Quand un Juif organise des prières chrétiennes pour le président Trump!

Le président Donald Trump a été porté au pouvoir notamment par des forces ultra-conservatrices dont les deux composantes principales sont l’Alt-Right (ou droite alternative] et les Chrétiens évangéliques.

Ces Chrétiens évangéliques utilisent des techniques bien rôdées, aussi bien au niveau du discours et de l’animation scénique, si j’ose dire, que des outils médias. Toute cette instrumentation ne porte que si elle est mobilisée autour d’une personnalité charismatique et exemplaire.

Le parcours des prophètes en réalité, et c’est bien ainsi que se désignent un certain nombre de pasteurs évangéliques.

L’article que je vous propose en évoque deux, même s’il est plus particulièrement consacré à l’un d’entre eux.

On, constate, comme on a pu le constater par ailleurs, que des Juifs, qui se considèrent comme tels, sont en capacité d’assumer un rôle dirigeant dans des communautés chrétiennes. On lit par exemple dans l’article que le dirigeant évangélique Frank Amedia a été juif autrefois. Pourtant quand on lui demande de se présenter, il dit au présent être « un Juif italien ».

On laissera de côté son parcours spirituel qui me laisse franchement dubitatif quand on voit les engagements du bonhomme qui sont en réalité axés sur les intérêts de l’Etat juif.

Le fait d’être juif n’étant pas une question de foi mais de lien de sang, d’ADN ainsi que le déclare l’autre évangélique cité dans l’article, le deuxième évangélique, Lance Wallnau. Ce dernier relatant même le propos de son père lui disant qu’il entretiendrait un « rapport instinctif » avec le peuple juif.

Voilà qui nous rappelle la vision développée par un certain Adolf Hitler!

Et il va de soi que pour ces gens, « l’Islam doit être brisé pour que le Christ puisse revenir« .

Ces Juifs passés prétendument au christianisme sont en effet les principaux promoteurs de l’islamophobie avec d’autres qui pour leur part n’utilisent pas le vecteur de l’action religieuse à proprement parler.

Le « Guerrier de la Prière » pour Trump claironne ses racines juives

Par Sam Kestenbaum August, The Jewish Forward (USA) 10 août 2017 traduit de l’anglais par Djazaïri

Un télévangéliste qui dit que ses prières ont arrêté un tsunami et qui croit que Donald Trump a été choisi par Dieu anime une campagne de prières de masse en soutien au Président – dans le cadre d’une action de protection étalée sur un mois baptisée POTUS [President Of The USA] Shield.

Frank Amedia, auparavant « chargé de liaison pour la politique chrétienne » pendant la campagne électorale de Trump et « Guerrier de la Prière » autoproclamé a lancé un projet avec d’autres « prophètes » ou « apôtres » pour créer un « bouclier de prière » protecteur autour de la présidence Trump. Il a organisé à cette fin des groupes de prière et des rassemblements au cours de ces six derniers mois.

Frank Amedia

Frank Amedia

« Ces moments forts sont toujours une occasion excitante et puissante d’écouter en coulisses le cœur qui bat derrière le POTUS Shield, » lit-on sur le site web d’Amedia,  » et ils mettent en place l’atmosphère dans la région ! »

Les leaders du POTUS Shield voient la politique comme une guerre spirituelle. Le groupe, a apporté dans un article récent Right Wing Watch [l’observatoire de l’extrême droite], s’inscrit dans ce que les spécialistes de religion qualifient de « forme de christianisme qui se développe le plus vite aux Etats Unis et peut-être dans le monde » – une tendance su protestantisme évangélique qui met l’accent sur l’expérience surnaturelle directe à travers les « dons de l’esprit. »

Image promotionnelle pour le "bouclier de prière" de Frank Amedia pour le président.

Un autre fait dont Amedia parle avec fierté ?

Il était juif autrefois.

« Je suis un Juif italien, mes parents avaient un héritage juif et un héritage italien , »a déclaré Amedia au cours d’un entretien pour une émission de télévision chrétienne l’an dernier.

