Archive for the ‘USA’ Category
Décidément, le Rambo américano-arabe est bien plus fort que le Rambo américano-italien
8 novembre 2009Nidal Malik Hassan a donc perpétré son carnage à Fort Hood avec deux armes qui étaient sa propriété personnelle et non du matériel militaire.
Ces armes de poing, il les possédait légalement : un vieux Smith & Wesson 357 magnum et un Herstal FN 5.7 acheté auprès d’un armurier local.
Au moins cent coups de feu auraient été tirés par ce psychiatre qui n’était certainement pas un expert du maniement des armes. Cependant, seul le pistolet automatique herstal « tueur de flics » aurait été utilisé en réalité.
La performance de Nidal Malik Hassan, ce Rambo américano-arabe (après le Rambo américano-italien) est d’autant plus extraordinaire qu’il avait oublié d’acheter des munitions lors de l’acquisition de cette arme.
Nouveau gouvernement iranien: la colère hypocrite du procureur Argentin
23 août 2009La presse française nous donne encore une image accablante de son niveau qui se résume à servir de caisse de résonance à la propagande sans même prendre un petit temps pour compléter son information.
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Ainsi, on peut lire sur 20 minutes que:
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Sur le site du Nouvel Observateur, nous lisons en titre:
Colère en Argentine après la nomination du nouveau ministre iranien de la Défense
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Mais, me direz-vous, il est parfaitement vrai qu’Ahmad Vahidi est recherché par Interpol à la demande de l’Argentine!
Et vous avez raison. Mais ce que je reproche à ces journaux, surtout le Nouvel Observateur, c’est de faire écho sans recul aucun à la prétendue indignation des autorités argentines (en réalité d’un procureur et non du gouvernement, en tout cas pour l’instant).
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Il est d’ailleurs amusant de lire dans le même article la réaction officielle des Etats Unis:
A Washington, le porte-parole du département d’Etat Ian Kelly a déclaré que si Ahmad Vahidi était bien recherché par Interpol, sa confirmation au sein du gouvernement iranien serait « dérangeante. »
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Car en réalité, les USA ne peuvent pas ignorer que Vahidi est recherché par Interpol puisqu’il l’a été à leur instigation.
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Mais revenons à l’indignation argentine. Si le Nouvel Observateur ne le sait apparemment pas et ne cherche pas à en savoir plus, les Argentins ignoraient-ils vraiment qu’Ahmad Vahidi figurait déjà dans le précédent gouvernement iranien en qualité de vice-ministre de la défense?
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Sa nomination à de hautes fonctions ministérielles n’a donc rien de nouveau et n’a pas de quoi susciter ces prétendus cris d’orfraie.
Sauf si on la resitue dans le contexte d’une propagande guerrière sioniste que même les Etats Unis semblent rechigner à suivre. D’autant que parmi les Iraniens recherchés par Interpol, figure également l’Ayatollah Hachemi Rafsandjani, encien président de la république et plus important soutien de… Mir Hossein Moussavi pour qui les Occidentaux se sont découverts une affection sans bornes.
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Décidément, l’Orient est compliqué pour les esprits tortueux.
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Pour le dossier à l’encontre d’Ahmad Vahidi et autres dirigeants Iraniens, je me permets de vous renvoyer à mon post sur l’attentat contre l’AMIA à Buenos Aires.
La communauté internationale s’inquiète du lancement du premier satellite iranien
3 février 2009Paris, nous dit le journal Le Monde, s’inquiète après le lancement du premier satellite iranien. Et si Paris s’inquiète, c’est que les USA aussi sont inquiets du lancement par l’Iran de son premier satellite, Omid.
Et si, les Etats-Unis s’inquiètent, alors on peut le dire c’est toute la communauté internationale qui s’inquiète.
Et la communauté internationale, ce l’est ni vous ni moi, mais l’OTAN comme Romandie News a la franchise de le dire dans une dépêche.
s
Et le motif d’inquiétude c’est la confirmation que « l’Iran dispose de fusées capables de frapper Israël et le sud-est de l’Europe. » (remarquez comment il faut accoler l’entité sioniste à l’Europe afin de faire peur aux Européens).
