Archive for the ‘synagogue’ Category

Un rabbin perplexe

3 novembre 2010
La synagogue de Chicago qui était, dit-on, visée par des colis piégés expédiés à son intention par al Qaïda fait savoir que son site a reçu récemment des dizaines de visites d’internautes Egyptiens.
On ne nous dit cependant pas si ces visites sont intervenues avant ou après les informations sur les colis piégés qui seraient, rappelons-le, partis du Yémen et non d’Egypte.
 Le rabbi Michael R. Zedek, qui officie dans cette synagogue, indique par ailleurs avoir appris que ce n’étaient pas deux colis piégés qui visaient son institution religieuse mais quatre.
Mais en fait, ce n’était pas la congrégation principale qui était visée par ces colis, mais Or Chadash, une congrégation beaucoup plus petite qui a la particularité d’accueillir en son sein des « gays » et des lesbiennes et qui est domiciliée dans la synagogue de Lakeside.

Larry Edwards, le rabbin d’Or Chadash, déclare dans une interview avoir appris seulement hier que sa congrégation était peut être visée. « Nous sommes plutôt perplexes à l’idée qu’une petite congrégation comme la nôtre ait pu se retrouver dans le collimateur de quelqu’un, » affirme le rabbin Edwards. « J’espère avoir plus d’informations. »

Il a quand même raison le rabbin Edwards d’être perplexe car sa congrégation ,finalement peu connue à Chicago, et encore moins aux Etats Unis a néanmoins su attirer l’attention de terroristes fanatisés du fin fond du Moyen-Orient.
Et ces fanatiques ont pu renseigner l’adresse du destinataire sur les colis sans se tromper et en évitant toute confusion avec la grande synagogue qui accueille le petit groupe de pratiquants homosexuels!
Aux visites égyptiennes, le site de la congrégation peut ajouter la mienne. J’ai voulu voir s’il était facile de constater la présence d’une congrégation « gay » et lesbienne sur le site de la synagogue. Eh bien non, ce n’est pas facile du tout et il vaut mieux en être informé à l’avance. La présence d’une telle congrégation, avec sa spécificité homosexuelle, n’est en effet mentionnée qu’une seule fois et est noyée au milieu d’un texte sur l’histoire de la synagogue. Personnellement, je l’ai trouvée en utilisant le moteur de recherche interne au site de la synagogue.
Il y a donc trois mystères: pourquoi avoir choisi une synagogue de Chicago, et pas de New York ou Miami par exemple? Pourquoi avoir spécifiquement ciblé une congrégation homosexuelle dissimulée en quelque sorte dans une plus vaste congrégation juive? Et enfin, comment ces fanatiques enturbannés ont-ils pu tout simplemnt avoir connaissance de l’existence de cette congrégation « gay » et lesbienne?
A la lecture de l’article du Wall Street Journal, on croit comprendre que la congrégation homosexuelle dispose d’un site internet. J’ai été personnellement incapable de le retrouver.
Il va falloir que j’aille faire un stage chez al Qaïda…

La synagogue qui s’avère être un palais arabo-musulman

17 mars 2010
L’archéologie est une discipline éminemment politique dans la voyoucratie sioniste toujours en quête d’indices attestant de l’ancienneté de la présence juive en Palestine occupée. Tout vestige nouvellement découvert est présumé être celui d’habitations ou d’édifices religieux juifs.
Ainsi, des vestiges découverts près du lac de Tibériade en Galilée dans les années 1950 étaient considérés comme étant ceux d’une ancienne synagogue. L’indice nécessaire et suffisant pour en attester étant la présence sur place d’une pierre gravée d’un chandelier à sept branches, symbole du judaïsme.
Pas de pot, en guise d’ancienne synagogue, le site qui vient d’être fouillé s’est avéré être celui d’un ancien palais de l’époque omeyyade, la dynastie musulmane qui a régné du 7ème au 8ème siècle de l’ère chrétienne.
Reste maintenant à savoir le sort que les autorités sionistes vont réserver à ce palais d’al-Sinnabra  tant il est vrai qu’elles n’aiment pas beaucoup ce genre dé découvertes car, entre l’époque de « l’exil » et la colonisation juive, il n’y avait personne et il ne s’est rien passé en Palestine.

