Archive for the ‘Rafah’ Category

La vérité sur le blocus de Gaza avouée par les sionistes eux-mêmes

11 juin 2010
Dans l’archipel des mensonges sionistes, il en est un qui a la vie dure, c’est que le blocus imposé à la bande de Gaza a pour finalité d’empêcher ce territoire peuplé surtout de réfugiés Palestiniens de s’armer et de continuer à tirer ses roquettes artisanales sur les localités sionistes avoisinantes.
Une de ces localités est Sderot, anciennement Najd avant que sa population indigène en soit chassée pour faire de la place aux squatters sionistes. Sderot est en quelque sorte le Dresde de l’entité sioniste, une cité martyre victime d’une avalanche de roquettes artisanales tirées depuis la bande de Gaza. Sauf que, à la différence de Dresde ou de Gaza, les victimes à Sderot se comptent sur les doigts de la main. N’empêche que les visites organisées à Sderot par les autorités sionistes pour faire comprendre les difficultés endurées par ses habitants ont un franc succès et les visiteurs sont amenés à compatir devant une vitre brisée ou un toit endommagé.
Bref, l’entité sioniste a le droit de se défendre et donc d’imposer un blocus à Gaza afin d’empêcher le Hamas de se procurer des armes éventuellement plus performantes que ses roquettes d’aéroclub. D’où également, le sort fait à la flottille pour Gaza et plus particulièrement au Mavi Marmara.
Cette vérité communément admise n’est cependant qu’un mensonge de plus de la part des sionistes et de leurs complices un peu partout. Lisez donc ce passage dans l’article où un membre du Département d’Etat (le service de Mme Clinton) explique ne pas être au courant de l’existence d’un document de l’Etat sioniste qui contredit son propre mensonge. Ce serait presque comique s’il ne s’agissait de questions très graves.

Ce n’est pas par les journaux français que vous apprendrez cela malheureusement, mais par l’agence de presse américaine McClatchy. Cependant, sans être une agence marginale, McClatchy est loin d’avoir le poids des services de Reuters, de l’AFP ou même du New York Times.
Cette agence suit un procès qui se déroule en ce moment dans l’entité sioniste où une organisation humanitaire a déféré l’Etat voyou devant ses propres tribunaux. Sommé de s’expliquer sur les motifs du blocus qu’il impose, l’Etat délinquant s’est exécuté pour reconnaître nettement que le blocus n’est pas lié à des impératifs sécuritaires mais à une volonté de mettre un terme au contrôle qu’exerce le Hamas sur la bande de Gaza.

Comment dit-on déjà en français ? Ah oui : cela va sans dire, mais ça va mieux en le disant…

Document israélien: le blocus de Gaza n’est pas une question de sécurité
Par Sheera Frenkel | McClatchy Newspapers (USA) 9 juin 2010 traduit de l’anglais par Djazaïri