L’Iran affirme que son programme spatial, tout comme son programme atomique, sert des fins purement civiles.
Certes mais ainsi qu’on le dit au Quai d’Orsay, « la technologie employée est « très similaire » à celle des missiles balistiques. »
s
Diable, mais comment sait-on ça au Quai d’Orsay?
s
Simplement parce que le développement des programmes spatiaux en Europe, aux Etats-Unis et dans l’ex URSS a toujours été de pair avec celui des missiles intercontinentaux. Chez Dassault, on en sait d’ailleurs quelque chose; cette entreprise a acquis une expertise dans le domaine du spatial grâce au développement pour l’entité sioniste du missile Jericho.
s
Par exemple en France, le programme spatial (et de missiles) n’a vraiment décollé aux sens propre et figuré qu’avec la coopération de 123 ingénieurs Allemands, oui les mêmes qui avaient travaillé sous le régime hitlérien à la production des fusées V1 et surtout V2.
Le V2 et les ingénieurs Allemands furent en réalité à l’origine des succès des importants programmes spatiaux et de missiles balistiques aux Etats-Unis comme en URSS.
s
Dans les trois cas évoqués, ce sont un programme militaire et des techniciens Allemands qui furent la clef du développement d’une astronautique « civile. »
d
Donc, grosso modo, Paris et Washington accusent Téhéran de vouloir les imiter.
d
Les deux capitales occcidentales ont bien compris que le niveau actuel du lanceur spatial iranien est incompatible avec la projection sur une longue distance d’une lourde charge militaire, conventionnelle ou nucléaire.
d
Mais ce programme est néanmoins pour eux une source d’inquiétude pour l’avenir.
d
Et il est vrai que l’Iran pourra sans doute demain, développer des lanceurs plus puissants et peut-être des missiles intercontinentaux.
Et que demain également, un Iran qui maîtriserait la technologie nucléaire pourrait décider, s’il le jugeait nécessaire, de développer l’arme atomique.
Et c’est bien ça qui inquiète les puissances occidentales. Non pas que l’Iran ait réellement l’intention de produire l’arme atomique mais que ce pays soit état de le faire s’il le décide.
Et l’Iran, comme l’Irak précédemment, ne sera jamais en mesure de prouver à 100 % qu’il ne tente pas d’acquérir l’arme atomique, sauf à passer sous protectorat des USA et de charger ce pays d’assurer concrètement la gestion de ses activités dans le domaine nucléaire; et d’ouvrir les portes et les placards de ses ministères à toute heure du jour et de la nuit à n’importe quel fonctionnaire de Washington qui en ferait (ou pas) la demande.
s
Mais pourquoi avoir peur d’un pays, l’Iran, qui n’en a agressé aucun autre dans son histoire moderne?
Pourquoi les Européens devraient s’unir dans la peur à une entité sioniste belliciste et dotée de toutes sortes d’armes, dont l’arme nucléaire? (merci la France)
s
Par ailleurs, les sionistes savent parfairement que même un Iran doté de missiles nucléaires ne les utiliserait pas pour bombarder une Palestine où se trouvent des millions de Palestiniens, sans parler des lieux saints de l’Islam et du Christianisme.
>La communauté internationale s’inquiète du lancement du premier satellite iranien
3 février 2009>
Paris, nous dit le journal Le Monde, s’inquiète après le lancement du premier satellite iranien. Et si Paris s’inquiète, c’est que les USA aussi sont inquiets du lancement par l’Iran de son premier satellite, Omid.
Et si, les Etats-Unis s’inquiètent, alors on peut le dire c’est toute la communauté internationale qui s’inquiète.
Et la communauté internationale, ce l’est ni vous ni moi, mais l’OTAN comme Romandie News a la franchise de le dire dans une dépêche.
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Et le motif d’inquiétude c’est la confirmation que « l’Iran dispose de fusées capables de frapper Israël et le sud-est de l’Europe. » (remarquez comment il faut accoler l’entité sioniste à l’Europe afin de faire peur aux Européens).