Du supposé crime antisémite au véritable crime d’une mafia en plein boom

3 décembre 2009
Google News a procédé à un nettoyage efficace, mais on peut quand même retrouver la trace de ce que, aux USA, on qualifie de « hate crime, » une notion extensible à l’infini qui permet aux autorités judiciaires d’inculper ou de poursuivre des gens qui ont commis des délits ou des crimes qui n’entrent pas nécessairement dans la rubrique des délits ou crimes racistes.
Cette notion, qui a sans doute une utilité, je ne le conteste pas complètement, est, une fois inscrite dans le droit, le principal levier qu’utilisent les responsables du lobby sioniste aux USA pour menacer ou engager des procédures contre tel ou tel mal pensant. Parfois, elle sert simplement à stigmatiser le discours de l’autre et à le rendre inaudible et infréquentable.

Pardonnez ce détour, et revenons maintenant à ce « hate crime » qui avait fait deux blessés par balles le 29 octobre dernier dans le parking souterrain d’une synagogue de Los Angeles. Après des publications journalistiques initialement abondantes sur ce crime, on peine aujourd’hui à retrouver ces fameux articles qui parlaient de « hate crime, » de crime antisémite. Tout ce que j’ai pu retrouver, c’est un article de synthèse sur ce genre de crimes et qui inclut ce qui s’est passé à la synagogue.
C’est que maintenant, il n’est plus question de crime antisémite mais, plus banalement si j’ose dire, de l’action d’une bande criminelle originaire de l’entité sioniste, une mafia qui est en plein boom en ce moment en Californie.
La récente fusillade liée à la mafia israélienne
Los Angeles Daily News (USA) 3 décembre 2009 traduit de l’anglais par Djazaïri
Deux hommes victimes de tirs aux jambes dans une synagogue de North Hollywood il y a cinq semaines – dont l’un qui apparemment était au mauvais endroit au mauvais moment, ont été « kneecapped » (tirer aux genoux, avertissement mafieux) dans le cadre d’un avertissement « relié à une organisation criminelle, » affirme un officier supérieur de la police de Los Angeles (LAPD).
L’activité du crime organisé israélien à Los Angeles « a un peu empiré » récemment, et le 29 octobre une fusillade ) la synagogue sépharade Adat Yeshurun Valley de Sylvan Street en a été un exemple, déclare Michael P. Downing, sous-chef de la police de Los Angeles.
Downing a tenu ces propos en début de semaine pendant une interview accordée au Jerusalem Post à Tel Aviv où il participait à la conférence Safe City Solutions (solutions pour la sécurité urbaine) traitant du crime organisé et du terrorisme.
Downing, qui dirige le bureau de l’anti-terrorisme et du renseignement criminel du LAPD, était de retour mercredi à Los Angeles lorsqu’il a donné une interview au Los Angeles Times où il a précisé ses assertions au sujet de la fusillade de la synagogue.
« C’est une piste que nous suivons, mais nous n’avons pas encore fait nos conclusions définitives, » a déclaré Downing au Times. Personne n’est absolument certain que la fusillade était reliée au crime organisé, a-t-il dit.
Les tirs s’étaient produits vers 18h20 le 29 octobre dans un parking sous les locaux de la synagogue située 12405 Sylvan Street, avait indiqué la police.
Les deux victimes venaient juste d’arriver dans deux véhicules distincts pour le service religieux du matin et ont reçu des tirs dans les jambes après être sortis de leurs voitures, avait déclaré Michael Moore, sous-chef du LAPD. Il avait précisé que le tireur n’avait pas parlé aux victimes avant d’ouvrir le feu.
« Les enquêteurs que, en ne faisant pas de sommation, le tireur avait tenté de tuer l’homme et que son arme a mal fonctionné, » avait déclaré Richard French, porte parole du LAPD.
« Alors qu’il essayait de faire fonctionner son arme, la seconde victime a vu et entendu ce qui se passait et s’est approchée du tireur, » avait expliqué French, et « à ce moment, le suspect a tiré sur les deux victimes. »
Le tireur s’est ensuite enfui à pied. Aucune arrestation n’a été effectuée.
Des sources judiciaires ont indiqué au Times que le deuxième homme est considéré comme ayant été au mauvais endroit au mauvais moment.
Au début, les autorités avaient craint que les tirs soient liés au terrorisme ou à un crime raciste mais avaient écarté cette éventualité quelques heures après la fusillade.
« Ca ne cadrait pas, » a déclaré Downing au jerusalem Post. « Les deux victimes ont reçu des balles aux genoux. Ce qui ne colle pas avec une action terroriste. Ca ressemblait à une frappe ciblée, chirurgicale. »
Il a expliqué que les victimes « avaient été ciblées en manière de dernier avertissement en lien avec une organisation criminelle ».
Quant aux activités de cette organisation criminelle, on peut lire dans le San Francisco Chronicle du 2 décembre que:

Le crime organisé israélien était responsable d’un nombre croissant d’escroqueries immobilières, de vente de drogues et d’autres crimes.