Jérusalem – Alors qu’Israël vient d’ordonner mercredi un léger assouplissement du blocus de la bande de Gaza, McClatchy a obtenu un document gouvernemental israélien qui présente le blocus non comme une mesure de sécurité mais comme une « guerre économique » contre l’organisation islamiste Hamas qui dirige ce territoire palestinien.
Israël a imposé de sévères restrictions à Gaza en juin 2007, après que la victoire électorale du Hamas et sa prise de contrôle de l’enclave côtière l’année précédente, et le gouvernement a longtemps affirmé que l’objectif du blocus était de stopper le flux d’armes et de combattants vers Gaza.
La semaine dernière, après que des commandos Israéliens ont tué neuf volontaires d’une flottille humanitaire pour Gaza organisée par des Turcs, Israël a encore affirmé que son but était de stopper l’arrivée dans Gaza d’armes pour les terroristes.
Cependant, en réponse à une action en justice menée par Gisha, une association israélienne pour les droits de l’homme, le gouvernement israélien a expliqué que le blocus était un exercice du droit à la guerre économique.
« Un Etat a le droit de décider de ne pas avoir de relations économiques ou de ne pas apporter d’assistance économique à l’autre partie au conflit, ou de vouloir agir en recourant à la ‘guerre économique’ affirme le gouvernement.
McClatchy s’est procuré la déclaration écrite du gouvernement auprès de Gisha, le Centre Juridique pour la Liberté de Circulation qui a déféré au tribunal le gouvernement pour obtenir des informations sur le blocus. La haute cour israélienne a donné suite et le gouvernement a fourni sa déclaration en début d’année.
Sari Bashi, directrice de Gisha, considère que ces documents prouvent qu’Israël n’impose pas son blocus pour les raisons qu’il affirme publiquement mais plutôt en tant que punition collective pour la population palestinienne de Gaza. Gisha s’intéresse aux droits des Palestiniens.
(Un porte parole du Département d’Etat, qui n’était pas autorisé à s’exprimer officiellement, a déclaré n’avoir pas connaissance des documents en question).
Le gouvernement israélien a franchi une nouvelle étape mercredi et affirmé que la guerre économique visait à atteindre un objectif politique. Un porte parole du gouvernement, dont nous ne pouvons pas donner le nom pour des raisons politiques, a déclaré à McClatchy que les autorités vont continuer à alléger le blocus mais «ne lèveront pas complètement l’embargo tant que le Hamas gardera le contrôle de Gaza.»
Le président Barack Obama, après avoir reçu Mahmoud Abbas, le chef de l’Autorité palestinienne, a déclaré que la situation à Gaza est « intenable. » Il a promis un complément de 400 millions de dollars d’aides pour le logement, la construction d’écoles et de routes pour améliorer la vie quotidienne des Palestiniens – dont au moins 30 millions de dollars affectés à Gaza.
Le blocus de Gaza par les Israéliens comprend une liste complexe et changeant constamment des biens qui sont autorisés à entrer dans Gaza. Des produits comme le ciment ou le métal sont interdits parce qu’ils peuvent être utilisés à des fins militaires, disent les officiels Israéliens.
Selon des chiffres publiés par Gisha en coordination avec l’ONU, Israël permet l’entrée de 25 % des biens qu’elle autorisait à entrer à Gaza avant sa prise de contrôle par le Hamas. Pendant les années qui ont précédé le blocus, Israël a autorisé en moyenne 14 000 camions de marchandises par mois à se rendre à Gaza. Israël autorise maintenant approximativement 2 500 camions par mois.
Les chiffres montrent qu’Israël a aussi limité les marchandises à entrer à Gaza à 40 types d’articles, tandis qu’avant juin 2007, ce sont environ 4 000 types d’articles qui entraient à Gaza.
Israël a légèrement allongé la liste ce mercredi pour y a ajouter les sodas, les jus de fruits, les épices, la crème à raser, les chips et les bonbons, indique Raed Fattouh, le responsable Palestinien chargé de la liaison, qui coordonne avec Israël le flux des marchandises destinées à Gaza.
«Je pense qu’Israël veut désamorcer les pressions internationales,» déclare Fattouh. « Ils veulent montrer aux gens qu’ils autorisent des choses à entrer à Gaza.»
C’est la première mesure tangible prise par Israël suite aux critiques internationales sans précédent qu’elle a essuyées au sujet du blocus après le raid israélien en haute mer de la semaine dernière.
Alors même que s’élevaient des appels pour une enquête sur la manière par laquelle Israël a intercepté la flottille, les dirigeants mondiaux ont aussi appelé Israël à lever son blocus de Gaza.
Lors de sa rencontre avec Abbas, Obama a déclaré que le Conseil de Sécurité avait appelé à une « enquête crédible et transparente conforme aux normes internationales. » Il a ajouté : « Et nous pensons ce que nous avons dit. C’est ce que nous attendons.»
Il a aussi appelé à un allègement du blocus par Israël. « Il nous semble qu’il devrait y avoir des moyens pour qu’il se limite strictement aux cargaisons d’armes plutôt que d’interdire pratiquement tout puis d’autoriser, au coup par coup, des choses à entrer à Gaza, » a-t-il déclaré à la presse.
L’Egypte, qui contrôle la plus grande partie de la frontière sud de Gaza, a rouvert le point de passage de Rafah cette semaine en réponse aux pressions internationales pour la levée du blocus.
L’Egypte a longtemps été considérée comme le partenaire d’Israël dans l’application du blocus, mais le ministre Egyptien des affaires étrangères, Hossam Zaki, a déclaré que le passage de Rafah restera ouvert indéfiniment pour les habitants de Gaza munis de permis spéciaux. Par le passé, la frontière a été ouverte sporadiquement.
Maxwell Gaylard, le coordonnateur de l’ONU pour l’action humanitaire dans les territoires palestiniens, a déclaré que la communauté international veut un « changement rapide et fondamental » dans la politique israélienne concernant Gaza plutôt qu’une approche au coup par coup.
« Un modeste allongement de la liste restrictive des biens autorisés à Gaza est bien en deçà de ce qui est nécessaire. Nous avons besoin d’un changement fondamental et d’une ouverture des points de passage pour les marchandises, » a-t-il dit.
Les responsables du Hamas dissent avoir été déçus » par l’annonce israélienne, et que la liste des marchandises est très éloignée des besoins réels.
« Ce ne sera qu’une entrée. Nous attendons le plat de résistance,» déclare à Ramallah le ministre Palestinien de l’économie Hassan Abu Libdeh qui précise que les matériaux de construction sont ce qui fait le plus défaut aux habitants de Gaza. De nombreux Palestiniens ont été dans l’impossibilité de bâtir leurs maisons après l’opération Plomb Durci, l’offensive punitive d’Israël contre la bande de Gaza en décembre 2008 et janvier 2009.
Israël affirme que le ciment et d’autres matériaux de construction peuvent server à construire des bunkers et d’autres installations militaires.
Certaines de ces marchandises entrent déjà à Gaza en contrebande par des tunnels qui la relient à l’Egypte.