L’Iran affirme que son programme spatial, tout comme son programme atomique, sert des fins purement civiles.
Certes mais ainsi qu’on le dit au Quai d’Orsay, « la technologie employée est « très similaire » à celle des missiles balistiques. »
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Diable, mais comment sait-on ça au Quai d’Orsay?
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Simplement parce que le développement des programmes spatiaux en Europe, aux Etats-Unis et dans l’ex URSS a toujours été de pair avec celui des missiles intercontinentaux. Chez Dassault, on en sait d’ailleurs quelque chose; cette entreprise a acquis une expertise dans le domaine du spatial grâce au développement pour l’entité sioniste du missile Jericho.
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Par exemple en France, le programme spatial (et de missiles) n’a vraiment décollé aux sens propre et figuré qu’avec la coopération de 123 ingénieurs Allemands, oui les mêmes qui avaient travaillé sous le régime hitlérien à la production des fusées V1 et surtout V2.
Le V2 et les ingénieurs Allemands furent en réalité à l’origine des succès des importants programmes spatiaux et de missiles balistiques aux Etats-Unis comme en URSS.
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Dans les trois cas évoqués, ce sont un programme militaire et des techniciens Allemands qui furent la clef du développement d’une astronautique « civile. »
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Donc, grosso modo, Paris et Washington accusent Téhéran de vouloir les imiter.
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Les deux capitales occcidentales ont bien compris que le niveau actuel du lanceur spatial iranien est incompatible avec la projection sur une longue distance d’une lourde charge militaire, conventionnelle ou nucléaire.
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Mais ce programme est néanmoins pour eux une source d’inquiétude pour l’avenir.
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Et il est vrai que l’Iran pourra sans doute demain, développer des lanceurs plus puissants et peut-être des missiles intercontinentaux.
Et que demain également, un Iran qui maîtriserait la technologie nucléaire pourrait décider, s’il le jugeait nécessaire, de développer l’arme atomique.
Et c’est bien ça qui inquiète les puissances occidentales. Non pas que l’Iran ait réellement l’intention de produire l’arme atomique mais que ce pays soit état de le faire s’il le décide.
Et l’Iran, comme l’Irak précédemment, ne sera jamais en mesure de prouver à 100 % qu’il ne tente pas d’acquérir l’arme atomique, sauf à passer sous protectorat des USA et de charger ce pays d’assurer concrètement la gestion de ses activités dans le domaine nucléaire; et d’ouvrir les portes et les placards de ses ministères à toute heure du jour et de la nuit à n’importe quel fonctionnaire de Washington qui en ferait (ou pas) la demande.
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Mais pourquoi avoir peur d’un pays, l’Iran, qui n’en a agressé aucun autre dans son histoire moderne?
Pourquoi les Européens devraient s’unir dans la peur à une entité sioniste belliciste et dotée de toutes sortes d’armes, dont l’arme nucléaire? (merci la France)
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Par ailleurs, les sionistes savent parfairement que même un Iran doté de missiles nucléaires ne les utiliserait pas pour bombarder une Palestine où se trouvent des millions de Palestiniens, sans parler des lieux saints de l’Islam et du Christianisme.
Aux USA, les mineurs délinquants non blancs ont 10 fois plus de chance d’être condamnés à la prison à vie que les mineurs délinquants blancs
19 novembre 2007Encore un point commun entre les Etats-Unis et l’entité sioniste : ce sont les deux seuls Etats qui condamnent des mineurs à des peines de prison à vie, surtout des noirs aus USA, des Palestiniens sans nul doute dans ce qu’on appelle à tort l’Etat Hébreu.
s
Prison à vie pour des mineurs : les USA en tête
The Age (Australie), 20 nov. 2007, traduit de l’anglais par Djazaïri
The Age (Australie), 20 nov. 2007, traduit de l’anglais par Djazaïri
d
Henry Weinstein, Los Angeles
Les États-Unis ont beaucoup plus de jeunes qui purgent une peine de prison à vie que n’importe quel autre pays : 2387. Israël, le seul autre pays qui emprisonne des mineurs à vie, selon une étude récente du Centre for Law & Global Justice Centre for Law & Global Justice de l’université de San Francisco en détient 7 – et n’a pas prononcé de telle sentence depuis 2004.