Downing n’a pas quantifié cette augmentation, disant seulement qu’elle était « un peu plus qu’une petite hausse. »

Le bombardement impuni d’une synagogue par… par qui, au fait?

13 novembre 2009
Le blog Jews Sans Frontières attire notre attention sur un article du magazine allemand Der Spiegel.
Il s’agit d’un reportage sur la petite communauté juive restée au Liban et dont le nombre décline encore en raison du vieillissement et de l’émigration.
Ainsi Lisa Srour est la dernière personne de confession juive à résider rue des Juifs au centre ville de Beyrouth, dans un quartier qui abritait autrefois plusieurs centaines de familles.
Chaque guerre a été à la source de départs vers l’exil et Der Spiegel rappelle que 11 Juifs ont été tués pendant la guerre civile libanaise au milieu des années 1980.
Il aurait été cependant utile que Der Spiegel nous rappelle le nombre total des victimes de la guerre civile, sans parler de celles causées par l’invasion sioniste, mais passons…
La guerre civile n’a cependant pas dissuadé Lisa Srour de rester au Liban, elle qui explique:
La guerre civile faisait rage, ses parents sont morts et ses frères ont émigré. Mais Sour ne voulait pas tourner le dos à sa patrie – pas même en 1982, quand les Israéliens marchèrent sur le liban er que le premier ministre Menahem Begin proposa la citoyenneté israélienne aux Juifs orientaux qui restaient encore. « Pourquoi aurais-je accepté cela? demande Srour. « Je suis une Libanaise et je le resterai. »
Selon Der Spiegel, on estime actuellement la communauté juive au Liban entre 50 et 300 âmes qui appartiennent à une des 18 confessions reconnues par l’Etat.
Une communauté restreinte et déclinante qui entend cependant essayer d’enrayer ce déclin, notamment en restaurant une synagogue sérieusement endommagée avec l’appui des expatriés Juifs Libanais.
La reconstruire signifie qu’elle a été détruite ou sérieusement touchée.
Question à 1 million d’Euros: qui a sérieusement endommagé la plus grande et plus ancienne synagogue de la capitale du Liban?
Patience car Der Spiegel, s’il répond à cette question ne le fait qu’après s’être demandé si le Hezbollah, membre du gouvernement libanais et dont l’accord est indispensable, permettrait cette reconstruction, lui qui est l’ennemi juré de l’entité sioniste.
La réponse ne tarde pas:
En septembre 2008, un porte parole de l’organisation avait déclaré: « Nous respectons le judaïsme, tout comme nous respectons le christianisme. Notre problème est seulement avec Israêl. » Et donc, en juillet 2009, les travaux de rénovation ont commencé.
Il faut vraiment aller au coeur de l’article pour avoir la réponse à la question à 1 million d’Euros:
Même si la synagogue est à quelques minutes à peine de chez elle, Mme Srour ne s’y est pas rendue depuis longtemps. Elle dit ne tout simplement pas supporter d’en voir les ruines. Ironie du sort, les pilotes Israéliens avaient bombardé ce lieu de culte parce qu’ils pensaient que des armes palestiniennes y étaient cachées. »
D’où a bien pu leur venir cette idée?

Des enfants tracent des croix gammées sur le mur d’une synagogue d’une ville de banlieue.

29 octobre 2009


Non, ça ne se passe pas à Vénissieux; pas à Sarcelles non plus.
Ca se passe à Petah Tikva, près de Tel Aviv. Et ça n’a rien à voir ni avec l’antisémitisme, ni avec le fascisme; ce n’est que du vandalisme lit-on dans le Yediot Aharonot:

Pendant une patrouille de routine dans la ville, la police arrête trois enfants de 11 ans qui dessinaient des svastikas et d’autres graffiti sur le mur d’une synagogue. Après interrogatoire, les enfants ont été relâchés. La police considère que l’incident est un simple acte de vandalisme et non un acte néo-nazi. 

Où écrit-on "Longue vie à Hitler le saint" sur les murs d’une synagogue?