Son groupe, constitué de 20 membres du conseil ne se targue pas d’accueillir des personnes très ou appartenant à de grandes familles, mais leur leader aime à parler de ses liens avec le Président. Amedia soutient avoir dit au Président qu’il avait été porté au pouvoir par Dieu dans le cadre d’un plan sacré pour bâtir une nation chrétienne forte – qui à son tour fera revenir Jésus Christ pour qu’il règne sur le monde.

« Leur théologie dit que le Christ reviendra seulement avec une église triomphante et dominatrice, » explique Peter Montgomery, auteur du rapport de Right Wing Watch. « Ils consid_rent leur activisme politique comme nécessaire pour provoquer le retour du Christ. »

POTUS Shield a programmé une série de rassemblements dans tout le pays entre maintenant et les élections de mi-mandat de 2018 où ils prévoient de rassembler des soutiens et répandre leur message. Les objectifs concrets avoués du groupe comprennent la suppression du droit à l’avortement, l’interdiction des mariages homosexuels et la révocation des juges fédéraux dont les décisions ne leur conviennent pas. Amedia et sa femme dirigent aussi Touch Heaven Ministries.

Comme beaucoup d’autres évangéliques a une grande vénération pour Israël, un autre pays qu’ils considèrent comme sacré – le shofar [instrument à vent fabrique à partir d’une corne de bélier] avait même résonné et le drapeau israélien flottait pendant la réunion inaugurale de ce groupe de prière

Dans l’entretien sur sa vie passée, Amedia a dit avoir appartenu à une su*ynagogue conservatrice mais en était venu à se sentir frustré dans sa foi. « Ce qui m’intéressait, c’était la manière de revenir à une relation où on voit Dieu, » avait-il dit. Media s’était installé dans une ferme, avait construit un autel et avait commencé à « pratiquer des sacrifices pour faire se manifester la présence de Dieu. »

Il avait observé les rites d’un prêtre juif, disait-il, se conformant aux prescriptions alimentaires et lavant soigneusement ses robes.

Mais cela aussi l’avait laissé insatisfait. Un jour d’hiver, se sentant abattu, il avait erré dans la neige. Il pleurait, disait-il, et demandait à Dieu « d’envoyer un ours pour qu’il me tue et me dévore. »

C’est à ce moment qu’il « a entendu la voix de Dieu pour la toute première fois » – une expérience transformatrice qui le conduisit vers Jésus. « J’eus la révélation que Jésus était Dieu » disait-il.

Il reçut par la suite une formation par Guillermo Maldonado, un pasteur de Miami membre de la New Apostolic Reformation, un groupe de personnes « qui s’autoproclament prophètes et apôtres des temps modernes, » selon le Christian Times.

« Il a été crédité de plusieurs prophéties incroyables, » lit-on sur son site internet et « il jouit des dons de guérir, de faire des miracles, de délivrer [du tourment?], des paroles de la connaissance, d’enseigner et il est aussi un pianiste chevronné et un auteur de psaumes. »

Amedia, qui guide des circuits religieux en Terre Sainte, évoque souvent ses origines juives – un élément qui plait à ses adeptes.

Le leader évangélique n’est pas le seul à évoquer des origines juives. D’autres personnalités, dont d’autres prophètes autoproclamés qui soutiennent Trump font la même chose.

Par exemple, l’évangéliste Lance Wallnau – qui, incidemment, dit aussi avoir prophétisé l’ascension de Trump – affirme aussi avoir des racines juives.

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Pour Amedia, Wallnau et d’autres, la judéité est évoquée en tant que lien de sang ou de lien génétique avec un peuple ancien.

Wallnau raconte une histoire dramatique sur la manière dont son propre père lui avait révélé son identité juive. « Pour le restant de ta vie, tu auras un rapport instinctif avec le peuple juif. C’est dans ton ADN, » disait son père. « C’est dans tes os. C’est dans ton identité. Tu le sauras parce que tu le ressentiras. »

 

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8 Réponses to “Quand un Juif organise des prières chrétiennes pour le président Trump!”