Aux Etats-Unis les peines de prison à vie touchent de manière disproportionnée les enfants non blancs qui ont dix fois plus de chance que les blancs d’être condamné à une peine perpétuelle sans possibilité de libération conditionnelle constate le rapport d’étude.
Henry Weinstein, Los Angeles
Les États-Unis ont beaucoup plus de jeunes qui purgent une peine de prison à vie que n’importe quel autre pays : 2387. Israël, le seul autre pays qui emprisonne des mineurs à vie, selon une étude récente du Centre for Law & Global Justice Centre for Law & Global Justice de l’université de San Francisco en détient 7 – et n’a pas prononcé de telle sentence depuis 2004.
Aux Etats-Unis les peines de prison à vie touchent de manière disproportionnée les enfants non blancs qui ont dix fois plus de chance que les blancs d’être condamné à une peine perpétuelle sans possibilité de libération conditionnelle constate le rapport d’étude.
s
Intitulée « Condamner des enfants à mourir en prison ,»l’étude a également montré qu’en Californie les jeunes noirs ont vingt fois plus de chances que les blancs de se voir infliger de telles condamnations.
« Pour de nombreux enfants, c’est une véritable condamnation à mort, » explique Michelle Leighton, auteur principal de l’étude qui a constaté que dans 51 % des cas ces enfants n’avaient jamais été poursuivis pour d’autres délits.
Intitulée « Condamner des enfants à mourir en prison ,»l’étude a également montré qu’en Californie les jeunes noirs ont vingt fois plus de chances que les blancs de se voir infliger de telles condamnations.
« Pour de nombreux enfants, c’est une véritable condamnation à mort, » explique Michelle Leighton, auteur principal de l’étude qui a constaté que dans 51 % des cas ces enfants n’avaient jamais été poursuivis pour d’autres délits.
s
Le gouvernement fédéral des Etats-Unis ainsi que 44 États permettent la condamnation à vie sans possibilité de remise de peine pour les mineurs délinquants.
Selon l’étude, « treize de ces États autorisent la condamnation perpétuelle sans remise de peine d’enfants de tout âge et l’un d’entre eux fixe la barre à huit ans et plus ».
18 États autorisent l’application d’une telle sentence à un enfant d’au moins dix ans et 20 États l’autorisent pour des enfants de douze ans et plus. L’âge minimum est de 14 ans dans 13 autres États.
Le gouvernement fédéral des Etats-Unis ainsi que 44 États permettent la condamnation à vie sans possibilité de remise de peine pour les mineurs délinquants.
Selon l’étude, « treize de ces États autorisent la condamnation perpétuelle sans remise de peine d’enfants de tout âge et l’un d’entre eux fixe la barre à huit ans et plus ».
18 États autorisent l’application d’une telle sentence à un enfant d’au moins dix ans et 20 États l’autorisent pour des enfants de douze ans et plus. L’âge minimum est de 14 ans dans 13 autres États.
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L’étude assure que « les sentences sévères prononcées dans des tribunaux pour majeurs ne prennent pas en compte la moindre culpabilité des mineurs délinquants… Du point de vue psychologique comme neurologique, on ne doit pas s’attendre à ce que des enfants, même adolescents, aient pu atteindre le même niveau de développement mental qu’un adulte. »
L’étude assure que « les sentences sévères prononcées dans des tribunaux pour majeurs ne prennent pas en compte la moindre culpabilité des mineurs délinquants… Du point de vue psychologique comme neurologique, on ne doit pas s’attendre à ce que des enfants, même adolescents, aient pu atteindre le même niveau de développement mental qu’un adulte. »
>Aux USA, les mineurs délinquants non blancs ont 10 fois plus de chance d’être condamnés à la prison à vie que les mineurs délinquants blancs
19 novembre 2007>
Encore un point commun entre les Etats-Unis et l’entité sioniste : ce sont les deux seuls Etats qui condamnent des mineurs à des peines de prison à vie, surtout des noirs aus USA, des Palestiniens sans nul doute dans ce qu’on appelle à tort l’Etat Hébreu.