9 septembre 2009

Nulle part ailleurs que dans l’entité sioniste, à Petah-Tikva plus précisément; la ville justement où de fortes réticences ont été observées quant à l’accueil à l’école d’enfants « juifs » Ethiopiens.
Pure coïncidence sans doute…

Aucun journal francophone ne reprend cette information pourtant publiée dans l’édition française du Jerusalem Post. Bizarre, isnt’it?
r
par Yaacov Lappin, Jerusalem Post 7 septembre 2009

Les fidèles venus prier samedi 5 septembre à la synagogue de Petah Tikva ont découvert avec stupeur des messages antisémites inscrits en hébreu sur les murs du bâtiment ainsi que la dégradation de textes sacrés et des graffitis à l’intérieur du lieu de prières.

Membres du gang néonazi de Petah Tikva condamnés en 2008.
Photo: Police d’Israël , JPost

Les mots « Longue vie à Hitler le saint » étaient écrits sur le mur de la synagogue, à côté d’une grande croix noire. Des croix étaient également dessinées sur les livres de prières.

Les fidèles ont attendu la fin de shabbat pour appeler la police.

Une source policière a confié au Jerusalem Post que l’incident soulevait des inquiétudes quant à une résurgence de l’activité néonazie dans la ville.

En novembre 2008, huit membres d’un gang néonazi de Petah Tikva – constitué de jeunes immigrants russes – ont été condamnés à diverses peines de prison pour avoir agressé des toxicomanes, des travailleurs étrangers et des Juifs orthodoxes. Le chef du gang avait reçu la peine la plus lourde avec sept ans derrière les barreaux.

« Nous sommes préoccupés par cet incident à cause de l’histoire de l’activité néonazie de la ville et parce qu’un lieu saint a été profané », a souligné la source policière.

>La petite amie du djihadiste parle

28 mai 2009

>

A mesure qu’on lit la presse qui se donne un peu de peine pour enquêter, on s’aperçoit que l’affaire des quatre terroristes newyorkais embarqués dans d’ambitieux projets d’attentats contre des synagogues et une base aérienne, n’est pas autre chose qu’un coup tordu monté par la police fédérale étatsunienne.
Toutes les ficelles du genre de la manipulation sont ici réunies. La première est un indicateur spécialisé dans l’approche de personnes qui fréquentent des mosquées.
La deuxième ficelle, ce sont des subsides et des cadeaux intéressés destinés à ces personnes ; une générosité qui s’alimente aux caisses du FBI, donc du contribuable étatsunien que ce service est supposé protéger.
La troisième ficelle, ce sont les dindons de la farce. Et là, on dira qu’ils ont le profil idéal : de petits délinquants dépourvus de perspectives d’accession à une vie honnête autant par manque d’opportunités ou de qualifications que par leur faiblesse de caractère.
Néo convertis à l’Islam, ces personnes se font facilement tourner la tête par quelqu’un qui, outre de beaux discours à connotation religieuse, n’omet pas de les arroser de cadeaux, d’argent et de… marijuana.
Pour résumer, nous avons quatre individus qui, au sortir de prison, n’avaient d’autre projet que d’essayer d’éviter d’y retourner en tentant de mener une vie honnête ou en continuant leurs petits délits mais qui se sont faits implanter dans l’esprit un projet d’attentats par un personnage trouble et rusé qui travaille pour la police.
S’ils n’avaient pas rencontré cet individu, qui a pris l’initiative du contact, nous n’aurions jamais entendu parler de ces quatre personnes.

On notera le caractère proprement ignoble de l’agent infiltré par le FBI qui exploite la grave maladie (un cancer en phase terminale) du frère d’un des présumés terroristes.

Voilà, tout est dit sur les méthodes des néoconservateurs aux Etats Unis.

La petite amie du ‘djihad’ : le mouchard du FBI s’est servi de cadeaux pour piéger nos hommes
par Lorena Mongelli à Newburgh et Lukas I. Alpert à New York traduit de l’anglais par Djazaïri
New York Post, 23 mai 2009

