais la personne qui cède son passeport n’est pas impliquée. »

Warren Reed, un ancien agent des services d’espionnage australiens, l’Australian Secret Intelligence Service, explique que le vol de passeports par des services étrangers n’était « pas nouveau. »

« L’utilisation de faux papiers dans l’espionnage est aussi vieux que l’espionnage, » dit-il.

Le député libéral Julian McGauran s’est nettement démarqué de la position de son leader et a critiqué le ministre des affaires étrangères Stephen Smith pour avoir « publiquement montré du doigt Israël. »

Le leader d’opposition Tony Abbott, qui avait critiqué le premier le système australien des passeports, n’avait pas pu être joint hier au sujet de cette affaire.

Un Australien averti en vaut deux. Sauf quand on le met en garde contre le Mossad.

26 février 2010
L’utilisation de vrais/faux passeports par les tueurs du Mossad qui ont opéré à Dubaï fait des vagues jusqu’en Australie, pays dont le premier ministre Kevin Rudd avait pourtant affirmé que le soutien à l’entité sioniste était inscrit dans ses gènes. On devra donc considérer que l’utilisation de vrais/faux passeports australiens par des membres du commando australien n’est rien d’autre qu’une maladie génétique incurable et qu’il faudra bien accepter de vivre avec.
A cette réserve près qu’un diplomate palestinien en poste à Canberra avait tenté, vainement, d’alerter les autorités australiennes sur les manigances d’agents du Mossad qui s’affairaient à obtenir de vrais/faux passeports australiens. Et que ses tentatives d’alerte étaient intervenues dans le contexte de l’arrestation de deux agents du Mossad qui de leur côté avaient essayé de se faire délivrer un vrai/faux passeport néo-zélandais.
On lira avec attention les réponses peu convaincantes du ministre australien des affaires étrangères en poste à l’époque où l’attention de ses services avait été attirée sur les agissements du Mossad en Australie; en particulier la phrase suivante: « ils [les services secrets sionistes] ne devraient pas envisager d’utiliser des passeports australiens, en anglais: « they should not consider using Australian passports » au lieu de « They mustn’t use » (ils ne doivent pas utiliser) ou « We refuse » (nous refusons) ou encore « They won’t in any case use » (Ils n’utiliseront en aucun cas).
De même, on notera l’ironie des journalistes qui évoquent le mutisme du lobby juif en Australie, habituellement si « volubile. »
The Australian est un journal qui appartient à News Corp, le groupe de Rupert Murdoch, un sioniste patenté. Une indication supplémentaire de l’onde de choc de la brillante opération du Mossad.
La mort de Mahmoud al-Mabhouh aura au moins servi à dévoiler l’étendue de la pénétration sioniste dans certains appareils d’Etat et le mépris souverain des sionistes pour ceux qui se considèrent comme leurs amis.

L’avertissement sur la contrefaçon de passeports avait été ignoré, déclare un ancien diplomate
par Mark Dodd and Paul Maley, The Australian 26 février 2010 traduit de l’anglais par Djazaïri

En 2004, c’était un secret de polichinelle dans la communauté moyen-orientale de Canberra que des agents Israéliens essayaient d’obtenir des passeports « propres » dans des pays comme l’Australie ou la Nouvelle Zélande en vue de leur utilisation par les espions du Mossad.

Ali Kazak était le représentant de la Palestine en Australie à l’époque et il s’était ouvert publiquement de son inquiétude, avertissant le gouvernement Howard que le Mossad essayait d’obtenir frauduleusement des précisions sur le passeport australien.

M. Kazak, qui fut ambassadeur semi-officiel entre 1982 et 2006, a déclaré hier que raison lui a été donnée par la confirmation que des passeports australiens clonés avaient été utilisés par des suspects dans l’assassinat du militant Palestinien Mahmoud al-Mabhouh.

« Je vous l’avais dit mais vous n’avez rien fait malgré tout, » déclare M. Kazak. « Et vous avez mis en danger des vies australiennes. »

En 2004, M. Kazak avait signalé qu’un agent du Mossad opérant à l’époque à Sydney avait obtenu 25 faux passeports australiens.