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Prison à vie pour des mineurs : les USA en tête
The Age (Australie), 20 nov. 2007, traduit de l’anglais par Djazaïri
The Age (Australie), 20 nov. 2007, traduit de l’anglais par Djazaïri
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Henry Weinstein, Los Angeles
Les États-Unis ont beaucoup plus de jeunes qui purgent une peine de prison à vie que n’importe quel autre pays : 2387. Israël, le seul autre pays qui emprisonne des mineurs à vie, selon une étude récente du Centre for Law & Global Justice Centre for Law & Global Justice de l’université de San Francisco en détient 7 – et n’a pas prononcé de telle sentence depuis 2004.
Aux Etats-Unis les peines de prison à vie touchent de manière disproportionnée les enfants non blancs qui ont dix fois plus de chance que les blancs d’être condamné à une peine perpétuelle sans possibilité de libération conditionnelle constate le rapport d’étude.
Henry Weinstein, Los Angeles
Les États-Unis ont beaucoup plus de jeunes qui purgent une peine de prison à vie que n’importe quel autre pays : 2387. Israël, le seul autre pays qui emprisonne des mineurs à vie, selon une étude récente du Centre for Law & Global Justice Centre for Law & Global Justice de l’université de San Francisco en détient 7 – et n’a pas prononcé de telle sentence depuis 2004.
Aux Etats-Unis les peines de prison à vie touchent de manière disproportionnée les enfants non blancs qui ont dix fois plus de chance que les blancs d’être condamné à une peine perpétuelle sans possibilité de libération conditionnelle constate le rapport d’étude.
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Intitulée « Condamner des enfants à mourir en prison ,»l’étude a également montré qu’en Californie les jeunes noirs ont vingt fois plus de chances que les blancs de se voir infliger de telles condamnations.
« Pour de nombreux enfants, c’est une véritable condamnation à mort, » explique Michelle Leighton, auteur principal de l’étude qui a constaté que dans 51 % des cas ces enfants n’avaient jamais été poursuivis pour d’autres délits.
Intitulée « Condamner des enfants à mourir en prison ,»l’étude a également montré qu’en Californie les jeunes noirs ont vingt fois plus de chances que les blancs de se voir infliger de telles condamnations.
« Pour de nombreux enfants, c’est une véritable condamnation à mort, » explique Michelle Leighton, auteur principal de l’étude qui a constaté que dans 51 % des cas ces enfants n’avaient jamais été poursuivis pour d’autres délits.
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Le gouvernement fédéral des Etats-Unis ainsi que 44 États permettent la condamnation à vie sans possibilité de remise de peine pour les mineurs délinquants.
Selon l’étude, « treize de ces États autorisent la condamnation perpétuelle sans remise de peine d’enfants de tout âge et l’un d’entre eux fixe la barre à huit ans et plus ».
18 États autorisent l’application d’une telle sentence à un enfant d’au moins dix ans et 20 États l’autorisent pour des enfants de douze ans et plus. L’âge minimum est de 14 ans dans 13 autres États.
Le gouvernement fédéral des Etats-Unis ainsi que 44 États permettent la condamnation à vie sans possibilité de remise de peine pour les mineurs délinquants.
Selon l’étude, « treize de ces États autorisent la condamnation perpétuelle sans remise de peine d’enfants de tout âge et l’un d’entre eux fixe la barre à huit ans et plus ».
18 États autorisent l’application d’une telle sentence à un enfant d’au moins dix ans et 20 États l’autorisent pour des enfants de douze ans et plus. L’âge minimum est de 14 ans dans 13 autres États.