 

‘Footnotes in Gaza’ un reportage en bandes dessinées de Joe Sacco

28 décembre 2009
Le dessinateur Maltais, établi aux Etats Unis, Joe Sacco a inventé il y a quelques années une nouvelle façon d’envisager le métier de dessinateur de presse pour le transformer en véritable méthode journalistique. C’est-à-dire que ses dessins ne se contentent pas de restituer de manière synthétique, éventuellement drôle, la caractéristique marquante d’un événement mais deviennent un élément constitutif de la narration des résultats d’enquêtes journalistiques approfondies.
Vous trouverez ici plus d’informations sur la biographie et le parcours professionnel de Joe Sacco. Et là, une interview intéressante de ce journaliste. Le site de Philip Weiss vous propose lui plusieurs planches extraites de ce nouvel ouvrage de Joe Sacco.
Le travail de Sacco a déjà eu un impact substantiel sur la perception du conflit palestino-sioniste aux Etats Unis puisqu’un précédent ouvrage sur la question avait déjà rencontré un grand succès dans ce pays. Son nouveau livre sur Gaza semble destiné à prendre le même chemin et l’article de Patrick Cockburn que je vous propose nous dit pourquoi. Cockburn explique aussi pourquoi un tel travail peut rarement trouver sa place dans les grands médiats alors même qu’il est effectué par des personnes qui collaborent habituellement avec la grande presse.
Mais la principale leçon à retenir, c’est qu’à la hasbara (pédagogie de propagande sioniste), il suffit le plus souvent d’exposer les faits dans leur dimension historique. Exactement ce qu’a fait Joe Sacco.
Important: ce livre a été traduit en français et sera bientôt disponible sous le titre: ‘Gaza 1956, en marge de l’histoire’
‘Ils ont planté la haine dans nos cœurs’
par PATRICK COCKBURN, New York Times (USA) traduit de l’anglais par Djazaïri
Ce livre important et saisissant sur deux massacres longtemps oubliés de Palestiniens à Gaza se signale comme un des rares ouvrages contemporains sue l’affrontement israélo-palestinien  susceptibles de résister à l’épreuve du temps.
Sacco aura des lecteurs pour « Footnotes in Gaza » pendant de nombreuses années en raison du format et du style unique de son récit en bandes dessinées. Il a une place à part comme dessinateur de presse parce que son aptitude à raconter une histoire à travers son art se combine à un journalisme d’investigation de la plus haute qualité.
Dans le cas présent, son thème se rapporte à deux massacres qui se sont produits il y a plus de cinquante ans, qui avaient peu éveillé l’attention internationale et ont été oubliés en dehors des proches immédiats des victimes. Les tueries avaient eu lieu pendant la crise de Suez de 1956, quand l’armée israélienne avait investi la bande de Gaza, peuplée en grande majorité de réfugiés palestiniens. D’après les chiffres de l’ONU, 275 Palestiniens avaient été tués dans la ville de Khan Younes à l’extrême sud de la bande de Gaza le 3 novembre et 111 avaient péri le 12 novembre  à Rafah, à quelques kilomètres de la frontière avec l’Egypte pendant une opération de l’armée israélienne. Israël avait insisté sur le fait que les palestiniens avaient été tués alors que les forces israéliennes rencontraient encore une résistance armée. Les Palestiniens avaient affirmé que toute résistance avait cessé à ce moment là.
Sacco fait l’excellente remarque que ce genre d’épisodes fait partie des véritables éléments constitutifs de l’histoire. Dans cette affaire, les récits des événements ont transpiré lentement et ont été éclipsés par des développements ultérieurs de la crise de Suez. Sacco dont la réputation de dessinateur de presse  a été assise avec « palestine » et « Safe Area Goradze, » les a sauvés de l’oublis parce qu’ils sont « comme ces innombrables tragédies historiques à travers les âges qui ont à peine le statut de notes de pied de page dans le grand mouvement de l’histoire – même s’ils… renferment souvent les germes de la souffrance et de la colère qui modèlent les événements actuels. »
Les gouvernements comme les médiats oublient que les atrocités restent vivantes dans la mémoire de ceux qui ont été les plus directement touchés. Sacco montre Abdel Aziz El-Rantissi – un dirigeant du Hamas (qui sera plus tard tué par un missile israélien) qui avait 9 ans en 1956 et vivait à Khan Younes – en train de décrire comment son oncle a été tué: « J’en ai gardé une plaie qui ne pourra jamais dans mon cœur, » dit-il. « Je vous raconte cette histoire et je suis au bord des larmes… Ils ont planté la haine dans nos cœurs. »