Un informateur du FBI a entrainé quatre convertis à l’Islam dans un horrible complot terroriste visant à faire sauter des synagogues et des avions militaires en leur offrant de grosses sommes d’argent, des cadeaux et même des sachets de marijuana, ont déclaré aujourd’hui des proches des suspects.
« Mon frère, tout ce dont tu as besoin, je me le procurerai pour toi, » disait cet homme que les quatre petits délinquants connaissaient sous le nom de Maqsood, selon Kathleen Baynes, dont le petit ami de longue date James Cromitie serait le chef présumé de la cellule terroriste.
Selon elle, Cromitie, 45 ans, a rencontré Maqsood, qui lui a promis de lui enseigner la vérité sur l’Islam, à la mosquée al-Ikhlas il y a environ un an
Rapidement, l’homme vint de plus souvent chez eux, les poches toujours pleines d’argent.
«Il était très insistant et à chaque fois qu’il venait voir James, il l’emmenait avec lui. Ils disaient qu’ils allaient dîner, » dit-elle. « Chaque fois que nous avions besoin de quelque chose Maqsood nous aidait – par exemple financièrement – il nous donnait de l’argent pour payer le loyer.
« Il était tout le temps dans les parages. C’était comme s’il l’avait envoûté.»
Cassandra McKoy, la petite amie de David Williams, un des co-conspirateurs, soutient que les hommes ont été dupés pour participer au complot, appâtés par une paye quotidienne et que la haine religieuse n’avait rien à voir avec tout ça.
« Ce ne sont pas des extrémistes, leurs motivations étaient uniquement financières. Ce ne sont pas des terroristes, » dit-elle. « Ce n’était pas leur idée. Ils [le FBI] font voir les choses comme s’ils l’avaient cherché à entrer en contact avec lui [l’informateur] pour lui dire que nous voulons faire telle chose alors que c’est lui qui les a contactés. Il les a attirés avec l’argent ».
«Maqsood n’était même pas autorisé à entrer dans la mosquée, il les attendait sur le parking et leur avait proposé 25 000 dollars pour se joindre à lui.»
Des sources indiquent que Maqsood est en réalité Shahed Hussain – un ressortissant pakistanais qui gère un hôtel aux environs de la ville et travaille pour le FBI depuis 2003 après avoir eu des problèmes pour une affaire de fraude. Il a joué un rôle capital pour mettre au jour une autre affaire liée au terrorisme à Albany en 2004.
Baynes, 42 ans, entretenait une relation avec Cromitie – un professionnel du crime qui est allé plus de 20 fois en prison – depuis six ans. Elle explique qu’il s’est converti à l’Islam au cours de son dernier séjour en prison mais que ce n’était pas sérieux.
«James est un apprenti musulman. Il n’était pas vraiment musulman. Il n’a jamais prié,» dit-elle.
Mais dans le courant de l’année, Maqsood n’a eu de cesse d’entrainer Cromitie sur le chemin du djihad – il lui donnait des brochures religieuses, des vêtements et des tapis de prière. A la fin, il semble que l’argent et les cadeaux ont mieux fonctionné.
Elle explique que Maqsood avait promis de donner un emploi à Cromitie et il a dit une fois qu’il lui donnerait une Mercedes Benz noire. A plusieurs reprises, il a donné à Cromitie des appareils photo, de l’argent et même de la drogue.
« Maqsood lui a donné beaucoup de marijuana, » dit-elle.
Un porte parole du FBI ne nous a pas rappelé suite à notre demande de commentaires sur les cadeaux.
Elizabeth McWilliams, la mère de Williams, affirme que son fils est tombé sous la coupe de Maqsood en avril en promettant d’aider pour les frais médicaux de son frère malade.
« Maqsood disait ‘Ne t’inquiète pas frère, je vais vous aider pour les frais hospitaliers de ton frère. Cet homme n’a rien fait d’autre que manipuler ces types.»
Baynes dit ne s’être jamais fié aux intentions de Maqsood et que l’imam de la mosquée avait prévenu James de se tenir à l’écart de cet intrus.
« James m’avait dit que l’imam leur avait demandé d’être prudent parce que cet homme essayait de recruter des gens pour aller au Pakistan, » dit-elle. «James avait dit qu’il n’était pas assez fou pour faire quelque chose comme ça.»
Alors que le mercredi de l’attentat approchait, Baynes indique que l’humeur de Cromitie changeait.
« Les derniers jours, James n’était plus le même. Il se comportait simplement différemment, » dit-elle. « Ces jours là, il ne faisait que fumer de l’herbe et jouer à des jeux vidéo avec ses amis [ses associés dans le complot, Williams, Laguerre Payen et Onta Williams].
Selon elle, le jour de l’attentat les hommes s’étaient réunis et Maqsood «semblait vraiment nerveux.»
« Il se tenait vers la voiture et était agité, » dit-elle.
Puis, alors qu’ils allaient partir, Cromitie l’a embrassée sur la joue et lui a promis, « Bientôt tout ira bien, » dit-elle. «Je pense qu’il voulait dire financièrement, qu’il voulait dire que tout serait OK.»
Selon elle, un ami lui avait dit que James allait avoir 50 000 dollars.