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L’étude assure que « les sentences sévères prononcées dans des tribunaux pour majeurs ne prennent pas en compte la moindre culpabilité des mineurs délinquants… Du point de vue psychologique comme neurologique, on ne doit pas s’attendre à ce que des enfants, même adolescents, aient pu atteindre le même niveau de développement mental qu’un adulte. »
L’étude assure que « les sentences sévères prononcées dans des tribunaux pour majeurs ne prennent pas en compte la moindre culpabilité des mineurs délinquants… Du point de vue psychologique comme neurologique, on ne doit pas s’attendre à ce que des enfants, même adolescents, aient pu atteindre le même niveau de développement mental qu’un adulte. »
Un cas d’antisémitisme à Washington
7 novembre 2007Selon la police, une étudiante juive de l’université George Washington a reconnu avoir tracé des croix gammées sur sa porte
NBC 4 (USA), 5 novembre 2007 – traduit de l’anglais par Djazaïri
s
WASHINGTON — Des responsables de l’université George Washington ont déclaré qu’une étudiante juive qui s’était plainte de la présence de croix gammées sur sa porte les avait tracées elle même.
L’étudiante réside au bâtiment Mitchell Hall, où une demi douzaine de croix gammées avaient été dessinées sur la porte de sa chambre ces dernières semaines.
La police de l’université a mis en place des caméras cachées. Selon elle, la jeune fille a reconnu sa responsabilité lundi.
s
News 4 avait interviewé l’étudiante la semaine dernière après la découverte de la cinquième croix gammée. Elle avait souhaité garder l’anonymat.
« C’est une grosse affaire, » déclare Jake Sherman, rédacteur en chef du Hatchet, le journal étudiant de l’université. « 30 % des étudiants de George Washington sont Juifs. »
Des journalistes du Hatchet avaient suivi l’affaire dès ses débuts. Ils affirment avoir appris lundi que la présumée victime serait probablement impliquée.
WASHINGTON — Des responsables de l’université George Washington ont déclaré qu’une étudiante juive qui s’était plainte de la présence de croix gammées sur sa porte les avait tracées elle même.
L’étudiante réside au bâtiment Mitchell Hall, où une demi douzaine de croix gammées avaient été dessinées sur la porte de sa chambre ces dernières semaines.
La police de l’université a mis en place des caméras cachées. Selon elle, la jeune fille a reconnu sa responsabilité lundi.
s
News 4 avait interviewé l’étudiante la semaine dernière après la découverte de la cinquième croix gammée. Elle avait souhaité garder l’anonymat.
« C’est une grosse affaire, » déclare Jake Sherman, rédacteur en chef du Hatchet, le journal étudiant de l’université. « 30 % des étudiants de George Washington sont Juifs. »
Des journalistes du Hatchet avaient suivi l’affaire dès ses débuts. Ils affirment avoir appris lundi que la présumée victime serait probablement impliquée.
Ils disent lui avoir parlé à deux reprises au téléphone.
Selon ces journalistes, l’étudiante leur a déclaré : « Je ne cherchais pas à fabriquer ce genre d’insanité. Je ne cherchais pas à devenir un chouchou des media. Je voulais juste que l’université reconnaisse que quelqu’un avait dessiné une croix gammée sur ma porte.
L’étudiante se trouve maintenant confrontée à des sanctions disciplinaires par l’université et risque des poursuites pénales.
s
Dans l’article plus complet du Hatchet, l’étudiante affirme n’avoir tracé que les trois dernières croix gammées. Ce qui laisse de marbre l’université bien décidée à la renvoyer, forte de sa possession « d’aveux signés » par Sarah Marshak, cette étudiante qui voulait parait-il garder l’anonymat.
s
Pas moins de 11 articles auront été consacrés par le Hatchet à cette affaire entre le 25 octobre et le 5 novembre 2007.
L’étudiante se trouve maintenant confrontée à des sanctions disciplinaires par l’université et risque des poursuites pénales.
s
Dans l’article plus complet du Hatchet, l’étudiante affirme n’avoir tracé que les trois dernières croix gammées. Ce qui laisse de marbre l’université bien décidée à la renvoyer, forte de sa possession « d’aveux signés » par Sarah Marshak, cette étudiante qui voulait parait-il garder l’anonymat.