  1. dakichia2013 Says:

    Observant la campagne électorale présidentielle états-unienne, Thierry Meyssan analyse la résurgence d’un vieux et lourd conflit civilisationnel. Hillary Clinton vient de déclarer que cette élection ne portait pas sur des programmes, mais sur la question de savoir « Qui sont les Américains ? ». Ce n’est pas sur des questions politiques que les ténors républicains viennent de retirer leur soutien à leur candidat, Donald Trump, mais à propos de son comportement personnel. Selon notre auteur, jusqu’à présent, les États-uniens étaient des migrants venant d’horizons différents et acceptant de se soumettre à l’idéologie d’une communauté particulière. C’est ce modèle qui est en train de se briser, au risque de briser le pays lui-même.
    RÉSEAU VOLTAIRE | DAMAS (SYRIE) | 25 OCTOBRE 2016
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    73% des électeurs millénaristes (c’est-à-dire croyant à l’imminence de la fin du monde) condamnent le candidat républicain Donald Trump. 68% d’entre eux considèrent que la candidate démocrate Hillary Clinton est plus apte à défendre les classes moyennes ; 64% qu’elle est meilleure en politique étrangère ; 61% en économie.
    Au cours de l’année de campagne électorale états-unienne que nous venons de traverser, la rhétorique a profondément changé et un clivage inattendu est apparu entre les deux camps. Si, au départ, les candidats parlaient de sujets proprement politiques (comme la répartition des richesses ou la sécurité nationale), ils traitent aujourd’hui principalement de sexe et d’argent.
    C’est ce discours et non pas les questions politiques qui a fait exploser le Parti républicain —dont les principaux leaders ont retiré leur soutien à leur candidat— et qui recompose l’échiquier politique, faisant ressurgir un très ancien clivage civilisationnel. D’un côté, Madame Clinton se veut politiquement correcte tandis que de l’autre « Le Donald » fait voler en éclats l’hypocrisie de l’ancienne « première Dame ».
    D’un côté, Hillary Clinton promeut l’égalité hommes/femmes, bien qu’elle n’ait jamais hésité à attaquer et salir les femmes qui révélaient avoir couché avec son mari ; qu’elle se présente non pas pour ses qualités personnelles, mais en tant qu’épouse d’un ancien président, et qu’elle accuse Donald Trump de misogynie parce qu’il ne cache pas son goût pour la gente féminine. De l’autre, Donald Trump dénonce la privatisation de l’État et le racket des personnalités étrangères par la Fondation Clinton pour obtenir un rendez-vous au département d’État ; la création de l’ObamaCare non pas dans l’intérêt des citoyens, mais pour le profit des assurances médicales ; et va jusqu’à mettre en cause la sincérité du système électoral.
    J’ai parfaitement conscience que la manière dont s’exprime Donald Trump encourage de fait le racisme, mais je ne pense pas du tout que ce soit au cœur du débat électoral malgré la battage qu’en font les médias pro-Clinton.
    Il n’est pas indifférent que, lors de l’affaire Lewinsky, le président Bill Clinton ait présenté ses excuses à la Nation et ait réuni des pasteurs pour prier pour son salut. Tandis que mis en cause pour des faits similaires par un enregistrement audio, Donald Trump s’est contenté de présenter ses excuses aux personnes qu’il avait blessées sans faire appel à des membres du clergé.
    Le clivage actuel reprend la révolte des valeurs des Catholiques, des Orthodoxes et des Luthériens contre celles des Calvinistes, principalement représentés aux États-Unis par les Presbytériens, les Baptistes et les Méthodistes.
    Si les deux candidats ont été élevés dans la tradition puritaine (Clinton comme Méthodiste et Trump comme Presbytérien), Madame Clinton est revenue à la religion à la mort de son père et participe aujourd’hui au groupe de prière des chefs d’état-major des armées, The Family, tandis que Monsieur Trump pratique une spiritualité plus intériorisée et ne fréquente guère de temples.
    Bien sûr, personne n’est enfermé dans les schémas dans lesquels il a été élevé. Mais lorsque l’on agit sans réfléchir, on les reproduit à son insu. La question de l’environnement religieux de chacun peut donc être importante.
    Pour comprendre ce qui est en jeu, il faut revenir en Angleterre au XVIIème siècle. Oliver Cromwell renversa par un coup d’État militaire le roi Charles Ier. Il prétendit instaurer une République, purifier l’âme du pays, et fit décapiter l’ancien souverain. Il créa un régime sectaire inspiré des idées de Calvin, massacra en masse les Irlandais papistes, et imposa un mode de vie puritain. Il conçut aussi le sionisme : il rappela les Juifs en Angleterre et fut le premier chef d’État au monde à réclamer la création d’un État juif en Palestine. Cet épisode sanglant est connu sous le nom de « Première Guerre civile britannique ».