M. Kazak explique que ses affirmations avaient été minimisées par Philip Ruddock, procureur général à l’époque.

Quelques mois plus tard, la police néo-zélandaise interpellait deux agents présumés du Mossad, en provenance d’Australie, suite à une tentative ratée d’obtenir un faux passeport en se servant de l’identité d’un infirme moteur cérébral en fauteuil roulant [il s’agissait en fait d’une tentative d’usurpation d’identité pour obtenir un véritable passeport, NdT].]

Ces agents avaient choisi une cible selon eux peu susceptible de voyager à l’étranger mais leurs tentatives d’imiter l’accent néo-zélandais avait éveillé les soupçons d’un fonctionnaire de l’immigration qui avait alerté le petit, mais efficace, service de sécurité de Wellington.

Les deux Israéliens, Eli Cara et Urie Zoshe Kelman, furent arrêtés immédiatement.

Helen Clark, alors premier ministre de Nouvelle Zélande, avait sévèrement fustigé Israël et suspendu tous les contacts diplomatiques de haut niveau suite à cet incident.

Cara et Kelman plaidèrent coupable et furent condamnés à six mois de prison par un tribunal d’Auckland pour avoir tenté d’obtenir frauduleusement un passeport.
Tous deux purgèrent leur peine puis furent renvoyés en Israël.

Un an plus tard, Israël présenta ses excuses et les liens diplomatiques furent restaurés.

Cara, un ancien officier des forces aériennes israéliennes gérait une agence de voyages à Turramurra dans la banlieue nord de Sydney.

M. Kazak a déclaré hier ne pas douter que le Mossad est derrière l’assassinat de Mabhouh.

« Hier, les membres du parlement israélien complimentaient le chef du Mossad pour ce qu’il a fait – pour avoir assassiné le dirigent du Hamas à Dubai¨, » dit-il.
.
« Nous savons qu’ils ont été responsables de la contrefaçon de passeports néo-zélandais. Nous savons qu’en 1997, quand il (le Mossad) avait essayé d’assassiner le chef du Hamas, Khaled Meshaal, il s’était servi de passeports canadiens. Et nous savons que des agents du Mossad qui étaient à l’oeuvre à Sydney (en 2003) falsifiaient des passeports australiens.

« Je l’avais dit à l’époque, pais le gouvernement australien – Alexander Downer, le chef de la diplomatie – a-t-il enquêté sérieusement sur cette activité du Mossad? Non, je ne le pense pas. »

En 1997, le Mossad avait échoué en Jordanie à assassiner Meshaal à qui des agents Israéliens, munis de papiers canadiens, avaient injecté du poison. Meshaal avait survécu après que ses agresseurs aient été capturés par ses gardes du corps et qu’Israël ait fourni un antidote.

M. Kazak affirme que l’absence de volonté du gouvernement australien d’enquêter de manière appropriée sur les activités du Mossad revenait à de l’apaisement et avait mis en danger la vie d’Australiens. « Pouvez-vous vous imaginer ce que ferait l’Australie si cela (la falsification de passeports) avait été le fait d’un pays arabe ou musulman? » dit-il.

« Cette négligence, cet apaisement, cette cécité envers Israël revient à placer les intérêts d’Israël au dessus de ceux de l’Australie. »

M. Downer a hier catégoriquement rejeté les affirmations de M. Kazak.

S’exprimant depuis la Grèce, l’ancien ministre des affaires étrangères a affirmé que le gouvernement Howard avait fermement averti Israël de ne pas donner de faux passeports australiens à ses agents secrets.

« Je ne suis pas à 100 % certain de ne pas avoir soulevé ça moi-même devant les Israéliens, » a déclaré M. Downer. « Je l’ai peut-être fait. Je ne peux pas l’exclure. »

M. Downer précise que cet avertissement avait été donné dans le contexte d’une série d’opérations ratées impliquant des agents du Mossad voyageant avec de faux passeports.