La petite amie du djihadiste parle

28 mai 2009
A mesure qu’on lit la presse qui se donne un peu de peine pour enquêter, on s’aperçoit que l’affaire des quatre terroristes newyorkais embarqués dans d’ambitieux projets d’attentats contre des synagogues et une base aérienne, n’est pas autre chose qu’un coup tordu monté par la police fédérale étatsunienne.
Toutes les ficelles du genre de la manipulation sont ici réunies. La première est un indicateur spécialisé dans l’approche de personnes qui fréquentent des mosquées.
La deuxième ficelle, ce sont des subsides et des cadeaux intéressés destinés à ces personnes ; une générosité qui s’alimente aux caisses du FBI, donc du contribuable étatsunien que ce service est supposé protéger.
La troisième ficelle, ce sont les dindons de la farce. Et là, on dira qu’ils ont le profil idéal : de petits délinquants dépourvus de perspectives d’accession à une vie honnête autant par manque d’opportunités ou de qualifications que par leur faiblesse de caractère.
Néo convertis à l’Islam, ces personnes se font facilement tourner la tête par quelqu’un qui, outre de beaux discours à connotation religieuse, n’omet pas de les arroser de cadeaux, d’argent et de… marijuana.
Pour résumer, nous avons quatre individus qui, au sortir de prison, n’avaient d’autre projet que d’essayer d’éviter d’y retourner en tentant de mener une vie honnête ou en continuant leurs petits délits mais qui se sont faits implanter dans l’esprit un projet d’attentats par un personnage trouble et rusé qui travaille pour la police.
S’ils n’avaient pas rencontré cet individu, qui a pris l’initiative du contact, nous n’aurions jamais entendu parler de ces quatre personnes.

On notera le caractère proprement ignoble de l’agent infiltré par le FBI qui exploite la grave maladie (un cancer en phase terminale) du frère d’un des présumés terroristes.

Voilà, tout est dit sur les méthodes des néoconservateurs aux Etats Unis.

La petite amie du ‘djihad’ : le mouchard du FBI s’est servi de cadeaux pour piéger nos hommes
par Lorena Mongelli à Newburgh et Lukas I. Alpert à New York traduit de l’anglais par Djazaïri
New York Post, 23 mai 2009