    Après le rétablissement de la monarchie, les Puritains de Cromwell fuirent l’Angleterre. Ils s’installèrent aux Pays-Bas, d’où certains d’entre eux partirent à bord du Mayflower aux Amériques (les « Pères pèlerins »), tandis que d’autres fondèrent la communauté Afrikaneer en Afrique australe. Lors de la Guerre d’indépendance des États-Unis au XVIIIe, on revit l’affrontement des Calvinistes contre la Monarchie britannique, de sorte que dans les manuels actuels d’Histoire britannique, on la désigne comme la « Seconde Guerre civile ».
    Au XIXème siècle, la Guerre de sécession opposa les États du Sud (principalement habités par des colons catholiques) à ceux du Nord (plutôt habités par des colons protestants). L’Histoire des vainqueurs présente cet affrontement comme une lutte pour la liberté face à l’esclavage, ce qui est de la pure propagande (les États du Sud abolirent l’esclavage durant la guerre lorsqu’ils conclurent une alliance avec la monarchie britannique). De fait, on retrouva l’affrontement des Puritains contre le trône anglais, raison pour laquelle certains historiens parlent ici de « Troisième Guerre civile britannique ».
    Au cours du XXème siècle, cet affrontement interne de la civilisation britannique semblait révolu, hormis la résurgence des Puritains au Royaume-Uni avec les « chrétiens non-conformistes » du Premier ministre David Llyod George. Ces derniers divisèrent l’Irlande et s’engagèrent à créer le « Foyer national juif » en Palestine.
    Quoi qu’il en soit, un des conseillers de Richard Nixon, Kevin Philipps, consacra une thèse volumineuse à ces guerres civiles, constata qu’aucun des problèmes n’était résolu, et annonça une quatrième manche [1].
    Les adeptes des Églises calvinistes, qui depuis 40 ans votaient massivement pour les Républicains, soutiennent désormais les Démocrates.
    Je ne doute pas que Madame Clinton sera le prochain président des États-Unis, ou que si Monsieur Trump était élu, il serait rapidement éliminé. Mais en quelques mois, on assiste à une large redistribution électorale sur fond d’une évolution démographique irréversible. Les Églises issues des Puritains ne totalisent plus que le quart de la population et basculent dans le camp démocrate. Leur modèle apparaît comme un accident historique. Il a disparu d’Afrique du Sud et ne pourra pas survivre encore bien longtemps, ni aux États-Unis, ni en Israël.
    Au-delà de l’élection présidentielle, la société US doit rapidement évoluer ou se déchirer à nouveau. Dans un pays où la jeunesse rejette massivement l’emprise des prêcheurs puritains, il n’est plus possible de déplacer la question de l’égalité. Les Puritains envisagent une société où tous les hommes sont égaux, mais pas équivalents. Lord Cromwell voulait une République pour les Anglais, mais seulement après avoir massacré les papistes irlandais. C’est ainsi qu’actuellement aux États-Unis, tous les citoyens sont égaux devant la loi, mais au nom des mêmes textes les tribunaux condamnent systématiquement des noirs tandis qu’ils trouvent des circonstances atténuantes aux blancs ayant commis des crimes ou délits équivalents. Et, dans la majorité des États, une condamnation pénale, même pour un excès de vitesse, suffit à se voir retirer le droit de vote. Par conséquent, blancs et noirs sont égaux, mais dans certains États, la majorité des hommes noirs a légalement été privée de son droit de vote. Le paradigme de cette pensée, en politique étrangère, c’est la « solution à deux États » en Palestine : égaux, mais surtout pas équivalents.
    C’est la pensée puritaine qui a conduit les administrations du pasteur Carter, de Reagan, de Bush (Sr. et Jr. sont deux descendants directs des Pères pèlerins), de Clinton et d’Obama à soutenir le wahhabisme en contradiction avec les idéaux affichés par leur pays, et aujourd’hui à soutenir Daesh.
    Jadis, les Pères pèlerins fondèrent des communautés à Plymouth et Boston, qui ont été idéalisées dans la mémoire collective états-unienne. Les historiens sont pourtant formels, ils disaient former le « Nouvel Israël » et choisirent la « Loi de Moïse ». Ils ne placèrent pas de Croix dans leurs temples, mais les Tables de la Loi. Quoique chrétiens, ils attachaient plus d’importance aux écritures juives qu’aux Évangiles. Ils obligèrent leurs femmes à se voiler la tête et rétablirent les châtiments corporels.