La vivacité et le rythme des dessins de Sacco, combinés à une narration très informée et intelligente, racontent extrêmement bien cette histoire. En fait, ils est difficile d’imaginer comment une autre forme de journalisme aurait pu rendre ces événements aussi intéressants. De nombreux journalistes de la presse écrite ou audiovisuelle comprennent que les racines de la crise actuelle plongent dans des événements obscurs, peu connus. Mais ils reconnaissent aussi que leurs rédacteurs en chef sont plus intéressés par ce qui est nouveau et ont tendance à écarter les détours par l’histoire comme de l’auto-satisfaction journalistique susceptible d’ennuyer et d’embrouiller le public.
En fait, « Footnotes in gaza » prend sa source dans de préjugé éditorial contre l’histoire. Au printemps 2001, Sacco et Chris Hedges (enciennement correspondant à l’étranger pour le New York Times) faisaient un reportage pour Harper’s Magazine sur les Palestiniens de Khan Younes pendant les premiers mois de la seconde Intifada palestinienne. Ils pensaient que les tueries de 1956 participaient à l’explication de la violence survenue près de 50 ans plus tard. C’était peut-être prévisible, mais les paragraphes sur cet ancien massacre fut coupé [avant publication].
Les rédacteurs en chef Américains n’étaient pas les seules personnes à trouver hors de propos leurs recherches historiques. Quand Sacco revint à Gaza en 2002 et en 2003 pour rechercher des survivants et des témoins, alors que les forces israéliennes occupaient encore ce territoire, de jeunes palestiniens ne parvenaient pas à comprendre son intérêt pour ces événements passés alors qu’il y avait tant de violence à l’époque présente.
La recherche tenace par Sacco de témoins oculaires Israéliens et palestiniens ainsi que de documents israéliens et de l’ONU est impressionnante. Il donne des détails sur la vie de ceux qui l’ont aidé, notamment Abed, son traducteur-interprète, et ramène à la vie deux époques de la bande de Gaza, ses villes pleines de réfugiés au début des années 1950 comme elles le sont encore aujourd’hui.
L’atmosphère était emplie de haine. Peu de dirigeants Israéliens on marqué une quelconque empathie pour la tragédie palestinienne. Mais début 1956, Moshe Dayan, le chef d’Etat Major israélien prononça un discours célèbre aux funérailles d’un commandant Israélien tué à la frontière avec Gaza. Qu’est-ce qui, demandait Dayan, expliquait la « terrible haine contre nous » des palestiniens? Puis il répondit à sa propre question: « Depuis huit ans maintenant ils se trouvent dans des camps de réfugiés à Gaza et ont vu comment, sous leurs propres yeux, nous nous sommes appropriés leurs terres et leurs villages, où eux et leurs ancêtres habitaient auparavant. » Il ajouta que les Israéliens devaient être « prêts et en armes, agressifs et durs. »
La signification concrète de ces propos deviendra claire lorsque les troupes israéliennes investiront Gaza six mois après. Les tueries de Khan Younes furent assez sommaires, selon des témoins oculaires et de quelques survivants. On ordonna aux hommes de la ville de s’aligner sur la place principale et on leur tira dessus jusqu’à ce que leurs corps gisent dans une longue rangée. Certains restés à leur domicile furent tués chez eux.
L’épisode de Rafah fut plus compliqué et se déroula dans le courant de la journée, quand des gens furent amenés dans une école pour que les Israéliens puissent déterminer s’ils étaient des guérilleros ou des soldats [de l’armée égyptienne]. Ici il y eut bien plus de survivants qu’à Khan Younes; ces derniers décrivent comment certains ont été abattus sur le trajet vers l’école et d’autres battus à mort avec des bâtons au moment où ils entraient dans la cour. L’armée israélienne avait nommé deux officiers pour mener une enquête sur « lincident de Rafah, » ainsi que le qualifiait un communiqué top secret ‘Le même communiqué disait que 40 à 60 personnes avaient été tuées et 20 blessées). Le chercheur mandaté par Sacco n’a trouvé aucun rapport d’enquête dans les archives de l’armée.
Gaza a changé radicalement depuis l’enquête de Sacco. En 2005, Israël a unilatéralement démantelé les colonies juives et retiré ses soldats tout en maintenant un contrôle strict des frontières de Gaza. En 2007, le Hamas a pris le contrôle de gaza et en 2008 – 2009 l’enclave a été soumise à une attaque israélienne dévastatrice. Dans ce flot déconcertant d’événements, l’enquête de Sacco sur ces massacres vieux d’une cinquantaine d’années est un des guides les plus sûrs pour comprendre la haine avec laquelle Palestiniens et israéliens s’affrontent.