« Mon souvenir est qu’à un moment donné, nous avons soulevé cette question avec les Israéliens, » dit-il. « Nous avons soulevé le problème d’agents Israéliens qui utilisent des passeports étrangers et qu’ils ne devraient pas envisager d’utiliser des passeports australiens. »

M. Downer a affirmé que la tentative de falsifier un passeport néo-zélandais avait causé un scandale des deux côtés de la mer de Tasmanie [mer qui sépare l’Australie de la Nouvelle Zélande].
« Je l’avais certainement soulevé de manière très vive avec Phil Goff lorsqu’il était ministre Néo-zélandais des affaires étrangères, » a déclaré M. Downer. « Ils étaient très, très vifs à ce sujet. »

L’Australia Israel Jewish Affairs Council, le lobby juif habituellement si volubile a refusé de s’exprimer hier sur la querelle diplomatique qui se profile. Un porte parole de l’AIJAC a indiqué à The Australian que son directeur, Colin Rubinstein, cherchait à avoir plus de précisions.

Messieurs les Irlandais, tirez les premiers! ou les conséquences diplomatiques du meurtre perpétré par le Mossad à Dubaï

26 février 2010
Les effets diplomatiques de la récente escapade meurtrière d’agents du Mossad à Dubaï commencent à se faire sentir et c’est à l’Irlande, ce pays qui n’a guère d’accointances avec l’entité sioniste, qu’a échu la tâche de donner le coup d’envoi de ce qui pourrait être le début d’une nouvelle donne pour la région.
On apprend en effet par un site web chinois (!) d’informations en français (!) que Micheal Martin, le chef de la diplomatie irlandaise, est arrivé jeudi à Gaza. 
Certes, M. Martin n’a pas prévu de rencontrer des membres de la direction du Hamas ou de son gouvernement mais il n’en reste pas moins qu’il s’agit là d’un signal fort de la part du gouvernement irlandais.
Une dépêche reproduite sur le site M&C nous donne une idée de l’importance réelle de cette visite:

Gaza City (dpa) – le ministre Irlandais des affaires étrangères Micheal martin est arrivé jeudi dans la bande de Gaza pour la première vsite dans l’enclave dirigée par le Hamas jamais effectuée par un haut responsable politique Occidental.

Aucun ministre des affaires étrangères ou premier ministre de l’Union Européenne ne s’est rendu à Gaza depuis la prise de contrôle de ce territoire par le muvement islamiste radical en juin 2007.

L’Union Européenne et les Etats Unis ont proclamé un boycott du hamas en raison de son refus de reconnaître Israël et de renoncer à la violence.

Martin est arrivé dans l’enclave appauvrie et sous blocus par le point de passage de Rafah à la frontière avec l’Egypte, escorté par des véhicules de l’ONU.

Il avait essayé de s’y rendre l’an dernier alors qu’il était en visite en israël mais les autorités israéliennes ne lui en avaient pas donné la permission.

Un tueur sioniste sur le sol irlandais…

25 février 2010

on n’aurait jamais dû le voir et pourtant.
L’utilisation de vais/faux passeports de l’Union Européenne et d’Australie par le commando du Mossad qui a assassiné un cadre du Hamas à Dubaï est une affaire grave qui augure de lendemains qui déchantent pour la voyoucratie sioniste. Certes la plupart des pays concernés, à l’image de la France, font profil bas mais la suggestion de Bernard Kouchner, qui n’est pas spécialement antisioniste, de reconnaître immédiatement un Etat palestinien en dit long sur le remue ménage consécutif à cette énième opération du Mossad. Il reste aussi qu’un pays comme l’Irlande, qui n’a pas d’accointances majeures avec le régime de Tel Aviv ne se contentera pas des dénégations formulées par la diplomatie sioniste. D’autant que si l’Etat voyou n’a pas confirmé officiellement son rôle dans l’assassinat, sa hasbara (propagande) a mis en place des stratégies de justification ou de détournement de l’attention.
En Irlande, justement, au moins un journal a conduit sa petite enquête qui l’a amené à constater que le passeport irlandais d’un des membres du commando mentionnait une adresse dans le quartier diplomatique de Dublin, à deux pas de l’ambassade de l’entité sioniste. On apprend aussi que cet individu est arrivé en compagnie d’un autre membre du commando en provenance de Paris sur un vol d’Air France. Ils seraient, le conditionnel est de rigueur, repartis vers la même ville une fois leur forfait accompli.
Sachant que ces agents du Mossad devaient nécessairement disposer d’une possibilité de planque dans les villes qui leur servent de base de départ, ou de lieu de transit, j’ose espérer que la police et les services secrets de l’Hexagone s’activent en ce moment pour localiser le lieu sûr qui a servi aux tueurs lors de leur séjour à Paris.