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Pas moins de 11 articles auront été consacrés par le Hatchet à cette affaire entre le 25 octobre et le 5 novembre 2007.
>Un cas d’antisémitisme à Washington
7 novembre 2007>
Selon la police, une étudiante juive de l’université George Washington a reconnu avoir tracé des croix gammées sur sa porte
NBC 4 (USA), 5 novembre 2007 – traduit de l’anglais par Djazaïri
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WASHINGTON — Des responsables de l’université George Washington ont déclaré qu’une étudiante juive qui s’était plainte de la présence de croix gammées sur sa porte les avait tracées elle même.
L’étudiante réside au bâtiment Mitchell Hall, où une demi douzaine de croix gammées avaient été dessinées sur la porte de sa chambre ces dernières semaines.
La police de l’université a mis en place des caméras cachées. Selon elle, la jeune fille a reconnu sa responsabilité lundi.
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News 4 avait interviewé l’étudiante la semaine dernière après la découverte de la cinquième croix gammée. Elle avait souhaité garder l’anonymat.
« C’est une grosse affaire, » déclare Jake Sherman, rédacteur en chef du Hatchet, le journal étudiant de l’université. « 30 % des étudiants de George Washington sont Juifs. »
Des journalistes du Hatchet avaient suivi l’affaire dès ses débuts. Ils affirment avoir appris lundi que la présumée victime serait probablement impliquée.
WASHINGTON — Des responsables de l’université George Washington ont déclaré qu’une étudiante juive qui s’était plainte de la présence de croix gammées sur sa porte les avait tracées elle même.
L’étudiante réside au bâtiment Mitchell Hall, où une demi douzaine de croix gammées avaient été dessinées sur la porte de sa chambre ces dernières semaines.
La police de l’université a mis en place des caméras cachées. Selon elle, la jeune fille a reconnu sa responsabilité lundi.
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News 4 avait interviewé l’étudiante la semaine dernière après la découverte de la cinquième croix gammée. Elle avait souhaité garder l’anonymat.
« C’est une grosse affaire, » déclare Jake Sherman, rédacteur en chef du Hatchet, le journal étudiant de l’université. « 30 % des étudiants de George Washington sont Juifs. »
Des journalistes du Hatchet avaient suivi l’affaire dès ses débuts. Ils affirment avoir appris lundi que la présumée victime serait probablement impliquée.
Ils disent lui avoir parlé à deux reprises au téléphone.
Selon ces journalistes, l’étudiante leur a déclaré : « Je ne cherchais pas à fabriquer ce genre d’insanité. Je ne cherchais pas à devenir un chouchou des media. Je voulais juste que l’université reconnaisse que quelqu’un avait dessiné une croix gammée sur ma porte.
L’étudiante se trouve maintenant confrontée à des sanctions disciplinaires par l’université et risque des poursuites pénales.
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Dans l’article plus complet du Hatchet, l’étudiante affirme n’avoir tracé que les trois dernières croix gammées. Ce qui laisse de marbre l’université bien décidée à la renvoyer, forte de sa possession « d’aveux signés » par Sarah Marshak, cette étudiante qui voulait parait-il garder l’anonymat.
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Pas moins de 11 articles auront été consacrés par le Hatchet à cette affaire entre le 25 octobre et le 5 novembre 2007.
L’étudiante se trouve maintenant confrontée à des sanctions disciplinaires par l’université et risque des poursuites pénales.
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Dans l’article plus complet du Hatchet, l’étudiante affirme n’avoir tracé que les trois dernières croix gammées. Ce qui laisse de marbre l’université bien décidée à la renvoyer, forte de sa possession « d’aveux signés » par Sarah Marshak, cette étudiante qui voulait parait-il garder l’anonymat.
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Pas moins de 11 articles auront été consacrés par le Hatchet à cette affaire entre le 25 octobre et le 5 novembre 2007.