Un informateur du FBI a entrainé quatre convertis à l’Islam dans un horrible complot terroriste visant à faire sauter des synagogues et des avions militaires en leur offrant de grosses sommes d’argent, des cadeaux et même des sachets de marijuana, ont déclaré aujourd’hui des proches des suspects.
« Mon frère, tout ce dont tu as besoin, je me le procurerai pour toi, » disait cet homme que les quatre petits délinquants connaissaient sous le nom de Maqsood, selon Kathleen Baynes, dont le petit ami de longue date James Cromitie serait le chef présumé de la cellule terroriste.
Selon elle, Cromitie, 45 ans, a rencontré Maqsood, qui lui a promis de lui enseigner la vérité sur l’Islam, à la mosquée al-Ikhlas il y a environ un an
Rapidement, l’homme vint de plus souvent chez eux, les poches toujours pleines d’argent.
«Il était très insistant et à chaque fois qu’il venait voir James, il l’emmenait avec lui. Ils disaient qu’ils allaient dîner, » dit-elle. « Chaque fois que nous avions besoin de quelque chose Maqsood nous aidait – par exemple financièrement – il nous donnait de l’argent pour payer le loyer.
« Il était tout le temps dans les parages. C’était comme s’il l’avait envoûté.»
Cassandra McKoy, la petite amie de David Williams, un des co-conspirateurs, soutient que les hommes ont été dupés pour participer au complot, appâtés par une paye quotidienne et que la haine religieuse n’avait rien à voir avec tout ça.
« Ce ne sont pas des extrémistes, leurs motivations étaient uniquement financières. Ce ne sont pas des terroristes, » dit-elle. « Ce n’était pas leur idée. Ils [le FBI] font voir les choses comme s’ils l’avaient cherché à entrer en contact avec lui [l’informateur] pour lui dire que nous voulons faire telle chose alors que c’est lui qui les a contactés. Il les a attirés avec l’argent ».
«Maqsood n’était même pas autorisé à entrer dans la mosquée, il les attendait sur le parking et leur avait proposé 25 000 dollars pour se joindre à lui.»
Des sources indiquent que Maqsood est en réalité Shahed Hussain – un ressortissant pakistanais qui gère un hôtel aux environs de la ville et travaille pour le FBI depuis 2003 après avoir eu des problèmes pour une affaire de fraude. Il a joué un rôle capital pour mettre au jour une autre affaire liée au terrorisme à Albany en 2004.
Baynes, 42 ans, entretenait une relation avec Cromitie – un professionnel du crime qui est allé plus de 20 fois en prison – depuis six ans. Elle explique qu’il s’est converti à l’Islam au cours de son dernier séjour en prison mais que ce n’était pas sérieux.
«James est un apprenti musulman. Il n’était pas vraiment musulman. Il n’a jamais prié,» dit-elle.
Mais dans le courant de l’année, Maqsood n’a eu de cesse d’entrainer Cromitie sur le chemin du djihad – il lui donnait des brochures religieuses, des vêtements et des tapis de prière. A la fin, il semble que l’argent et les cadeaux ont mieux fonctionné.
Elle explique que Maqsood avait promis de donner un emploi à Cromitie et il a dit une fois qu’il lui donnerait une Mercedes Benz noire. A plusieurs reprises, il a donné à Cromitie des appareils photo, de l’argent et même de la drogue.
« Maqsood lui a donné beaucoup de marijuana, » dit-elle.
Un porte parole du FBI ne nous a pas rappelé suite à notre demande de commentaires sur les cadeaux.
Elizabeth McWilliams, la mère de Williams, affirme que son fils est tombé sous la coupe de Maqsood en avril en promettant d’aider pour les frais médicaux de son frère malade.
« Maqsood disait ‘Ne t’inquiète pas frère, je vais vous aider pour les frais hospitaliers de ton frère. Cet homme n’a rien fait d’autre que manipuler ces types.»
Baynes dit ne s’être jamais fié aux intentions de Maqsood et que l’imam de la mosquée avait prévenu James de se tenir à l’écart de cet intrus.
« James m’avait dit que l’imam leur avait demandé d’être prudent parce que cet homme essayait de recruter des gens pour aller au Pakistan, » dit-elle. «James avait dit qu’il n’était pas assez fou pour faire quelque chose comme ça.»
Alors que le mercredi de l’attentat approchait, Baynes indique que l’humeur de Cromitie changeait.
« Les derniers jours, James n’était plus le même. Il se comportait simplement différemment, » dit-elle. « Ces jours là, il ne faisait que fumer de l’herbe et jouer à des jeux vidéo avec ses amis [ses associés dans le complot, Williams, Laguerre Payen et Onta Williams].
Selon elle, le jour de l’attentat les hommes s’étaient réunis et Maqsood «semblait vraiment nerveux.»
« Il se tenait vers la voiture et était agité, » dit-elle.
Puis, alors qu’ils allaient partir, Cromitie l’a embrassée sur la joue et lui a promis, « Bientôt tout ira bien, » dit-elle. «Je pense qu’il voulait dire financièrement, qu’il voulait dire que tout serait OK.»
Selon elle, un ami lui avait dit que James allait avoir 50 000 dollars.

Haro sur Chavez l’antisémite!

9 février 2009
La profanation d’une synagogue de Caracas a suscité des condamnations de par le monde. S’il est légitime de s’indigner quand un lieu de culte est profané, on aimerait cependant que les lieux de culte de toutes les confessions soient logés à la même enseigne.

La profanation de ce lieu de culte à Caracas avait la particularité de toucher un lieu de culte juif. Or, il faut savoir que la moindre profanation d’un lieu de culte juif (ne serait-ce que la présence de quelques graffiti), devient rapidement une information suffisamment importante pour faire le tour du monde, au moins via la presse anglophone. Reconnaissons que l’Anti Defamation League, la LICRA et d’autres organismes de ce genre font un excellent travail. Rien de tel pour l’attaque contre la nonciature apostolique dans la capitale vénézuélienne, mise également sur le dos des partisans de M. Chavez (information qui bénéficie d’une couverture médiatique nettement moins ample que celle concernant la synagogue).