 Un suspect s’était servi d’une adresse à Dublin
Par MARY FITZGERALD, Irish Times (Irl) 23 février 2010. traduit de l’anglais par Djazaïri
 
Une propriété inhabitée de Dublin Ballbridge, propriété d’un frère de l’ancien premier ministre Albert Reynolds, a été donnée comme adresse personnelle par un des cinq détenteurs de passeports irlandais appartenant à l’équipe présumée responsable de l’assassinat d’un cadre du Hamas à Dubaï.
L’Irish Times a obtenu la copie d’une facture délivrée par l’hôtel Jumeirah Emirates Towers à un home voyageant sous le nom de Kevin Daveron qui a été désigné la semaine dernière par la police de Dubaï comme l’un des 18 suspects pour le meurtre le mois dernier de Mahmoud al Mabhouh.
La facture – qui note le départ de M. Deveron à 13h40 le 19 janvier, jour de l’assassinat de M. Mabhouh dans sa chambre d’hôtel – indique une adresse au 6 Elgin Road à Ballsbridge.

La propriété à cette adresse appartient depuis les années 1960 à James Reynolds, le père de John Reynolds, le producteur musical et organisateur d’Electric Picnic La maison sur trois niveaux, qui à un moment avait été divisée en appartements, est vide depuis dix ans. Située à Ballsbridge, le quartier des ambassades, la bâtisse est proche de plusieurs missions diplomatiques dont celles d’Ukraine, des Etats Unis et d’Israël.

La nuit dernière, John Reynolds qui s’exprimait au nom de son père, a déclaré à l’Irish Times que la famille était « vraiment choquée et horrifiée » que son bien ait été utilisé à son insu comme adresse par un membre du commando de tueurs.

L’hôtel Jumeirah Emirates Towers a confirmé hier que les détails sur la facture obtenue par l’Irish Times correspondent à ceux des dossiers de l’hôtel.

La facture mentionne l’arrivée de M. Daveron le 18 janvier et donne le détail du coût des deux nuitées, du petit déjeuner commandé à la réception de l’hôtel, et de boissons non alcoolisées consommées au mini-bar. La facture totale s’élevait à 715€ et a été payée en espèces.

Selon des informations divulguées la semaine dernière par la police de Dubaï, M. Daveron est arrivé en provenance de Paris sur un vol d’Air France en compagnie d’une femme voyageant sous le nom de Gail Folliard. Elle détenait aussi in faux passeport irlandais. La police pense que les deux faisaient partie d’une ou deux équipes de surveillance envoyées à l’avance pour obtenir des renseignements sur M. Mabhouh. Après avoir réglé sa note d’hôtel, M. Daveron a enfilé une perruque et des lunettes avant d’arriver à l’hôtel où le cadre du Hamas prévoyait de séjourner.
Mme Folliard et lui auraient fait le guet pendant que les assassins agissaient. On pense que tous deux sont repartis à Paris le soir même.

Le lien avec la maison de Ballsbrige est le dernier rebondissement dans ce qui est devenu une énorme intrigue international. Les assassins présumés ont également utilisé six passeports britanniques, un passeport allemand et un français, selon ma police de Dubaï.

Une des lignes de l’enquête se centre sur des affirmations selon lesquelles des cartes de crédit délivrées aux Etats Unis ont été utilisées pour acheter les billets d’avion pour l’opération.

Une autre tourne autour d’allégations selon lesquelles l’équipe aurait utilisé des cartes SIM autrichiennes. Le chef de la police de Dubaï a déclaré être sûr à « 99 % » que le Mossad israélien était derrière le meurtre. Israël a pour l’instant refuse de confirmer ou démentir son implication dans l’assassinat.