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  2. dakichia2013 Says:

    La croix chrétienne est remplacée par les tables de Moïse dans un cadre d’étoile de David. Le Calvinisme en profondeur.

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  3. Hadassah Says:

    Les fous se retrouvent !
    Dans quelles poubelles avez-vous encore cherché ?

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  4. dakichia2013 Says:

    Lorsqu’un juif est admis pour organiser la prière chrétienne pour Donald Trump, cela veut dire que le judaïsme à totalement noyauté les différentes églises chrétienne. Que Jésus-Christ n’a fait que passer, et que l’excellence d’Allah est encore et toujours accordée aux juifs. Demain faut-il s’attendre à ce qu’un juif conduirait la prière du vendredi pour Mohamed VI du Maroc, peut-être bien, vue les liens de sang qui unissent cette famille royale avec les juifs et le sionisme. En fait bien probable au Maroc, mais pas en Algérie. Ce qui donne la force à l’islam, ce sont les preuves archéologiques, les cites, et lieux de prières où Mohamed S3WSLM a marché avec ses compagnons qui restent encore visibles, touchables, et qui sont mentionnés dans le Coran et les hadiths sanctionnés en leurs temps, sans détérioration. Mais lorsque la Torah, ou l’ancien Testament, ou la Bible, ou les évangiles citent des lieux, inexistants aujourd’hui, malgré les fouilles multiples pour les faire sortir de terre, cela donne un doute, traduit par différente interprétations. D’où un juif peut organiser les prières chrétiennes à Hillary Clinton aussi, et pourquoi pas au Vicaire de Rome, le Pape d’aujourd’hui. La multitude de sectes côté chrétien et même côté juif, du fait du manque de repères archéologiques concrets. Maintenant certains parmi les musulmans par habitude et non par conviction, qui ont pris le pouvoir militaire et politique, grâce à la Couronne Britannique, je veux dire ces laquais du conseil de coopération du Golfe arabe et persique, bédouins d’origine, sans grandeur historique, sans passé culturel, que le nomadisme et les vols à main armée, en d’autres mots, les razzias dont ils sont spécialistes, cette pauvreté cultuelle, les rend hostiles aux témoignages historiques d’autres peuples arabes musulmans, avec une histoire glorieuse, comme les irakiens, les syriens, les yéménites, les égyptiens, avec des restes archéologiques gigantesques. D’où leurs ordres par des prédicats diaboliques ‘’des Fatwas’’, de détruire ces témoins historiques musulmans, de les effacer de leur vue, et ainsi trouver normal qu’un juif garde les lieux saint de l’islam, et même peut diriger leurs prières du Vendredi. C’est ce que font les juifs d’origines nomade, là où c’est possible partout où ils mettent les pieds, comme en Irak, lors de l’invasion américaine, pillant les musées irakiens de leurs contenus, pour faire oublier aux arabes qu’ils ont une histoire.

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  5. salim sellami Says:

    A reblogué ceci sur Salimsellami's Blog.

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  6. Hugo Says:

    Marre de ces manipulateurs

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  7. Extrême-Droite: philosémitisme et islamophobie | Mounadil al Djazaïri Says:

    […] qui vaut pour l’Europe vaut aussi pour ses développements américain et […]

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