L’autre particularité de cette profanation est d’être intervenue à Caracas, le siège du pouvoir d’Hugo Chavez, un président qui incarne une orientation de gauche en Amérique latine et donc objet de l’hostilité des « démocraties » libérales, Etats-Unis en tête.
Justement, cette profanation a été l’occasion de stigmatiser une fois de plus l’antisémitisme supposé du président Vénézuelien. Après tout n’a-t-il pas expulsé l’ambassadeur de l’entité sioniste à Caracas, donnant ainsi un feu vert à l’antisémitisme?
Qu’importe si ce dernier a condamné cet acte…

Seulement voilà, M. Chavez ne s’est pas contenté de condamner; il a également demandé à ses services de sécurité de faire diligence pour retrouver les coupables.

Et les coupables ont été interpellés comme le signale la presse française.

Sauf que la presse française ne donne aucune indication complète sur leurs pedigrees.

Or, si ce sont bien onze policiers et quatre civils qui onté été interpellés, ces civils ne sont autres que les vigiles chargés de la sécurité de la synagogue. Un seul, selon la BBC, plusieurs selon la presse vénézuelienne qui apporte les précisions suivantes:

Les enquêteurs « ont établi que le détective dont l’implication est présumée avait travaillé à la protection d’un rabbin. Ils assurent que cet agent avait demandé à son protégé l’argent que ce dernier lui devait, en vain. C’est à partir de là qu’il y a eu conflit entre eux, ce qui a motivé l’organisation de l’attaque, avec la complicité supposée des vigiles qui ont été arrêtés ».

Il s’agirait donc d’un délit de droit commun (outre les dégradations, il y a eu des vols) maquillé en agression antisémite.
Et ne nous posons pas de questions sur la confession religieuse des vigiles.

>Haro sur Chavez l’antisémite!

9 février 2009

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La profanation d’une synagogue de Caracas a suscité des condamnations de par le monde. S’il est légitime de s’indigner quand un lieu de culte est profané, on aimerait cependant que les lieux de culte de toutes les confessions soient logés à la même enseigne.

La profanation de ce lieu de culte à Caracas avait la particularité de toucher un lieu de culte juif. Or, il faut savoir que la moindre profanation d’un lieu de culte juif (ne serait-ce que la présence de quelques graffiti), devient rapidement une information suffisamment importante pour faire le tour du monde, au moins via la presse anglophone. Reconnaissons que l’Anti Defamation League, la LICRA et d’autres organismes de ce genre font un excellent travail. Rien de tel pour l’attaque contre la nonciature apostolique dans la capitale vénézuélienne, mise également sur le dos des partisans de M. Chavez (information qui bénéficie d’une couverture médiatique nettement moins ample que celle concernant la synagogue).

L’autre particularité de cette profanation est d’être intervenue à Caracas, le siège du pouvoir d’Hugo Chavez, un président qui incarne une orientation de gauche en Amérique latine et donc objet de l’hostilité des « démocraties » libérales, Etats-Unis en tête.
Justement, cette profanation a été l’occasion de stigmatiser une fois de plus l’antisémitisme supposé du président Vénézuelien. Après tout n’a-t-il pas expulsé l’ambassadeur de l’entité sioniste à Caracas, donnant ainsi un feu vert à l’antisémitisme?
Qu’importe si ce dernier a condamné cet acte…

Seulement voilà, M. Chavez ne s’est pas contenté de condamner; il a également demandé à ses services de sécurité de faire diligence pour retrouver les coupables.

Et les coupables ont été interpellés comme le signale la presse française.

Sauf que la presse française ne donne aucune indication complète sur leurs pedigrees.

Or, si ce sont bien onze policiers et quatre civils qui onté été interpellés, ces civils ne sont autres que les vigiles chargés de la sécurité de la synagogue. Un seul, selon la BBC, plusieurs selon la presse vénézuelienne qui apporte les précisions suivantes:

Les enquêteurs « ont établi que le détective dont l’implication est présumée avait travaillé à la protection d’un rabbin. Ils assurent que cet agent avait demandé à son protégé l’argent que ce dernier lui devait, en vain. C’est à partir de là qu’il y a eu conflit entre eux, ce qui a motivé l’organisation de l’attaque, avec la complicité supposée des vigiles qui ont été arrêtés ».

Il s’agirait donc d’un délit de droit commun (outre les dégradations, il y a eu des vols) maquillé en agression antisémite.
Et ne nous posons pas de questions sur la confession religieuse des vigiles.


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