Hier, les ministres des affaires étrangères de l’UE ont condamné l’usage frauduleux de passeports irlandais et d’autres pays de l’UE alors que le ministre Israélien des affaires étrangères a affirmé n’avoir aucune connaissance de cette affaire dans une série de rencontres avec ses homologies Européens, dont Micheal Martin, le chef de la diplomatie irlandaise.

Une déclaration de l’UE, pressant tous les pays de coopérer à l’enquête de Dubaï, ne fait aucune mention d’Israël. Au cours de sa rencontre avec Avigdor Lieberman, ministre Israélien des affaires étrangères, M. Martin a critiqué « la violation » de passeports irlandais.

Les cinq faux passeports irlandais apparemment utilisés pour l’opération avaient des numéros correspondant à ceux d’authentiques passeports irlandais, ce qui met en danger les véritables détenteurs de passeports irlandais. M. Martin a déclaré que son homologue Israélien n’avait « absolument aucune information » sur cette situation. Il a ajouté avoir insisté que son gouvernement voulait des assurances de la non implication d’agents Israéliens.

 
 Article repéré via Xymphora

Tueurs du Mossad: des passeports diplomatiques contrefaits?

21 février 2010
François Fillon a-t-il rappelé à l’ordre son ministre des affaires étrangères, Bernard Kouchner, de sa propre initiative ou parce qu’on lui a fait comprendre qu’une ligne rouge avait été franchie par le médecin diplomate? Il est vrai qu’en ce moment M. Fillon fait flèche de tout bois et veut jouer les « durs » mais avec l’Iran pas avec l’entité sioniste. C’est peut-être le prix à payer pour atteindre la stature d’un présidentiable. 
Car, avec quelques années de retard sur les Etats Unis, la classe politique française en est là et le tohu bohu autour des supposés propos antisémites de Georges Frêche en est aussi une indication. Georges Frêche a certes des défauts mais son « philosémitisme » ne s’est jamais démenti. Les soutiens qu’il vient d’ailleurs d’obtenir de la part de hiérarques du PS (François Rebsamen, Gérard Collomb) témoignent de la ligne de fracture qui traverse l’appareil de ce parti; ligne qui n’est pas idéologique (au sens social démocrate versus socialiste dirigiste voire néo marxiste) mais d’une nature extérieure à ces éléments doctrinaires liés à la façon de concevoir l’Etat et son rôle dans l’économie, l’aménagement du territoire etc. Je pense que Mme Aubry n’en est qu’au début de ses ennuis.
Ce détour n’est pas complètement sans rapport avec ce dont je veux vous parler maintenant. Dans le post qui précède celui-ci, j’évoquais la possibilité de la présence d’agents sionistes dans l’administration britannique chargée de délivrer des passeports. Ce qui vaut pour le Royaume Uni vaut d’ailleurs sans doute pour d’autres pays et ce n’est pas pour rien qu’en ce moment la hasbara sioniste tente de brouiller les pistes en avançant que les passeports auraient pu être contrefaits par la police de l’air et des frontières de l’Etat sioniste mafieux.
Le soulagement procuré par ce schéma dans les chancelleries concernées aura cependant été de courte durée car la police de Dubaï vient de donner une autre information que la presse française met curieusement un peu de temps à relayer: plusieurs passeports diplomatiques ont été utilisés par la bande de tueurs sionistes.
Si cette information se confirme, et tout ce qui est venu de la police de Dubaï est le fruit d’un travail sérieux, nous sommes devant quelque chose de très grave, peut-être d’unique dans les annales (à vérifier).
Hormis l’AFP, seul ce site propose actuellement cette information en français. 
Bizarre, isn’t it?
Pourtant c’est une dépêche Agence France Presse qui nous l’apprend et non une agence qui s’exprime dans une langue exotique.
Et comme le dit Dhahi Khalfan, le chef de la police de Dubaï: « Ce n’est plus une affaire locale, mais c’est une affaire de sécurité qui touche des pays européens »
On ne saurait mieux dire.

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