L’aviation sioniste survole le territoire égyptien pendant ses opérations contre Gaza

11 janvier 2009

Apparemment un exemple supplémentaire de la complicité du régime de M. Moubarak avec l’entité sioniste.

Des avions militaires israéliens survolent l’Egypte
Yediot (Sionistan) 11 janvier 2009

Des avions militaires israéliens ont survolé le territoire égyptien au cours de leurs actions de bombardement le long de la frontière entre Gaza et l’Egypte, ont indiqué des témoins ce dimanche.

Les témoins qui ont passé plusieurs heures près du point de passage de Rafah entre l’Egypte et Gaza ont affirmé avoir vu des avions israéliens le surveler à plusieurs reprises, souvent à si basse altitude qu’on voyait nettement qu’ils étaient en territoire égyptien

(Reuters)

L’aviation sioniste survole le territoire égyptien pendant ses opérations contre Gaza

11 janvier 2009

Apparemment un exemple supplémentaire de la complicité du régime de M. Moubarak avec l’entité sioniste.

Des avions militaires israéliens survolent l’Egypte
Yediot (Sionistan) 11 janvier 2009

Des avions militaires israéliens ont survolé le territoire égyptien au cours de leurs actions de bombardement le long de la frontière entre Gaza et l’Egypte, ont indiqué des témoins ce dimanche.

Les témoins qui ont passé plusieurs heures près du point de passage de Rafah entre l’Egypte et Gaza ont affirmé avoir vu des avions israéliens le surveler à plusieurs reprises, souvent à si basse altitude qu’on voyait nettement qu’ils étaient en territoire égyptien

(Reuters)

>L’aviation sioniste survole le territoire égyptien pendant ses opérations contre Gaza

11 janvier 2009

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Apparemment un exemple supplémentaire de la complicité du régime de M. Moubarak avec l’entité sioniste.

Des avions militaires israéliens survolent l’Egypte
Yediot (Sionistan) 11 janvier 2009

Des avions militaires israéliens ont survolé le territoire égyptien au cours de leurs actions de bombardement le long de la frontière entre Gaza et l’Egypte, ont indiqué des témoins ce dimanche.

Les témoins qui ont passé plusieurs heures près du point de passage de Rafah entre l’Egypte et Gaza ont affirmé avoir vu des avions israéliens le surveler à plusieurs reprises, souvent à si basse altitude qu’on voyait nettement qu’ils étaient en territoire égyptien

(Reuters)


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